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    Good Luck Algeria
    Note moyenne
    3,2
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    120 critiques spectateurs

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    jaggg
    jaggg

    21 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2016
    C’est sympa, touchant et surtout ça donne envie. Envie que La Petite Entreprise s’en sorte. Que ce projet dingo se réalise. Que persévérance, amitié, sincérité, courage face au gouffre, dépassement de soi ne soient pas de vains mots. Que Samir (lumineux Sami Bouajila) et Bianca ne se sabordent pas. Que les racines et les valeurs traditionnelles des uns et des autres ne se perdent jamais. Que les champs d’oliviers du papa (et quel papa ! campé par le très attachant Bouchakor Chakor Djaltia) continuent à faire des petits. C’est souvent drôle, mais au-delà du rire, il y a en toile de fond des sujets profonds comme la famille, la mixité, l’intégration, l’héritage (et pas que de gros sous mais d’une identité) qui sont abordés avec finesse, délicatesse, ou encore un sujet totalement d’actualité : la double nationalité.
    Un point qui mérite d’être mentionné et qui intéressera peut-être Farid Bentoumi et toute l’équipe du film : quand les lumières de la salle se rallument, l’on aperçoit par ci par là des spectateurs qui s’essuient discrètement les yeux. Un film qui nous émeut aux larmes, c’est une réussite, non ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 mars 2016
    Un joli film, inspiré d’une histoire vraie, qui n’est pas sans rappeler Rasta Rocket. Le pari fou de cet homme ordinaire qui va aller jusqu’au bout de lui-même (dans plus d’un sens) pour sauver son entreprise, est complètement fou. Mais on a envie d’y croire avec lui, on tremble avec lui devant les obstacles, on a envie de l’encourager. C’est très bien joué, les acteurs sont tous excellents. Les personnages sont intéressants et forts, l’histoire est prenante, on y croit. On rit, on a les larmes aux yeux aussi. La mise en avant des valeurs du sport et de la famille, le respect des traditions, rend ce film très attachant. Une réussite.
    lionelb30
    lionelb30

    435 abonnés 2 590 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mars 2016
    Pas grand chose a redire , l'histoire est amusante , les acteurs correct mais l'ensemble reste gentillet , tres classique et meme un peu fade parfois.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mars 2016
    Très bon moment! Beaucoup d'émotions entre rires et pleurs. Des sujets comme les liens du sang, la transmission de la culture et la place des femmes traités avec brio.
    Pathé t'es pas fan.
    Pathé t'es pas fan.

    19 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mars 2016
    carrément impressionnant comme scénario même si un peu copier de rasta rocket . mais très marrant et assez socio politique inverse.. Vive la croix de Savoie
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mars 2016
    Histoire vraie touchante, drôle, On passe un très bon moment, on ne voit pas le film passé. Samy boudjila est remarquable. Une belle leçon sur la double nationalité dont on ne parle pas en bien en ce moment.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 mars 2016
    Très bon film. Sami BOUAJILA est très crédible et son retour dans le pays d'origine de son père tout à fait réaliste. Son père est très touchant. A voir sans hésiter.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 mars 2016
    bel exemple de mixités sociale et culturelle... le réalisateur nous propose de magnifiques images ! film bien rythmé... on ne sennuit pas..
    beaux jeux d acteurs, humbles et bravo au réalisateur pour ce chef d'œuvre... bel hommage au frère dont on ne connaissait pas l histoire...le père est très attachant on a envie de faire partie de cette famille qui a su composer avec les cultures... je recommande vivement
    merci
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 mars 2016
    La thématique est intéressante mais hélas le scénario est décousu, les dialogues sont creux , les scènes assez lentes et banales.
    Il manque du peps à ce film
    Très dommage.
    selenie
    selenie

