Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Venue du Nord, cette histoire simple relate une rencontre qui ravigote la vie trop bien réglée de deux quadragénaires d’aujourd’hui. L’alchimie parfaite du duo de comédiens fait briller de mille feux un récit à la fois sobre et mystérieux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Beaucoup de neutralité dans cette histoire, dont les non-dits distillent un malaise profond qui donne tout son sel à une love story incertaine et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il faudrait plus d’énergie pour renouveler tout à fait le thème de la brève rencontre. Mais, servie par des interprètes bien assortis (Marie-Josée Croze et Mikko Nousiainen), l’histoire sans lendemain entre une architecte quadragénaire et un DJ de dix ans son cadet prend ici une délicatesse et une complexité inattendues.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Malgré quelques invraisemblances, le film de Mikko Kuparinen surprend, tant par son originalité que par sa sobriété.
Positif
par Yannick Lemarié
"2 nuits jusqu'au matin" souligne parfois un peu trop les intentions de son auteur, mais il faut reconnaître à Mikko Kuparinen un vrai talent de cinéaste pour renouveler le genre et apporter une touche personnelle et moderne à un scénario a priori convenu.
Télérama
par Nicolas Didier
Mineur mais plaisant, cet ersatz de "Lost in translation", de Sofia Coppola, vaut pour la délicatesse du cinéaste — la caméra semble flotter en apesanteur —, qui décrit entre ses personnages une relation ambiguë, à durée limitée, qui, pendant quelques heures, échappe à un quotidien archiminuté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Christophe Narbonne
Aux épais clichés sur l'ultramoderne solitude (...) s'ajoute une systématisation qui tombe dans toutes les trappes tendues par un scénario prétendant pourtant les éviter. La délicate Marie-Josée Croze est impuissante.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Ce mélo confond réflexions philosophiques avec bavardages oiseux. Sans intérêt, malgré le charme sensuel des acteurs.
aVoir-aLire.com
Venue du Nord, cette histoire simple relate une rencontre qui ravigote la vie trop bien réglée de deux quadragénaires d’aujourd’hui. L’alchimie parfaite du duo de comédiens fait briller de mille feux un récit à la fois sobre et mystérieux.
L'Humanité
Beaucoup de neutralité dans cette histoire, dont les non-dits distillent un malaise profond qui donne tout son sel à une love story incertaine et mélancolique.
Le Monde
Il faudrait plus d’énergie pour renouveler tout à fait le thème de la brève rencontre. Mais, servie par des interprètes bien assortis (Marie-Josée Croze et Mikko Nousiainen), l’histoire sans lendemain entre une architecte quadragénaire et un DJ de dix ans son cadet prend ici une délicatesse et une complexité inattendues.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques invraisemblances, le film de Mikko Kuparinen surprend, tant par son originalité que par sa sobriété.
Positif
"2 nuits jusqu'au matin" souligne parfois un peu trop les intentions de son auteur, mais il faut reconnaître à Mikko Kuparinen un vrai talent de cinéaste pour renouveler le genre et apporter une touche personnelle et moderne à un scénario a priori convenu.
Télérama
Mineur mais plaisant, cet ersatz de "Lost in translation", de Sofia Coppola, vaut pour la délicatesse du cinéaste — la caméra semble flotter en apesanteur —, qui décrit entre ses personnages une relation ambiguë, à durée limitée, qui, pendant quelques heures, échappe à un quotidien archiminuté.
Première
Aux épais clichés sur l'ultramoderne solitude (...) s'ajoute une systématisation qui tombe dans toutes les trappes tendues par un scénario prétendant pourtant les éviter. La délicate Marie-Josée Croze est impuissante.
Studio Ciné Live
Ce mélo confond réflexions philosophiques avec bavardages oiseux. Sans intérêt, malgré le charme sensuel des acteurs.