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La première partie de cet excellent film de guerre montre l’avènement de ce monstre de cruauté tandis que la seconde insiste sur la mission de jeunes résistants tchèques prêts à se sacrifier pour l’abattre.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Sans pathos, avec un sens de l’image bluffant (à la limite de la « joliesse »), le réalisateur français signe une fresque historique ambitieuse en anglais – elle est destinée au marché international - qui explore la face sombre et lumineuse de l’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Si le film de Jimenez reste narrativement plus classique que le roman dont il s’inspire, on retrouve le goût du réalisateur de La French pour les mises en scène à l’esthétique appuyée, et pour la représentation du pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Récit violent qui ne tait aucune des exactions perpétrées par les Emsatzgruppen, "HHhH" pose la question de "l'inhumain", chère à Hannah Arendt, tout en se concentrant in fine sur la dimension essentielle du sacrifice des résistants.
Pour adapter son formidable "HHhH", Goncourt du premier roman, Laurent Binet avait modestement pensé à Steven Spielberg ou à Brian De Palma. Pas de quoi intimider Cédric Jimenez, le réalisateur de "La French", qui assure avec brio la mission - quasi - impossible.
S'étant jusqu ici illustre dans le polar, Cedric Jimenez prend l'histoire à bras-le-corps et fait de "HHhH" un film bipolaire porté par la justesse du jeu des acteurs, y compris des seconds rôles comme Céline Sallette ou Mia Wasikowska
Un film choc et saisissant qui ne devrait pas laisser indifférent les amateurs d’histoire contemporaine et qui, détail non négligeable, nous donne l’occasion de découvrir toute l’immensité du talent de Jason Clarke.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Du romanesque débridé (l’amitié entre Jan et Jozef est sublime) qui, pourtant, se trouve légèrement amoindri par une fin tire-larmes au son des violons.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Parfois trop appuyée, la réalisation qui mène le récit tambour battant semble un moment perdre son souffle, avant de le retrouver. Fluide et efficace, elle oscille entre réalisme et touches de subjectivité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Divisé en deux parties - le portrait de Heydrich puis l'opération visant à l'éliminer -, ce film ne manque ni de souffle ni d'émotion. Mais l'emploi de l'anglais nuit à la crédibilité du récit.
Cédric Jimenez montre ce qu'il y a de pire, puis de meilleur, dans l'humanité, réalisant davantage un thriller historique qu'un pur film de guerre. On en ressort groggy...
Le film laisse un goût d’inachevé avec l’amorce d’intrigues parallèles non développées, et semble trahir une hésitation de son réalisateur entre le biopic et le thriller sur fond de guerre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cédric Jimenez prend étrangement le contre-pied de l’esthétique un peu punk de Binet : ses nazis en costume parlent anglais avec l’accent d’Oxford et, malgré de belles trouvailles visuelles, l’affaire est plombée par un académisme maladroit. Reste la deuxième partie, plus efficace, centrée sur deux magnifiques personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Un film à grand spectacle, qui n’échappe pas aux pièges de la reconstitution historique à décors, sans traduire l’angle original qui, dans sa sécheresse, faisait l’originalité du livre de Laurent Binet qu’il adapte.
Le récit se focalise d’abord sur l’ascension fulgurante et la nature violente de l’officier allemand, avant de se recentrer sur sa tentative d’assassinat par la résistance pour devenir un film de guerre classique, bien joué mais bancal.
Jimenez sait faire du cinéma, c'est indéniable. (...) La seconde partie bascule dans une structure binaire de chasse à l'homme avec sanglants cadavres à la pelle et final noyé dans l'angoisse. Ce n'est pas ce rendu de la violence qui aboutit à nous laisser sonné d'un bon coup sur le crâne, c'est cette volonté de faire joli avec. Jusqu'à créer une espèce de malaise, d'écoeurement, qui rend spectaculairement malsaine toute cette entreprise.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L’esthétisation de la violence et le final, puissamment lyrique, achèvent d’enluminer un récit dont le casting, par ailleurs anglicisé sans scrupules, pose de vrais problèmes de crédibilité. Dommage car la bravoure de ces jeunes gens prêts à donner leur vie pour combattre le mal demeure admirable.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
HHhH va rivaliser involontairement avec Papy fait de la Résistance. Du flou, des ralentis, une musique envahissante, des retours en arrière, ce kugelhof historique pèse sur l'estomac. Cette adaptation du roman de Laurent Binet suscite haussements d'épaules et hilarité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le “Boucher de Prague” et les résistants qui ont mis fin à ses méfaits sont filmés sans distance, avec une complaisance esthétique déplaisante. Cette page d’histoire nazie est filmée sans enjeux ni rigueur.
Le moins que l'on puisse dire est que (Cédric Jimenez) ne s'embarasse d'aucun scrupule et n'a aucun état d'âme sur les petits arrangements entre le savoir documentaire et l'invention fictionnelle. Dans cette atroce page d'histoire, il a surtout vu l'occasion de tourner un film bien spectaculaire.
Le réalisateur s'intéresse plus à ses séquences d'action qu'à la complexité de Heydrich. Et il ne recule devant aucune ficelle mélodramatique. Indigeste...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
La première partie de cet excellent film de guerre montre l’avènement de ce monstre de cruauté tandis que la seconde insiste sur la mission de jeunes résistants tchèques prêts à se sacrifier pour l’abattre.
Première
Sans pathos, avec un sens de l’image bluffant (à la limite de la « joliesse »), le réalisateur français signe une fresque historique ambitieuse en anglais – elle est destinée au marché international - qui explore la face sombre et lumineuse de l’humanité.
