Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Bande à part
par Fadette Drouard
Tordre la réalité des films d’action et s’en amuser. Là où les autres deviennent – trop – sérieux, jouer la carte du tout est possible, des gadgets. De quoi nous rappeler le bon vieux temps où 007 sautait en pull de barrages pour rentrer dans un avion en train de s’écraser, le redresser et voler vers le soleil couchant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film à fort pouvoir délirant, surenchère parodique de toutes les jamesbonderies, dans une alliance de high-tech, de trash, d’action explosive et d’humour détonant : ultra british !
Le Point
par Philippe Guedj
Bref, une suite en bronze davantage qu'en or, mais qui atteint ses objectifs et reste dans le cercle de notre estime distinguée.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Si le deuxième épisode ne peut pas vraiment rééditer l’effet de surprise produit par son prédécesseur et son irrévérence absurde, frisant la démence, il en confirme néanmoins la direction et élève même la saga naissante au rang de seule franchise d’espionnage véritablement connectée à son époque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Alexandre Poncet
L'Espion qui m'aimait filmé par Tsui Hark. Inégal, mais souvent hallucinant.
Première
par Sylvestre Picard
Kingsman reste fidèle à son style de James Bond période Roger Moore version trash mais se libère de sa pseudo-nécessité de surprendre et de faire le sale gosse. Et Vaughn se recadre, fait du cinéma, à travers les bastons parfaitement jouissives, chorégraphiées à la hong-kongaise par Guillermo Grispo (300, Wonder Woman...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Florence Roman
Le casting de ce nouvel opus regorge d'acteurs cinq étoiles.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Tournant une fois de plus les codes des films d'espionnage en parfaite dérision, "Le Cercle d'Or" nous ferait presque oublier son inoubliable prédécesseur.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une suite réussie aux rebondissements savamment distillés.
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Suite oblige, Matthew Vaughn reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier film : gadgets à gogo, humour absurde, mise en scène débridée, casting cinq étoiles et combats sanglants. Force est de constater que cela lui réussit.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Suite oblige, Matthew Vaughn reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier film : gadgets à gogo, humour absurde, mise en scène débridée, casting cinq étoiles et combats sanglants. Force est de constater que cela lui réussit.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
aVoir-aLire.com
par Olivier Raynaud
La franchise so British se taille une suite sur mesure, détonante et visuellement époustouflante, presque à la hauteur de son prédécesseur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La Rédaction
Le scénario, assez convenu, ne brille pas par ses prouesses à composer des personnages à la belle épaisseur, (…). Mais ce divertissement continue de se démarquer par son atmosphère de papier glacé pop et coloré, à l’énergie, la violence et la provocation assumées.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
À défaut de faire de Kingsman un premier de la classe, ce plaisir simple et pétillant rappelle combien l’espionnage est bien plus qu’un métier à risques : un rêve d’enfant, tout en montres explosives et sauvetages du monde sur le fil.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ce Cercle d'or a l’esprit particulièrement taquin et le ricanement très malicieux. Il fonctionne d’ailleurs plus en tant que comédie (jouant avec les codes du cinéma américain notamment) que film d’action.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Closer
par La Rédaction
Toujours aussi fun et déluré, ce deuxième volet perd tout de même un peu de sa saveur, le scénario étant enseveli sous une débauche de scènes d'action.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Julianne Moore s'avère réjouissante dans la peau de la psychologue en quête de reconnaissance et figée dans les années 1950. Décoiffant.
IGN France
par Vincent de Lavaissiere
Malgré des scènes d'action toujours aussi maîtrisées, Kingsman : Le Cercle d'Or peine à faire évoluer la recette qui a fait le succès du premier volet.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Express
par Christophe Carrière
L'effet de surprise ne sonne jamais deux fois. Les scénaristes ont donc multiplié les scènes d'action et ont redoublé d'efforts pour faire rire. Le résultat reste plutôt inégal quoique globalement positif.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Cela se laisse regarder, mais on reste dans la parodie d’espionnage, basée sur une pléthore d’effets spéciaux et de décors surchargés. Beaucoup de kitsch, de la salacité à gogo, de la violence stylisée, et le tour est joué.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce second opus, toujours adapté des BD de Mark Millar et Dave Gibbons, s'inscrit dans la lignée, effet de surprise en moins. Quoique Julianne Moore en version desperate housewife de Pablo Escobar kidnappant sir Elton John pour qu'il lui chante ses tubes dans ses vieux costumes de scène, il fallait y penser.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Renaud Baronian
C'est dans ce long passage que le film est très en deçà du premier : au contact des Yankees, les Kingsman perdent de leur âme anglaise. (...) Tout n'est pas raté pour autant : Colin Firth, qui reprend son rôle de pilier de l'agence, est toujours aussi impérial. Et le film peut compter sur un invité de choix : Elton John en personne (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Un bon divertissement.