    6 206 abonnés 6 177 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2016
    Pas vu pas besoin ! Le réalisateur Farid Bentoumi signe son premier long métrage où il raconte dans l'aventure de son propre frère Noureddine Maurice Bentoumi. Evidemment on pense automatiquement à la comédie culte "Rasta Rockett" (1994) à la différence près que le réalisateur en profite pour instaurer un sujet plus profond sur les racines, la double nationalité et la transmission. En vérité cette comédie pêche surtout par un manque d'audace qui touche directement au genre. Dans le genre comédie sociale c'est donc une jolie réussite qui fait du bien, dans le genre comédie pure à la française on sort avec la frustration de n'avoir pas reçu sa dose de gags. Note obtenue de justesse. Note obtenue de justesse.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 mars 2016
    Good Luck Algeria : un feel good movie sportif qui mérite l’or

    Sam et Stéphane se lancent dans un pari fou : qualifier le premier aux Jeux olympiques sous le drapeau de l’Algérie pour sauver leur entreprise de skis. Un exploit sportif inspiré d’une histoire vraie sur fond de comédie sociale.

    Réalisé par Farid Bentoumi (premier long métrage), Good Luck Algeria s’inspire en grande partie de la vie de son frère Noureddine qui fut le premier algérien à participer aux JO d’hiver en ski de fond. Cette fabuleuse histoire comme seul l’olympisme peut en créer sert de fond au metteur en scène pour parler d’un sujet rarement traité, mais pourtant au cœur de l’actualité : la binationalité. Ici, Sami Bouajila joue le rôle de Samir, franco-algérien, ingénieur de formation et fondateur d’une entreprise de ski dans les Alpes. D’un père algérien et d’une mère française, le héros de ce film a le profil parfait pour raconter une histoire positive sur l’immigration.

    Mais tout n’est pas rose pour autant, l’entreprise de ski gérée avec son ami d’enfance Stéphane (ici incarné par le très bon Frédéric Gastambide) est au bord de la faillite. La seule idée pour la sauver est que Samir participe aux JO. Ainsi le film va nous plonger au cœur de la préparation du héros qui doit réussir les minimas pour pouvoir participer aux olympiades. Chose bien difficile pour quelqu’un qui n’a jamais fait de ski de fond. Ce défi va lui permettre de se rapprocher de ses racines algériennes. Ce retour aux sources va devenir le thème principal de Good Luck Algeria au fur et à mesure qu’on avance dans l’intrigue.

    Le ski de fond reste pour autant bien présent avec la préparation et les épreuves de Coupe du Monde. Ces scènes sont d’ailleurs assez atypiques pour un film de sport : lentes, étirées et silencieuses. Les passages en ski de fond sont parfaitement réussis et retranscrivent à merveille l’état d’esprit de ce sport éprouvant physiquement. Pour ce film, Sami Bouajila s’est donné à fond, devant être doublé au départ, l’acteur a rapidement enfilé les skis pour la suite du tournage (il ne sera doublé que lors des plans larges).

    Good Luck Algeria est donc un véritable feel good movie qui va bien plus loin que le film de sport classique. Film également social, le premier long métrage de Farid Bentoumi nous questionne sur notre société française en plein débat sur la déchéance de nationalité. Une vraie surprise, mais surtout une vraie réussite

    On a posé 6 questions au réalisateur Farid Bentoumi :

    Good Luck Algeria se base en grande partie sur l’histoire de votre frère (lien vers itw). Comment est venue cette idée ?
    L’idée au départ est de faire un film positif sur l’immigration et de raconter une histoire sur la mixité telle que je l’ai vécue moi. Avec mon frère on était en ski-études, on faisait donc pas mal beaucoup de ski. L’histoire de Noureddine était parfaite pour raconter l’histoire de notre famille et le retour vers son pays d’origine. C’est toujours fort pour un premier film d’arriver à raconter une histoire personnelle tout en étant universel. L’objectif est que le film touche le plus de monde.

