Louis-Ferdinand Céline
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dominique P.
dominique P.

853 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 20 mars 2016
J'ai hésite avant d'aller voir ce film.
Finalement je me suis décidée et j'ai passé un bon moment.
Le film est très bien réalisé et interprété, c'est sobre, classique, intéressant.
mem94mem
mem94mem

122 abonnés 577 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 18 mars 2016
Je me suis finalement décidé à aller ce film. Bien m'en a pris. Certes le film semble avoir bénéficié de peu de moyens, mais les dialogues et surtout la direction d'acteur excellent. Je découvre Philip Desmeules, il crève l'écran, et c'est une belle performance face à Denis Lavant qui met déjà la barre assez haut. Je ne vais pas épiloguer sur le choix de cette très courte tranche de vie de Céline, mais le film tient mieux que ses promesses. J'ai été pris dans le tourbillon des deux clowns.
Yves G.
Yves G.

1 528 abonnés 3 544 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 16 mars 2016
Fuyant la France libérée et les mesures d'épuration prises contre lui, Louis-Ferdinand Céline a trouvé refuge au Danemark entre 1945 et 1951 avec sa femme Lucette et son chat Bébert. Il entame une longue correspondance avec un universitaire juif américain Milton Hindus qu'il convainc de rédiger une pétition en sa faveur et de lui rendre visite à Korsør sur les bords de la mer Baltique. Le film de Emmanuel Bourdieu - fils de Pierre, normalien, agrégé et docteur en philosophie, scénariste des films de Desplechin et réalisateur de Vert Paradis et Les Amitiés maléfiques - raconte cette rencontre.

Comme son sous-titre l'annonce, il met face-à-face deux clowns qui s'intrumentalisent réciproquement. Le vieux Céline cherche une caution pour répondre aux accusations de collaborationnisme qui pèse sur lui. Le jeune Hindus cherche à obtenir les confessions du grand romancier pour écrire le livre qui lui confèrera la gloire. Des deux, c'est le premier qui est le plus clown : Denis Lavant, égal à lui-même, surjoue un Céline éruptif, paranoïaque, misanthrope et manipulateur. Face à lui, Philipp Desmeules est bien pâle. le personnage le plus intéressant est celui de l'épouse, Lucienne, joué par Géraldine Paulhas. C'est le seul personnage normal, censé, qui s'interpose efficacement entre les deux hommes lorsque le ton monte.

Louis-Ferdinand Céline aurait fait une excellente pièce de théâtre. Malheureusement, le face-à-face entre l'écrivain antisémite et son admirateur juif n'a pas beaucoup de potentiel cinématographique.
Maxence!
Maxence!

17 abonnés 107 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 14 mars 2016
Confrontation entre un Céline imbuvable, antisémite et pitoyable avec un auteur admirateur juif qui avale des couleuvres. Budget chiche qui a pu se payer de rares scènes en extérieur. Ca tourne au théâtre filmé avec la tentation d'en faire un peu trop pour sonner parfaitement juste. Le chat Bébert ronronne.
ffred
ffred