Télérama
par Cécile Mury
On y retrouve tout ce qui faisait le sel du premier volet : même débauche de gadgets délirants, d’ultraviolence pour rire, et surtout de références ironiques : un James Bond sous amphétamines, coincé dans un épisode de Chapeau melon et bottes de cuir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
On attendait la suite de cette parodie de films d'espionnage. Mais reste une impression mitigée. De l'action, du délire et moins de fun, des personnages caricaturaux ou effleurés.
Critikat.com
par Josué Morel
Le film, décalque inégal mais par instants réussi du premier volet, s’en tient à une redite en-deçà de son modèle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par B.T.
Avec le premier épisode voilà deux ans, Matthew Vaughn avait donné un souffle délirant à la comédie d’espionnage. Porté par le succès, il opte pour la facilité en choisissant la redite et dissout son audace dans un film d’action désormais industriel.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’image semble ici conçue comme un présentoir et le film se traverse comme un temple de la consommation. L’ensemble s’avérant aussi distrayant et superflu qu’un aprèsmidi de shopping compulsif.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Si le premier volet avait donné un sacré coup de jeune au film d’espionnage, le second se prend trop au sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le Figaro
par La Rédaction
Colin Firth a un bandeau de pirate sur l'œil. De l'autre, il louche sur le box-office et le chèque de la production. Oubliable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Olivier Lamm
(...) un rajeunissement du film d’espion au service de sa majesté à coups d’ultraviolence gratuite, d’ironie crasse et de gimmicks de mise en scène empruntés au jeu vidéo (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Tordre la réalité des films d’action et s’en amuser. Là où les autres deviennent – trop – sérieux, jouer la carte du tout est possible, des gadgets. De quoi nous rappeler le bon vieux temps où 007 sautait en pull de barrages pour rentrer dans un avion en train de s’écraser, le redresser et voler vers le soleil couchant.
Le Dauphiné Libéré
Un film à fort pouvoir délirant, surenchère parodique de toutes les jamesbonderies, dans une alliance de high-tech, de trash, d’action explosive et d’humour détonant : ultra british !
Le Point
Bref, une suite en bronze davantage qu'en or, mais qui atteint ses objectifs et reste dans le cercle de notre estime distinguée.
Les Inrockuptibles
Si le deuxième épisode ne peut pas vraiment rééditer l’effet de surprise produit par son prédécesseur et son irrévérence absurde, frisant la démence, il en confirme néanmoins la direction et élève même la saga naissante au rang de seule franchise d’espionnage véritablement connectée à son époque.
Mad Movies
L'Espion qui m'aimait filmé par Tsui Hark. Inégal, mais souvent hallucinant.
Première
Kingsman reste fidèle à son style de James Bond période Roger Moore version trash mais se libère de sa pseudo-nécessité de surprendre et de faire le sale gosse. Et Vaughn se recadre, fait du cinéma, à travers les bastons parfaitement jouissives, chorégraphiées à la hong-kongaise par Guillermo Grispo (300, Wonder Woman...).
Public
Le casting de ce nouvel opus regorge d'acteurs cinq étoiles.
Rolling Stone
Tournant une fois de plus les codes des films d'espionnage en parfaite dérision, "Le Cercle d'Or" nous ferait presque oublier son inoubliable prédécesseur.
Studio Ciné Live
Une suite réussie aux rebondissements savamment distillés.
Télé 2 semaines
Suite oblige, Matthew Vaughn reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier film : gadgets à gogo, humour absurde, mise en scène débridée, casting cinq étoiles et combats sanglants. Force est de constater que cela lui réussit.
