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Padami N.
61 abonnés
514 critiques
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4,0
Publiée le 2 avril 2017
beau film qui traite d un sujet a la mode au cas ciné en.ce moment. la relation entre peuple noire et blanc y a 50 ans. les image sont belles et de bons acteurs ....mise scene un peu classique mais qui explique bien la politique de l époque ou la peurs du communisme avec la guerre froide en faisait oublié les valeurs s la démocratie et bien-sûr les questions d argent...
La rencontre eut lieu en 1947 à Londres. Entre le futur roi du Bechuanaland et une jeune anglaise. Histoire d'amour impossible que celle racontée par A United Kingdom ? Evidemment, à cause du racisme, de la situation de l'époque (L'Afrique du Sud venait de mettre en place sa politique d'apartheid et le Bechuanaland était encore un protectorat britannique), des préjugés de l'époque. Les violons sont de sortie et les mouchoirs itou, c'est parti se dit-on pour l'évocation d'une romance contrariée avec tout cela comporte de mièvrerie (tout le monde n'est pas Jeff Nichols). Sauf que pas vraiment, enfin en partie si, mais progressivement le film glisse vers la géopolitique de la période des années 50, entre guerre froide et colonialisme encore prégnant. A United Kingdom simplifie un peu les faits mais l'essentiel est là : la naissance d'un pays indépendant, le Botswana, n'est pas loin. Le film a quelque peu manqué de moyens, cela se sent, et la mise en scène est bien sage mais faute de lyrisme, on apprécie l'écriture soutenue et claire du récit et l'interprétation persuasive de Rosamund Pike (émouvante) et de David Oyelowo.(charismatique).
Comme "Belle", "A United Kingdom" m'a laissé sur ma faim à cause d'un traitement trop lisse et superficiel. Certains éléments font d'ailleurs penser au précédent film d'Amma Asante avec de nouveau une femme qui se retrouve dans un milieu pas fait pour elle d'après les autres qui dans un premier temps la rejettent. Le tout se déroule dans un climat difficile
Un très beau film comme on en voit si peu de nos jours ! Très bien joué, intéressant sur une histoire trop peu connue de la plupart des gens. Je ne comprend la méchanceté de certaines critiques que comme une preuve d'insensibilité de certains et de l'envie de salir....
Une très belle histoire basée sur une histoire vraie et nous sommes toujours surpris de voir combien il est difficile de vivre son histoire d,amour quand vous êtes différents par votre origine et votre couleur c,est très beau merci pour ce moment de cinéma à voir
Au delà de ce côté exagérément rose, A United Kingdom transmet un beau message. Il retrace avec passion cette guerre de convictions, d’idéologies et en fait revivre ses moments forts au travers de l’excellent David Oyelowo (Selma), impeccable leader démocrate. Dommage, cependant, que le personnage incarné par Rosamund Pike ne soit pas plus étoffé. On sent pourtant bien que sans elle, cette « révolution » n’aurait jamais existé.
Je ne peux que recommander de faire le déplacement jusqu'à ce film... Connaissant bien le Botswana, j'étais curieuse de voir ce que ferait le cinéma de cette histoire incroyable, de ce pays incroyable. J'ai été très émue de retrouver les botswanais tels que je les connaissais (même si le pays a un peu changé en 70 ans...), et de voir à l'écran cette histoire qui parait trop cinématographique pour être vraie : l'année de la mise en place de l'apartheid en Afrique du Sud, l'héritier au trône dans le plus proche voisin épousait une anglaise. Ca peut paraître à l'eau de rose aux esprit chagrins, mais il arrive aussi à l'Histoire d'être rose. Tout dans le film est conforme à ce que je connais de la vérité... et j'ai versé ma larme de le voir ainsi en image. Allez-y, vous en sortirez moins bêtes et aurez découvert les botswanais, qui sont vraiment des gens exceptionnels. Leur histoire le prouve... Bravo à l'équipe de ce film d'avoir su le montrer.
encore film ridicule, moi jsuis mat de peau et cela m'effare ce genre de film, rare les blanches pouvant accepter qu'un non blanc entre en contact avec elles et donc jamais je n'engage contact avec une blanche ne serait-ce un contact amical et ce genre de film est totalement ridicule, la vie, la vrai vie ce n'est pas ce genre d'histoire où les blanches accepteraient d'être en relation avec un type non pas mat de peau mais noir, les blanches ne se lient pas avec un type mat de peau et encore moins avec un noir, il faut cesser de raconter des histoires comme celles-ci. ce genre de film ne devrait pas être.
Comme "Belle", "A United Kingdom" m'a laissé sur ma faim à cause d'un traitement trop lisse et superficiel. Certains éléments font d'ailleurs penser au précédent film d'Amma Asante avec de nouveau une femme qui se retrouve dans un milieu pas fait pour elle d'après les autres qui dans un premier temps la rejettent. Le tout se déroule dans un climat difficile avec ce couple qui va avoir du mal à se faire accepter par leurs familles et gouvernements respectifs que ça soit à Londres ou encore au Bechuanaland, un territoire britannique avant de devenir le Botswana lors de l'indépendance. C'est ce dernier point qui va mener à l'indépendance qui est au centre du récit, et pas spécialement l'histoire d'amour, avec Seretse qui va tout faire pour monter sur le trône malgré la réticence des Britanniques qui vont tout faire pour au moins retarder cela dans un but bien précis. Durant ces épreuves, on voit naître un vrai leader bien incarné par David Oyelowo tandis que Rosamund Pike peine à convaincre dans son rôle d'épouse qui manque consistance. L'histoire de fond est intéressante seulement le rendu est bien trop classique avec des enjeux pas assez mis en avant ou pas assez forts comme quand pendant un long moment, le seul enjeu est de savoir si Seretse va pouvoir rentrer chez lui... C'est plein de bonnes intentions, mais c'est un film qui ne m'a pas convaincu.