Bande à part
Si le film de Jimenez reste narrativement plus classique que le roman dont il s’inspire, on retrouve le goût du réalisateur de La French pour les mises en scène à l’esthétique appuyée, et pour la représentation du pouvoir.
CNews
Récit violent qui ne tait aucune des exactions perpétrées par les Emsatzgruppen, "HHhH" pose la question de "l'inhumain", chère à Hannah Arendt, tout en se concentrant in fine sur la dimension essentielle du sacrifice des résistants.
Elle
Cédric Jimenez signe une adaptation haletante du thriller historique "HHhH".
Femme Actuelle
Un éclairage glaçant sur la mise en place du nazisme.
Le Point
Pour adapter son formidable "HHhH", Goncourt du premier roman, Laurent Binet avait modestement pensé à Steven Spielberg ou à Brian De Palma. Pas de quoi intimider Cédric Jimenez, le réalisateur de "La French", qui assure avec brio la mission - quasi - impossible.
Ouest France
Un film qui captive autant par son sujet inépuisable que par la force de sa mise en scène, précise et enlevée.
Rolling Stone
S'étant jusqu ici illustre dans le polar, Cedric Jimenez prend l'histoire à bras-le-corps et fait de "HHhH" un film bipolaire porté par la justesse du jeu des acteurs, y compris des seconds rôles comme Céline Sallette ou Mia Wasikowska
Télé 7 Jours
Le Français s'en sort vraiment bien et réussit, malgré quèlques effets de mise en scène trop appuyés, un grand film de guerre.
aVoir-aLire.com
Un film choc et saisissant qui ne devrait pas laisser indifférent les amateurs d’histoire contemporaine et qui, détail non négligeable, nous donne l’occasion de découvrir toute l’immensité du talent de Jason Clarke.
CinemaTeaser
Du romanesque débridé (l’amitié entre Jan et Jozef est sublime) qui, pourtant, se trouve légèrement amoindri par une fin tire-larmes au son des violons.
Ecran Large
Une variation relativement efficace de motifs classiques.
La Croix
Parfois trop appuyée, la réalisation qui mène le récit tambour battant semble un moment perdre son souffle, avant de le retrouver. Fluide et efficace, elle oscille entre réalisme et touches de subjectivité.
Télé 2 semaines
Divisé en deux parties - le portrait de Heydrich puis l'opération visant à l'éliminer -, ce film ne manque ni de souffle ni d'émotion. Mais l'emploi de l'anglais nuit à la crédibilité du récit.
Voici
Cédric Jimenez montre ce qu'il y a de pire, puis de meilleur, dans l'humanité, réalisant davantage un thriller historique qu'un pur film de guerre. On en ressort groggy...
Critikat.com
Le film laisse un goût d’inachevé avec l’amorce d’intrigues parallèles non développées, et semble trahir une hésitation de son réalisateur entre le biopic et le thriller sur fond de guerre.
L'Obs
Cédric Jimenez prend étrangement le contre-pied de l’esthétique un peu punk de Binet : ses nazis en costume parlent anglais avec l’accent d’Oxford et, malgré de belles trouvailles visuelles, l’affaire est plombée par un académisme maladroit. Reste la deuxième partie, plus efficace, centrée sur deux magnifiques personnages (...).
Le Dauphiné Libéré
Un film à grand spectacle, qui n’échappe pas aux pièges de la reconstitution historique à décors, sans traduire l’angle original qui, dans sa sécheresse, faisait l’originalité du livre de Laurent Binet qu’il adapte.
Le Journal du Dimanche
Le récit se focalise d’abord sur l’ascension fulgurante et la nature violente de l’officier allemand, avant de se recentrer sur sa tentative d’assassinat par la résistance pour devenir un film de guerre classique, bien joué mais bancal.
Le Parisien
Jimenez sait faire du cinéma, c'est indéniable. (...) La seconde partie bascule dans une structure binaire de chasse à l'homme avec sanglants cadavres à la pelle et final noyé dans l'angoisse. Ce n'est pas ce rendu de la violence qui aboutit à nous laisser sonné d'un bon coup sur le crâne, c'est cette volonté de faire joli avec. Jusqu'à créer une espèce de malaise, d'écoeurement, qui rend spectaculairement malsaine toute cette entreprise.
Sud Ouest
L’esthétisation de la violence et le final, puissamment lyrique, achèvent d’enluminer un récit dont le casting, par ailleurs anglicisé sans scrupules, pose de vrais problèmes de crédibilité. Dommage car la bravoure de ces jeunes gens prêts à donner leur vie pour combattre le mal demeure admirable.
Le Figaro
HHhH va rivaliser involontairement avec Papy fait de la Résistance. Du flou, des ralentis, une musique envahissante, des retours en arrière, ce kugelhof historique pèse sur l'estomac. Cette adaptation du roman de Laurent Binet suscite haussements d'épaules et hilarité.
Les Fiches du Cinéma
Le “Boucher de Prague” et les résistants qui ont mis fin à ses méfaits sont filmés sans distance, avec une complaisance esthétique déplaisante. Cette page d’histoire nazie est filmée sans enjeux ni rigueur.
Positif
Le moins que l'on puisse dire est que (Cédric Jimenez) ne s'embarasse d'aucun scrupule et n'a aucun état d'âme sur les petits arrangements entre le savoir documentaire et l'invention fictionnelle. Dans cette atroce page d'histoire, il a surtout vu l'occasion de tourner un film bien spectaculaire.
Télérama
Le réalisateur s'intéresse plus à ses séquences d'action qu'à la complexité de Heydrich. Et il ne recule devant aucune ficelle mélodramatique. Indigeste...