1 754 abonnés 4 033 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 14 mars 2016
D'Emmanuel Bourdieu, je n'avais vu que le loufoque Intrusions en 2008. Celui-là ne me disait trop rien (et puis Céline...) mais j'avais vu un bout de bande-annonce où Denis Lavant avait l'air d’être génial. J'adore cet acteur, je le trouve formidable. Et c'est encore le cas ici. Il est juste incroyable et incroyablement juste dans le rôle de l'écrivain. Géraldine Pailhas et Philip Desmeules sont parfaits mais lui, tient, porte et sublime tout le film. Film qui est d'ailleurs très réussi. Je m'attendais à quelque chose d'austère voir d'ennuyeux. Et c'est tout le contraire. Tiré de l'oeuvre du personnage principal Milton Hindus, le scénario est une merveille d'intelligence, de cynisme et d'humour. La mise en scène est un peu plus chaotique et nous donne des scènes d'une belle sobriété et d'autres beaucoup plus clownesques (Deux clowns pour une catastrophe, nous dit le sous-titre...). Au final, l'ensemble est assez passionnant et finit même par être fascinant. Un petit film qui va malheureusment passer totalement inaperçu. Assez complexe et pas facile d'accès, certes, mais une œuvre atypique, simplement mais magistralement mise en images et interprétée. Une belle surprise.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 13 mars 2016
Le cliché de l'écrivain fou. Un marasme à clichés en fait. Je m'attendais à un antisémitisme plus violent que ça, plus inquiétant, et à un homme moins pitoyable. Qui nous a pondu ce truc ?
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 13 mars 2016
Je n'avais pas vu la bande annonce... Je m'attendais à un portrait fidèle de l'auteur. J'avais une certaine confiance en Bourdieu, de qui je n'ai pas vu de films, mais qui a co-écrit certains scénarios de Desplechin. Que dire... Je me suis inscrit spécialement pour commenter ce film. Comment Louis Ferdinand Céline peut-il être rendu à un tel niveau de banalité ? Son caractère, ses phrases, ses intonations même... est-ce qu'on est bien en présence de l'écrivain du Voyage, de Mort à Crédit ? Celui qui sondait l'humanité, en même temps qu'il pouvait en être le plus fervent opposant, qui dégageait une poésie profonde et juste, serait lui-même quelqu'un qui parle en deçà de tous ses livres ? Les interviews de Céline sont connues de tout amateur de l'écrivain : il y brille bien plus. Je ne dis pas qu'il faille effacer l'antisémitisme (pas quand on traite de l'écrivain à cette période en effet). Le sujet est intéressant, et le choix de 48 est une très bonne idée. Mais enfin, même ça, ça n'est pas réussi. J'ai rarement vu acteur surjouer autant. Ce film est clairement un navet, qui va satisfaire tous les amateurs de navets, mais pas plus. Bourdieu semble se débattre avec son sujet, il glisse perpétuellement dans des lieux communs, la femme de Lucette rachète à peine l'acteur Céline... le tout parsemé de scènes censées être comiques, ou de passages faussement grandiloquents ou tragiques. Je me ferai sûrement taper sur les doigts par cette foule de satisfaits qui trouve ce film excellent... Si vous avez un peu de goût, évitez d'aller le voir.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 12 mars 2016
A tous les gens qui hésitent à aller voir ce film...n'hésitez plus...allez en voir un autre et attendez qu'il passe un jour sur france 3 un vendredi soir...L'histoire est sans intérêt, autant que le jeu des acteurs. La plupart des scènes sont ridicules...
desiles ben
desiles ben

31 abonnés 204 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 12 mars 2016
Etrange rencontre que cette rencontre entre un universitaire juif américain, admirateur de Céline et l'écrivain français, accompagné de son épouse et de son chat dans son exil danois. Loin de tout manichéisme, le réalisateur explore avec bonheur l'ambiguïté des relations délicieusement complexes qui se tissent à l'intérieur de ce trio. Les interprètes sont remarquables. Denis Lavant est saisissant de réalisme dans son interprétation d'un Céline baveux, frénétique et haineux, tantôt sincère, tantôt manipulateur. Géraldine Pailhas interprète sa femme, aimante mais pas soumise, avec une très grande grâce et classe et l'acteur qui interprète Milton Hindus rend parfaitement le malaise qui s'empare de l'admirateur devant un maître par trop impossible à aimer. L'ensemble est remarquable et susceptible d'intéresser même qui n'a pas lu Céline. Même le chat Bébert est formidable !
Daniel C.
Daniel C.

155 abonnés 725 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 11 mars 2016
L'incarnation de Louis Ferdinand Céline par Denis Lavant est brillantissime ! La folie créatrice, les failles narcissiques, l'ignominie du personnage, tout autant que son talent, sont joués avec beaucoup de conviction. Peut-on dissocier une oeuvre magistrale de son créateur ? L'antisémitisme célinien peut-il n'être considéré que comme un détail de l'histoire ? Ce qui est formidable, c'est ce lien transférentiel, qui noue Céline et son admirateur, avec l'ambivalence qui meut chacun des deux. Milton Hindus veut explorer l'artiste et sa création, mais peu à peu ce qu'il pensait pouvoir éviter devient incontournable. Céline l'interpelle en tant que juif et Hindus ne peut plus faire fi de l'aversion, que lui inspire Céline. La femme de Céline constitue un ambassadeur efficace, elle aime son mari et essaie de le protéger de sa folie. Elle le cadre, non pas tant pour protéger Hindus, mais pour préserver le lien entre les deux hommes, dans la perspective du profit que Céline pourrait escompter de la publication d'un livre sur lui dans une période où il est poursuivi par la justice.
Stéphane C
Stéphane C

