Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
"La tête à l’envers" réussit là où "The Square" échouait. Josef Hader livre une satire sociale acide mais, loin de la leçon sentencieuse et poussiéreuse de Ruben Östlund, il garde un ton suffisamment distancié pour apporter une vision pertinente des classes privilégiées dans le milieu culturel. Dans la parabole d’Östlund, désincarnés, les personnages se limitaient à des figures symboliques caricaturales. Chez Hader, ils sont des êtres de chair.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
L'humoriste et réalisateur autrichien Josef Hader s'en donne à coeur joie dans ce film décapant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une critique percutante et subtile du narcissisme en milieu bourgeois.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Louise Dumas
Pour son passage à la réalisation, Josef Hader signe ainsi avec "La Tête à l'envers" un film bien de notre temps, finement monté et rondement mené.
Télérama
par Frédéric Strauss
Le talent comique de l’Autrichien Josef Hader n’apparaissait évidemment pas dans Stefan Zweig. Adieu l’Europe (2016), où il interprétait l’écrivain. Passé à la réalisation, le comédien donne libre cours à une drôlerie très séduisante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Muriel Steinmetz
Auteur, réalisateur et acteur de cette histoire tragi-comique à fond social, Josef Hader, connu pour sa pratique du one-man-show, à ce titre véritable star en Autriche, nous promène à la suite d’une caméra alerte, filme parfois un visage à bout touchant et multiplie les champs-contrechamps de personnages désunis, dans une atmosphère grise qui traduit l’individualisme dans un monde de dissimulation.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Très soignée sur le plan visuel, cette fable absurde distille un humour acide et désenchanté, marque de fabrique des comédies allemandes et autrichiennes, qui n’est pas sans rappeler celui des récents Toni Erdmann de Maren Ade ou The Square de Ruben Östlund, Palme d’or à Cannes l’année dernière.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par La Rédaction
Satire sociale autant que réjouissante comédie dépressive qui se permet même de flirter avec l'univers des frères Coen.
Le Figaro
par La Rédaction
Le premier film de l'Autrichien Josef Hader, qui s'offre le rôle principal, démarre en fanfare, accuse quelques baisses de tension, pratique un humour à froid, comme si Derrick avait adopté un enfant avec Woody Allen.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Star du stand-up en Autriche, Josef Hader signe une premier film acide.
Première
par Christophe Narbonne
Avec un sens très autrichien de l’humour (longs plans fixes qui cherchent une forme de sidération comique ; personnages exagérément antipathiques dont l’humanité se révèle en creux), Josef Hader livre sa version masculine de Toni Erdmann, soit une plongée à la fois amusée et sérieuse dans la dépression d’un personnage autocentré, en conflit avec l’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
Issu du one-man-show, le comédien, scénariste et réalisateur Josef Hader gratte la classe moyenne là où ça fait mal. Tiendrait-on le Nanni Moretti autrichien ? Las, son autodérision fait long feu, et l'acrimonie de son personnage d'intello aigri contamine tout, au détriment des rôles secondaires et d'un film qui s'alourdit à vue d'œil. A l'humour d'Hader, on n'adhère qu'un temps.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film, drôle par éclats, se perd dans la dernière zone.
Le Parisien
par La Rédaction
Dommage que l’humour et l’émotion ne soient pas au rendez-vous de cette comédie dramatique originale à la mise en scène soignée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Du personnage de ce critique de rock congédié par son journal qui va tenter maladroitement de se venger, Hader déploie avec talent son personnage de clown triste dans un portrait finalement lassant à force de partir dans les tous les sens. Et de manquer sérieusement de légèreté. Syndrome de la grosse tête ?
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Culturopoing.com
"La tête à l’envers" réussit là où "The Square" échouait. Josef Hader livre une satire sociale acide mais, loin de la leçon sentencieuse et poussiéreuse de Ruben Östlund, il garde un ton suffisamment distancié pour apporter une vision pertinente des classes privilégiées dans le milieu culturel. Dans la parabole d’Östlund, désincarnés, les personnages se limitaient à des figures symboliques caricaturales. Chez Hader, ils sont des êtres de chair.
Franceinfo Culture
L'humoriste et réalisateur autrichien Josef Hader s'en donne à coeur joie dans ce film décapant.
Les Fiches du Cinéma
Une critique percutante et subtile du narcissisme en milieu bourgeois.
Positif
Pour son passage à la réalisation, Josef Hader signe ainsi avec "La Tête à l'envers" un film bien de notre temps, finement monté et rondement mené.
Télérama
Le talent comique de l’Autrichien Josef Hader n’apparaissait évidemment pas dans Stefan Zweig. Adieu l’Europe (2016), où il interprétait l’écrivain. Passé à la réalisation, le comédien donne libre cours à une drôlerie très séduisante.
L'Humanité
Auteur, réalisateur et acteur de cette histoire tragi-comique à fond social, Josef Hader, connu pour sa pratique du one-man-show, à ce titre véritable star en Autriche, nous promène à la suite d’une caméra alerte, filme parfois un visage à bout touchant et multiplie les champs-contrechamps de personnages désunis, dans une atmosphère grise qui traduit l’individualisme dans un monde de dissimulation.
La Croix
Très soignée sur le plan visuel, cette fable absurde distille un humour acide et désenchanté, marque de fabrique des comédies allemandes et autrichiennes, qui n’est pas sans rappeler celui des récents Toni Erdmann de Maren Ade ou The Square de Ruben Östlund, Palme d’or à Cannes l’année dernière.
La Voix du Nord
Satire sociale autant que réjouissante comédie dépressive qui se permet même de flirter avec l'univers des frères Coen.
Le Figaro
Le premier film de l'Autrichien Josef Hader, qui s'offre le rôle principal, démarre en fanfare, accuse quelques baisses de tension, pratique un humour à froid, comme si Derrick avait adopté un enfant avec Woody Allen.
Le Journal du Dimanche
Star du stand-up en Autriche, Josef Hader signe une premier film acide.
Première
Avec un sens très autrichien de l’humour (longs plans fixes qui cherchent une forme de sidération comique ; personnages exagérément antipathiques dont l’humanité se révèle en creux), Josef Hader livre sa version masculine de Toni Erdmann, soit une plongée à la fois amusée et sérieuse dans la dépression d’un personnage autocentré, en conflit avec l’humanité.
L'Obs
Issu du one-man-show, le comédien, scénariste et réalisateur Josef Hader gratte la classe moyenne là où ça fait mal. Tiendrait-on le Nanni Moretti autrichien ? Las, son autodérision fait long feu, et l'acrimonie de son personnage d'intello aigri contamine tout, au détriment des rôles secondaires et d'un film qui s'alourdit à vue d'œil. A l'humour d'Hader, on n'adhère qu'un temps.
Le Monde
Le film, drôle par éclats, se perd dans la dernière zone.
Le Parisien
Dommage que l’humour et l’émotion ne soient pas au rendez-vous de cette comédie dramatique originale à la mise en scène soignée.
Paris Match
Du personnage de ce critique de rock congédié par son journal qui va tenter maladroitement de se venger, Hader déploie avec talent son personnage de clown triste dans un portrait finalement lassant à force de partir dans les tous les sens. Et de manquer sérieusement de légèreté. Syndrome de la grosse tête ?