    Le film n’est pas un film de sports classique, il explore plusieurs sujets…
    Ce que je trouve intéressant ici, c’est que le héros n’a pas qu’une seule dimension. C’était important pour moi que toutes les histoires se croisent pour surprendre le spectateur. C’est assez sympa que tout ce mélange et qu’il y ait de l’inattendu. Mais le cœur du film, c’est le sportif. Quand tu regardes Rocky, c’est l’histoire d’un gars d’un milieu peu aisé qui se bat pour s’en sortir, c’est aussi un film social.

    Quels sont les films du genre qui vous ont inspiré et plus ?
    Les Chariots de Feu, c’est un magnifique film de sport, sur le défi, sur le dépassement. Mais il y en a pleins d’autres, Marathon man, Rasta Rocket qui était un film culte quand on avait 15 ans.

    Beaucoup de réalisateurs trouvent qu’il est difficile de faire des films de sports, du fait qu’il n’y a pas la magie du direct. Qu’en pensez-vous ?
    Non là le plus compliqué c’était de filmer les scènes de ski. Pour en avoir fait beaucoup, il y a une dimension très poétique et très lente dans ce sport, mais cela ne rend pas bien à l’image. C’est également le sport qui demande le plus d’efforts et ça, tu ne le vois pas vraiment. On a utilisé un scooter des neiges pour suivre les coureurs pendant le tournage. Tous les sons ont été recréés en post prod avec Sami Bouajila, mais aussi des allemands et des norvégiens pour le bruit de la foule et les ambiances de courses. Sami a d’ailleurs été remarquable dans le tournage, c’est un acharné et un vrai battant. Au bout de 3 jours, on avait plus besoin de mon frère comme doublure.

    Le film comporte un important volet social qui fait échos à l’actualité…
    C’est l’histoire d’un gars qui vit en France et se sent totalement grenoblois. Au fur et à mesure que le film avance qu’il est algérien et redécouvre ses racines et sa famille. Comme beaucoup, il redécouvert ça.
    Depuis 2007, le débat sur l’immigration en France est tombé très bas avec de nombreux clichés. On cite en permanence l’immigration comme source de problèmes alors que dans le fond ça ne l’est pas. Dans la vie quotidienne, les franco-algériens, franco-portugais et autres ne pensent pas en permanence à leurs racines, c’est les médias et les politiques qui ivente tout cela. Le problème d’intégration, il est social pas culturel, les mélanges culturels ont toujours été riches. 95 % des immigrés sont très bien intégrés dans ce pays. J’espère que ce film va être une bouffée d’oxygène pour chacun.

    Chiara Mastroianni joue le rôle d’une entraîneuse de hockey. Comment vous est venue cette idée ?
    Ça me faisait marrer. On parle très peu de sport féminin surtout pour des disciplines comme le hockey. Je trouve cela important de montrer Chiara sur des patins, qui est un véritable symbole de la féminité et de charme. Arrêtons les clichés sur les femmes comme on en a sur les maghrébins ou sur les arabes.

    Good Luck Algeria (Fr, 1h30)
    De Farid Bentoumi,
    Avec Sami Bouajila, Franck Gastambide et Chiara Mastroianni
    En salles le 30 mars
    Alizée R.
    Alizée R.

    8 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2016
    Un très beau film, très chaleureux, on rit avec les personnages, on pleure.Cette jolie comédie traite avec élégance de toutes les problématiques liées à l'immigration. Bravo, un regard positif et un joli questionnement sur la bi-nationalité !
    Pauline_R
    Pauline_R

    176 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mars 2016
    Un premier film très touchant auquel il manque peut-être un petit grain de folie pour en faire un excellent film. Son sujet pourrait nous faire penser au film américain Rasta Rockett mais on en est assez éloigné, Good Luck Algeria se révélant certes souvent drôle mais sort aussi du registre de la comédie pure en abordant des thèmes sociaux qui vont au-delà de la simple aventure sportive. Il est ainsi question des problématiques de la bi-nationalité, de la transmission et de l'héritage culturels, qui sont traitées de manière assez juste, même si certains points (et personnages) peuvent sembler un brin caricaturaux. De quasi tous les plans, Sami Bouajila est (comme toujours) très bon, bien secondé par Franck Gastambide ou encore l'émouvant Bouchakor Chakor Djaltia.
    Le film d'Ariane
    Le film d'Ariane