65 abonnés 389 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 12 mars 2016
Loin d'être un "voyage au bout de l'ennui" cette confrontation confirme la noirceur d'un vieil hargneux rongé par la folie et malgré tout fascinant ...
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 11 mars 2016
Bourdieu se vautre dans un biopic à quelques kilomètres de Céline. L'ensemble de la narration se serre autour de 1948, ce qui eut dû faciliter l'entreprise : pas besoin de faire la généalogie d'une personnalité géniale et ambiguë. Il suffisait de camper un caractère fixe, en s'inspirant des nombreuses interviews filmées ou enregistrées de l'écrivain. Mais quiconque regardera tour à tour ces dites interviews et le film se rendra compte de l'échec total du film ; il n'y a pas même besoin pour ça de se plonger dans la poésie, dans la musique de ses œuvres... le langage légèrement déformé, le regard vif, les réponses métaphoriques ou ironiques de l'homme à la fin des années 50 suffisent à révéler que Denis Lavant, dans son théâtre comme au cinéma, ne joue qu'un pastiche de grossièreté... en plus d'oublier tout "raffinement". Scènes semblables : vous comparerez les discussions de Hindus avec Céline sur son travail, ses réponses, et celles du vrai Céline à des questions similaires. Le mauvais biopic ne fait jamais qu'abaisser l'intelligence de celui qu'il est censé illustrer. En terme d'abaissement, filmer de haut un Lavant déjà petit, alors que toutes les personnes qui ont connu Céline le décrivent comme grand et charismatique... c'est être le génie de la subversion des âmes.
Que reste-t-il du film, quand toute la partie de reproduction du personnage Céline est ratée ? Une intrigue qui ennuie, fondée uniquement sur le livre de Hindus, qui est un pamphlet contre l'écrivain ; un antisémitisme qui n'a même pas violence logorrhéique qu'on attendrait après avoir lu les pamphlets de Céline ; un talent cinématographique assez nul, plein de clichés, et de scènes bien sympathiques mais sans force.
Bourdieu aurait dû prendre encore plus de risque, quitte à assassiner l'auteur... il en serait peut-être ressorti un peu plus : un biopic sur la vie entière, lettres de Céline enfant à l'appui, lettres de guerres, témoignages, Voyage au bout de la nuit, les Pamphlets, l'après-guerre, Meudon... Quelque chose de plus sombre, sur la vie et l'homme.
ferdinand75
ferdinand75

581 abonnés 3 959 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 10 mars 2016
Un film très réussi, alors que le défi paraissait insensé. Il s’agissait d’adapter non pas un des grands romans du célèbre écrivain , comme le cultissime « Voyage au bout de la nuit » ou « Mort à crédit » , tâche à laquelle s’étaient attelés un grand nombre de réalisateurs et des plus grands, depuis plusieurs décennies , sans jamais y parvenir, mais de créer de toute pièce un film à partir d’une période peu connue de la vie de LF Céline, réfugié au Danemark, qui était à ce jour seulement identifié et commenté par les Céliniens historiques , purs et durs. La force de Bourdieu et de Marcia Romano est d’avoir écrit un scénario passionnant à partir de ce « non évènement »,et d’en avoir fait un film de cinéma , "vrai" , passionnant et captivant. Tout y est : du suspens, des rebondissements, une intrigue sans temps mort, une réalisation impeccable avec des prises de vues très soignées, des cadrages au cordeau, avec des contre champ très étudiés à couper le souffle, une belle technique cinématographique, de l’humour ( la scène de la danse Yidish qui tourne à l’amer est un must ), et même quelques scènes « sensuelles » grâce à la très belle Géraldine Pailhas ,qui nous gratifie d’un superbe bain à la vapeur scandinave, en version naturiste . On vit la peur, l’angoisse de l’artiste, sa mégalomanie aussi. Les dialogues adaptés , soit des écrits de Céline , soit du livre témoignage de Hindus, sont bien sûr excellents, mais surtout bien sélectionnés, un sans faute. Le sujet et le fonds du film est intemporel et dépasse le sujet Céline. Peut –on dissocier l’œuvre d’un artiste de sa vie privée, de son comportement ? Cette question s’est posé de maintes fois, avec JJ Rousseau et son contrat social, qui abandonne ses enfants, avec Voltaire, avec des chanteurs ou peintres célèbres, humanistes en public, mais autoritaires dans leur vie privée . Milton Hindus, est un jeune professeur d’université, rationaliste, intellectuel, raisonné, analytique, et aussi juif. Il veut rencontrer l’écrivain qu’il adore pour comprendre l’ensemble de ses écrits, même les plus contestés, celui-ci s’étant réfugié au Danemark après la libération . Mais Céline est tout son contraire : irrationnel, impulsif, poétique, excessif, caricatural, ses prises de position ne sont pas des raisonnements, mais des impulsions. Le film nous montre comment une approche initiale favorable va se dégrader, parce que l’homme n’est pas « à la hauteur » de son œuvre aux yeux de l'américain. Bourdieu respecte scrupuleusement la séquence de la rencontre historique. Il garde une position bien balancée, tout en occultant rien. Il ne nous demande pas de jugement, mais nous montre juste la réalité de ce qui s’est passé et probablement le désarroi de Hindus et de LFC, face à cet échec. . Les acteurs sont formidables. Denis Lavant nous gratifie d’une composition exceptionnelle, habité par le personnage de LFC .On retrouve le sublime acteur des deux chef d’œuvre de Carax ,« Mauvais Sang » et « Amants du pont neuf » ( on l’avait revu avec plaisir cette année dans le très joli film des frères Larrieu, "21 nuits Pattie" ). Pailhas est formidable et amène toute la classe nécessaire au personnage de Lili : tempérée, mesurée et muse de LFC. Desmeules est impeccable et crédible en Hindus . La musique originale de Grégoire Hetzel est parfaite, envoutante et accompagne parfaitement le récit . Pas besoin donc de connaître ou d’aimer Céline, car l’œuvre de Bourdieu se suffit en elle même, comme une belle œuvre cinématographique, profonde,sobre , intense et sincère. .
cylon86
cylon86