Télé Loisirs
Suite oblige, Matthew Vaughn reprend les ingrédients qui ont fait le succès du premier film : gadgets à gogo, humour absurde, mise en scène débridée, casting cinq étoiles et combats sanglants. Force est de constater que cela lui réussit.
aVoir-aLire.com
La franchise so British se taille une suite sur mesure, détonante et visuellement époustouflante, presque à la hauteur de son prédécesseur.
CNews
Le scénario, assez convenu, ne brille pas par ses prouesses à composer des personnages à la belle épaisseur, (…). Mais ce divertissement continue de se démarquer par son atmosphère de papier glacé pop et coloré, à l’énergie, la violence et la provocation assumées.
Chronic'art.com
À défaut de faire de Kingsman un premier de la classe, ce plaisir simple et pétillant rappelle combien l’espionnage est bien plus qu’un métier à risques : un rêve d’enfant, tout en montres explosives et sauvetages du monde sur le fil.
CinemaTeaser
Ce Cercle d'or a l’esprit particulièrement taquin et le ricanement très malicieux. Il fonctionne d’ailleurs plus en tant que comédie (jouant avec les codes du cinéma américain notamment) que film d’action.
Closer
Toujours aussi fun et déluré, ce deuxième volet perd tout de même un peu de sa saveur, le scénario étant enseveli sous une débauche de scènes d'action.
Femme Actuelle
Julianne Moore s'avère réjouissante dans la peau de la psychologue en quête de reconnaissance et figée dans les années 1950. Décoiffant.
IGN France
Malgré des scènes d'action toujours aussi maîtrisées, Kingsman : Le Cercle d'Or peine à faire évoluer la recette qui a fait le succès du premier volet.
L'Express
L'effet de surprise ne sonne jamais deux fois. Les scénaristes ont donc multiplié les scènes d'action et ont redoublé d'efforts pour faire rire. Le résultat reste plutôt inégal quoique globalement positif.
L'Humanité
Cela se laisse regarder, mais on reste dans la parodie d’espionnage, basée sur une pléthore d’effets spéciaux et de décors surchargés. Beaucoup de kitsch, de la salacité à gogo, de la violence stylisée, et le tour est joué.
L'Obs
Ce second opus, toujours adapté des BD de Mark Millar et Dave Gibbons, s'inscrit dans la lignée, effet de surprise en moins. Quoique Julianne Moore en version desperate housewife de Pablo Escobar kidnappant sir Elton John pour qu'il lui chante ses tubes dans ses vieux costumes de scène, il fallait y penser.
Le Parisien
C'est dans ce long passage que le film est très en deçà du premier : au contact des Yankees, les Kingsman perdent de leur âme anglaise. (...) Tout n'est pas raté pour autant : Colin Firth, qui reprend son rôle de pilier de l'agence, est toujours aussi impérial. Et le film peut compter sur un invité de choix : Elton John en personne (...).
Télé 7 Jours
Un bon divertissement.
Télérama
On y retrouve tout ce qui faisait le sel du premier volet : même débauche de gadgets délirants, d’ultraviolence pour rire, et surtout de références ironiques : un James Bond sous amphétamines, coincé dans un épisode de Chapeau melon et bottes de cuir.
Voici
On attendait la suite de cette parodie de films d'espionnage. Mais reste une impression mitigée. De l'action, du délire et moins de fun, des personnages caricaturaux ou effleurés.
Critikat.com
Le film, décalque inégal mais par instants réussi du premier volet, s’en tient à une redite en-deçà de son modèle.
Le Journal du Dimanche
Avec le premier épisode voilà deux ans, Matthew Vaughn avait donné un souffle délirant à la comédie d’espionnage. Porté par le succès, il opte pour la facilité en choisissant la redite et dissout son audace dans un film d’action désormais industriel.
Le Monde
L’image semble ici conçue comme un présentoir et le film se traverse comme un temple de la consommation. L’ensemble s’avérant aussi distrayant et superflu qu’un aprèsmidi de shopping compulsif.
Paris Match
Si le premier volet avait donné un sacré coup de jeune au film d’espionnage, le second se prend trop au sérieux.
Le Figaro
Colin Firth a un bandeau de pirate sur l'œil. De l'autre, il louche sur le box-office et le chèque de la production. Oubliable.
Libération
(...) un rajeunissement du film d’espion au service de sa majesté à coups d’ultraviolence gratuite, d’ironie crasse et de gimmicks de mise en scène empruntés au jeu vidéo (...).