    77 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mars 2016
    Vu GOOD LUCK ALGERIA de Farid Bentoumi dont c’est le premier long métrage et qui en a à la fois les défauts et les qualités. L’intention est excellente (une comédie à la fois sociale et potache) mais elle perd un peu de sa substance par excès d’ambition. Sam et Stéphane ont créé une entreprise de skis haut de gamme en bois, 100% made in France. Au bord de la faillite et pour tenter de redresser les finances de leur PME, ils entreprennent de qualifier Sam en ski de fond aux prochains Jeux Olympiques, pour l’Algérie. Cette expérience hors normes va pousser Sam à renouer avec une partie de ses racines… Présenté comme une comédie dans la bande-annonce, le film (qui s’inspire de la vie du propre frère de Farid Bentoumi, sélectionné aux JO de Turin) s’égare à mi parcours en voulant aborder un sujet « sérieux » sur le thème des origines, de la bi-nationalité et de la transmission. Sans tout à fait parvenir à (me) convaincre. Ça démarre vraiment sur les chapeaux de roue et pendant une heure on rit beaucoup de ce défi improbable et casse-gueule (c’est le cas de le dire) et des réactions de défiance qu’il provoque dans l’entourage des deux amis. Sami Bouajila et Franck Gastambide forment d’ailleurs un duo irrésistible. Puis le film adopte un ton plus grave lors d’une parenthèse algérienne ennuyeuse d’une demi-heure où le père et le fils dissertent sur les liens du sang, les sacrifices dus à l’intégration, l’héritage familial… où l’on comprend bien le gouffre culturel qui sépare parfois les deux pays. Ces sujets aussi passionnants qu’essentiels pourraient faire l’objet d’une centaine de films mais ne trouvent pas ici la résonance souhaitée par le réalisateur. Du coup, le film perd en énergie comique et ce qui s’annonçait comme un « Rasta Rocket » franco-algérien au tempo enlevé se transforme, dans la deuxième partie, en pensum maladroit pétri de bons sentiments et un chouia gnan-gnan. Dommage.
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 132 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2016
    Comédien et réalisateur de court-métrages (fiction et documentaires), Farid Bentoumi est né à Saint-Jean de Maurienne de père algérien et de mère toulousaine. Désirant réaliser un premier long-métrage évoquant la situation des bi-nationaux, il est vite apparu comme une évidence à Farid qu’il lui suffisait de puiser dans son histoire familiale pour avoir le point de départ du scénario idéal : la participation dans l’épreuve du 50 km de ski de fond de son frère aîné, Noureddine Maurice Bentoumi, aux Jeux Olympiques d’hiver de Turin, en 2006, en tant que représentant de l’Algérie. On connait tous le dicton « qui trop embrasse mal étreint ». Eh bien, ce qu’affirme ce diction est démenti par "Good Luck Algeria". En effet, Farid Bentoumi réussit son coup en délivrant une comédie à la fois drôle, sociale, familiale et même politique. Cette réussite est due à la fois à une mise en scène qui ne fait jamais dans la facilité, à un montage qui donne la longueur juste à chaque scène et à des comédiens dont le jeu chaleureux permet aux spectateurs de se trouver en totale empathie avec les personnages. En fait, "Good luck Algeria" n’est pas très éloigné dans l’esprit et dans la forme de certains films de Ken Loach : à la fois social et drôle. Dans la période très particulière que nous vivons, merci à Farid Bentoumi de montrer que la double nationalité peut être un atout et qu’on peut être à la tête d’une entreprise qui fabrique du matériel français et procure des emplois dans notre pays tout en représentant l’Algérie aux Jeux Olympiques.
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