2 580 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 10 mars 2016
Jusqu'à présent, Louis-Ferdinand Céline n'avait jamais été abordé par le cinéma français. Il n'est pas compliqué de deviner pourquoi vu le personnage, à la fois écrivain brillant et antisémite avéré. Difficile de marier les deux, l'homme fait peur. Emmanuel Bourdieu a décidé de s'y attaquer en se basant sur un livre écrit par Milton Hindus. Son film est donc l'histoire d'une rencontre. Celle entre Louis-Ferdinand Céline et Milton Hindus. En 1948, Céline est exilé au Danemark alors que la France l'accuse d'avoir collaboré avec les nazis. Milton Hindus, jeune écrivain juif américain l'admire et le soutient avec ardeur. Le voilà donc qui débarque au fin fond de la campagne danoise, heureux de rencontrer son idole mais nourrissant l'envie d'en tirer un livre qui fera décoller sa carrière. Forcément la rencontre entre le vieil écrivain antisémite et le jeune écrivain juif va faire des étincelles, tempérées par Lucette, la femme de Céline. Il faut reconnaître au film sa façon d'éviter tout manichéisme. Des trois personnages principaux, aucun n'est vraiment innocent. Certes, Céline est un antisémite avéré et il ne s'en cache pas mais avec sa femme, il sait qu'il a besoin d'Hindus pour le réhabiliter. Hindus, quant à lui, nourrit l'espoir que cette rencontre donne naissance à son livre. Chacun des deux hommes a donc besoin de l'autre. Des compromis sont faits et ce malgré les nombreux dérapages d'un Céline caractériel à la grande gueule. La force du film est d'ailleurs de ne pas montrer l'écrivain comme un complet salaud. Tout est nuancé et relativement intelligent, prenant bien soin de complexifier chaque situation et de montrer Céline comme un homme désemparé, exilé au fin fond du Danemark alors qu'il espère revenir à Paris. Cela dit, "Louis-Ferdinand Céline" est un film qui donne souvent l'impression de se répéter. On sent dans chaque scène le côté un peu philosophe d'Emmanuel Bourdieu et on y retrouve un schéma très ''thèse, antithèse, synthèse'' pas forcément subtil et pas toujours discret. La peur de faire de son personnage un stéréotype vulgaire se sent et le scénario s'acharne à beaucoup le justifier. Cet amoncellement de scènes bavardes, de confrontations d'idéaux entre Céline et Hindus finit par produire une sorte de structure artificielle qui ne se rend pas forcément compte qu'elle est là. Et le jeu tout en excès de Denis Lavant qui en fait des caisses dans le rôle principal ne plaide pas forcément en la faveur de l'ensemble. Pourtant Lavant n'est pas mauvais, il arrive à transmettre de belles émotions et de belles contradictions quand il s'y met. Mais le plus souvent, c'est l'excès qui domine. L'excès et une bonne dose de dialogues intelligents mais pas toujours subtils. Il en résulte donc un film bavard, loin d'être bête mais manquant cruellement d'âme.
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 13 mars 2016
Céline étant mon sujet de travail, je ne peux pas vraiment m'ennuyer devant un film comme celui là.
Points fort : Lucette très subtilement interprétée, une photographie magnifique.
Points faibles : le scénario. vendu comme un biopic de Céline, c'est une adaptation du bouquin d'Hindus. Le titre est limite mensonger.

Bref à voir s'il on est un Célinien inconditionnel. Sinon ça ne sert à rien, ça va être très long et pas palpitant.
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