Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Transfuge
par Ilan Malka
L'émotion apparaît parfois comme en retenue. La grâce de la mise en scène est néanmoins toujours présente, particulièrement dans le rapport installé entre les personnages et les lieux du quotidien.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Réalisé en noir et blanc, économe de ses dialogues, ce tête-à-tête minimaliste a bien des arguments pour convaincre. Sa photographie d’abord, qui déploie toute une palette de gris en intérieur, mais appuie sur les contrastes dans la lumière crue des extérieurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Avec la catastrophe de Fukushima en toile de fond, une très belle histoire de rencontre de deux femmes, deux cultures, subtilement irriguée de fantastique, superbement menée et filmée.
Sud Ouest
par Sophie Avon
(...) une jeune Allemande tâche d’aider Satomi, une ancienne geisha obstinément attachée à revivre dans la zone interdite où se trouve sa maison. (...) Entre elles, se tisse un lien à la fois éphémère et puissant. La cinéaste allemande parvient à donner chair à ce lien, avec une délicatesse inattendue et de belles idées de mises en scène.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
L'Express
par Christophe Carrière
Malgré un retard à l'allumage et un noir et blanc sans grand intérêt, le film est largement moins convenu qu'il en a l'air. C'est parfois assez drôle, et même un poil fantastique. Pas banal.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Jérôme Garcin
Tout ce que le scénario pouvait avoir de manichéen et de sentencieux disparaît grâce à l’interprétation sensible des deux comédiennes et grâce à la pudeur, la délicatesse d’un noir et blanc intemporel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Longuet mais pas inintéressant.
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Cette oeuvre sensible, qui oscille entre le documentaire, la fiction et le clip, est habillée d’un noir et blanc particulièrement esthétique. Mais elle n’évite pas toujours l’écueil d’un symbolisme naïf.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) si la mise en scène, assez anodine, jouant assez peu avec la temporalité et le hors-champ, ne brille pas par son inventivité, c'est plus du côté de la structure du récit que le bât blesse totalement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Sous ce titre qui consonne évidemment avec le film de Resnais, une évocation mélancolique de la ville blessée, et un beau portrait de femme. Mais des longueurs et l'impression de voir une copie un peu trop appliquée de film japonais.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Hubert Niogret
La matière dramaturique peu nourrie laisse un sentiment d'insatisfaction et laisse entrevoir une agitation dérisoire pour des enjeux que la cinéaste n'a pas su incarner. On a un peu la sensation d'un film pour rien qui hésite à aller dans une direction ou dans une autre.
Télérama
par Louis Guichard
Le scénario compte peu, mesuré à l'hébétude authentique de ces damnés qui tiennent leur propre rôle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Isabelle Regnier
Anesthésié par un long récit creux, confit de mal-être et de culpabilité, le spectateur risque bien de ne pas être ému par ces révélations, et pour le moins interloqué par la référence à Hiroshima mon amour.
Transfuge
L'émotion apparaît parfois comme en retenue. La grâce de la mise en scène est néanmoins toujours présente, particulièrement dans le rapport installé entre les personnages et les lieux du quotidien.
La Croix
Réalisé en noir et blanc, économe de ses dialogues, ce tête-à-tête minimaliste a bien des arguments pour convaincre. Sa photographie d’abord, qui déploie toute une palette de gris en intérieur, mais appuie sur les contrastes dans la lumière crue des extérieurs.
Les Fiches du Cinéma
Avec la catastrophe de Fukushima en toile de fond, une très belle histoire de rencontre de deux femmes, deux cultures, subtilement irriguée de fantastique, superbement menée et filmée.
Sud Ouest
(...) une jeune Allemande tâche d’aider Satomi, une ancienne geisha obstinément attachée à revivre dans la zone interdite où se trouve sa maison. (...) Entre elles, se tisse un lien à la fois éphémère et puissant. La cinéaste allemande parvient à donner chair à ce lien, avec une délicatesse inattendue et de belles idées de mises en scène.
L'Express
Malgré un retard à l'allumage et un noir et blanc sans grand intérêt, le film est largement moins convenu qu'il en a l'air. C'est parfois assez drôle, et même un poil fantastique. Pas banal.
L'Obs
Tout ce que le scénario pouvait avoir de manichéen et de sentencieux disparaît grâce à l’interprétation sensible des deux comédiennes et grâce à la pudeur, la délicatesse d’un noir et blanc intemporel.
Studio Ciné Live
Longuet mais pas inintéressant.
aVoir-aLire.com
Cette oeuvre sensible, qui oscille entre le documentaire, la fiction et le clip, est habillée d’un noir et blanc particulièrement esthétique. Mais elle n’évite pas toujours l’écueil d’un symbolisme naïf.
Critikat.com
(...) si la mise en scène, assez anodine, jouant assez peu avec la temporalité et le hors-champ, ne brille pas par son inventivité, c'est plus du côté de la structure du récit que le bât blesse totalement.
Le Figaro
Sous ce titre qui consonne évidemment avec le film de Resnais, une évocation mélancolique de la ville blessée, et un beau portrait de femme. Mais des longueurs et l'impression de voir une copie un peu trop appliquée de film japonais.
Positif
La matière dramaturique peu nourrie laisse un sentiment d'insatisfaction et laisse entrevoir une agitation dérisoire pour des enjeux que la cinéaste n'a pas su incarner. On a un peu la sensation d'un film pour rien qui hésite à aller dans une direction ou dans une autre.
Télérama
Le scénario compte peu, mesuré à l'hébétude authentique de ces damnés qui tiennent leur propre rôle.
Le Monde
Anesthésié par un long récit creux, confit de mal-être et de culpabilité, le spectateur risque bien de ne pas être ému par ces révélations, et pour le moins interloqué par la référence à Hiroshima mon amour.