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Un visiteur
0,5
Publiée le 25 mars 2020
Film très décevant... Je m'attendais à du gros puisque ses Stephen King mais bon. Malgré que j'ai trouver le film plate je peut dire que les image d'herbe et de pluie (les gros plant) était très réussie.
Ce film retourne le cerveau ! Scénario bien plus riche qu'il n'y paraît... en fait c'est impressionnant. on ressent bien la pâte du réalisateur de Cube. Oppressant, et anxiogène. Je conseille de le regarder dans la pénombre car lors des longues scènes de nuit il difficiles de décerner les détails de l'image. Excellente mise en scène.
Une adaptation ni bonne ni mauvaise, les acteurs sont corrects bien que Patrick Wilson sorte du lot, le film est prenant avec quelques scènes un peu longues sur la durée, le thème est intéressant mais il n'est pas assez développé, j'aurais aimé en savoir plus. La réalisation est plutôt convaincante, mais loin d'être la meilleure de Vincenzo Natali.
Stephen King a clairement le vent en poupe et Netflix s'attaque donc à "Dans les hautes herbes" du roi du fantastique. Vincenzo Natali, qui est habitué aux expériences grandeur nature destinées à tester la psychologie des personnages (Cube, Cypher, des épisodes de Westworld...), nous embarque donc dans ce labyrinthe assez particulier où les notions de distance et de temps n'ont plus de valeur. Vous pouvez discuter avec d'autres personnes dans les hautes herbes comme si elles étaient à côté sans que ce soit le cas et ce sont les herbes qui décident sur qui vous allez tomber, le tout contrôlé par une étrange pierre. Le mental des personnages est vite mis à rude épreuve, l'isolement, la fatigue et le sentiment de ne jamais pouvoir retrouver ceux qui vous sont cher se confrontant en plus à la simple logique. Les enfants y sont encore plus sensibles, Tobin rejoignant Danny Torrance et tant d'autres enfants terrifiants. Si c'est divertissant dans la première demi-heure, ca le devient rapidement moins quand le surnaturel laisse inévitablement place à l'horreur. Gérant ses transitions dans un aspect documentaire animalier, Natali nous déboussole autant que ses personnages. Cela donne forcément lieu à quelques longueurs mais c'est inévitable étant donné que ce n'est pas le scénario le plus enrichissant à la base.
Hop ! Une de plus ! Une création originale Netflix inspirée d'un roman de Stephen King. J'ai donc décidé de la regarder.
Le film est... étrange .... En réalité on ne sait pas trop où ils veulent en venir, avec leurs hommes plantes et leur pierre bizarre. Mais bon après tout pourquoi pas ?
Au début on s'attend à un film paranormal assez classique avec un gamin qui crie, une église abandonnée et un champ mystérieux. Mais en réalité pas du tout ! Ils ont amenés ça loin !
A la fin du film on a quand même plein de choses qui restent sans réponse : est-ce des aliens ou des fantômes ou des expériences faites par des humains ? Aucune idée ! On ne sait d'ailleurs même pas quel rapport y'a t'il avec leur histoire de temps et le fait que les personnes revivent à chaque fois ! En plus à la fin le gamin se retrouve en deux exemplaires !
Mais bon dans l'ensemble le film est quand même pas mal !
Un scénario sans queue ni tête ... Impossible de comprendre le pourquoi du comment bref c'est dommage car ça aurait pu être sympa mais pour le coup c'est nul
C’est vraiment nul pour moi , j’ai trouvé sa inintéressant, c’est incompréhensible vraiment regarder le mais c’est nul , sa fait meme pas peur et ça finis bien mais spoiler: c’est triste car trevis verra jamais son enfant grandir bref c’est à voir quand même ça fait passer le temps ! Je me demande toujours comment le gosse à atterrir dans l’église , je pense c’était un tour de magie , et pk elle sait manger elle même ????? Fin elle a manger son enfant je crois mais je suis pas sûr !!!! Xoxo
Film nul Parceque c’est incompréhensible et ça fait même pas peur ! spoiler: Fin agréable car le petit garçon empêche les autres de rentrer dans le champ même si j’ai toujours pas compris le concept du film. spoiler: Et où est le bébé de becky ?
Ce film m'a attiré avec le nom de l'un de ses acteurs Patrick Wilson mais malheureusement ça n'a pas suffit pour un sauvetage. Des fois, il ne faut pas être tenté par des adaptations cinématographiques, il ya des histoires qui ne peuvent exister que sur papier et ce le cas de "dans les hautes herbes".
À l'instar de "1922" (2017) de Zak Hilditch, "Dans les hautes herbes" est lui aussi adapté d'une œuvre de Stephen King, et est malheureusement, lui aussi, sans grand intérêt, que ce soit sur le plan du scénario que sur le jeu des acteurs. spoiler: Ce film est assez similaire à "Triangle" (2009) de Christopher Smith de part la boucle temporelle, à ceci prêt que chez Zak Hilditch, cela se passe dans un champs, ce qui évidemment rend le film assez ennuyeux, et que l'on pourrait résumer par cette phrase "une heure quarante à regarder des gens crier le nom des autres dans un champs"
On ne peut pas réellement classer ce film parmi les bouses intersidérales mais il en aurait fallu peu pour que ce soit le cas. Je note quand même un certain rythme, une fin non dénuée de sens, une lumière "Netflix" assez appréciable et une adaptation à l'écran assez réussie.
Le film se laisse regarder mais il ne sait pas où il va. On sent tout le film qu'il va être difficile pour le réal de conclure son film et en effet, un petit coup de chut c'est magique et voilà le film se termine. Un pétard mouillé.
Trop dans le superflu. Dans le flou. Je le trouve pas assez approfondie, ni sur les personnages, ni les dialogues, ni les effets visuels. Même si le principe sur les herbes est original. Déçut tout de même.
.... J'attendais beaucoup, peut-être beaucoup trop. Il y a 20 ans désormais, Vincenzo Natali avec Cube, Cypher, Nothing et aussi Splice il y a 10 ans, ce réalisateur me faisait rêver et maintenant il ne me fait que décevoir. Ses premières œuvres je les trouvais extraordinaires, différentes, originales alors que maintenant, je ne ressens plus cette flamme dans ses réalisations. Il reste une photographie et un cadrage maîtrisés, une ambiance tendue, mais ici, ça ne marche pas, on se traîne en longueurs et on finit bien vite par s'ennuyer.
Vincenzo Natali est de retour aux affaires après son mythique « Cube » et ce coup-ci, il réalise une adaptation d’un roman de Stephen King. On retrouvera avec « Dans les hautes herbes » l’ambiance de huis-clos étouffante propre au réalisateur canadien alors que nous sommes dans un champ d’herbes hautes ! Si la première partie est bien anxiogène et pourra faire penser à un savant mélange entre « Signes », « Les enfants du maïs » ou encore « Shining » avec ce mystère autour de la perte des repères spatio-temporels qui rend l’atmosphère suffocante, on sera en revanche moins convaincu par la seconde partie. En effet, on a l’impression que, comme les protagonistes perdus dans cette immensité verdoyante, le scénario tourne en rond alors que la psychologie des personnages reste trop sommaire et que certains points ne seront pas précisés outre mesure (quid du gros rocher et de sa provenance ?). Malgré tout, c’est visuellement assez joli et demeure assez intrigant mais Natali a perdu de sa superbe car désormais ses films sont juste distrayants le temps de leur visionnage !