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    Juste La Fin Du Monde
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    3,6
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    803 critiques spectateurs

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    Catherine D.
    Catherine D.

    27 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2016
    Au plus près des émotions , dans les regards et les non dits. Xavier Nolan nous emporte à nouveau dans son monde où tout est sensible
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 septembre 2016
    Juste la fin du monde c'est les retrouvailles d’une famille disloquée qui a grandement été fragilisée par le départ de l’un deux douze ans plus tôt. Lorsqu’ils apprennent que Louis, le déserteur, le benjamin de la famille, décide de revenir les voir après ces longues années d’absence et de quasi-silence radio, forcément, ils s’interrogent. Pourquoi décide-t-il de revenir si subitement ? Le spectateur le sait d’entrée de jeu, mais la famille n’en à aucune idée. Ils spéculent, s’inquiètent, et finissent par avoir peur d’une vérité qu’ils ne pourraient peut être pas supporter. Xavier Dolan signe un long métrage impressionnant sur tous les plans. Impressionnant par sa maturité, sa réalisation et son ambiance. Impressionnant par ses acteurs qui sont bouleversants, à l’image de l’intrigue du film. On pleure d’eux, incapables qu’ils sont de regarder la vérité en face, mais on pleure aussi avec eux, de leur détresse qui se lit dans chacune de leurs expressions. Un grand film, et un grand Dolan.

    Mon avis complet est disponible sur le Coin du Cinéphile :
    Jules D.
    Jules D.

    5 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 avril 2017
    Après le magnifique "Mommy", le jeune Xavier Dolan décide de rester dans le thème de l'amour maternel (comme dans ses précédents films) et de l'élargir même à toute une famille en adaptant la pièce de Jean-Luc Lagarce. Et c'est toujours aussi percutant ! En effet Dolan a toujours eu tendance à amplifier les émotions et les tensions entre ses personnages dans ses films ce qui fait en partie sa marque de fabrique, procédé encore plus présent dans ce dernier. À part Nathalie Baye, Dolan n'avait jamais travaillé avec ces acteurs et pourtant on sent qu'il a réussit à comprendre à merveille les personnalités de ses personnages et à parvenir à les retranscrire avec sa troupe de comédiens pour un rendu fonctionnant à merveille. Mention spéciale pour Marion Cotillard qui a su se détacher du personnage de femme fatale manipulatrice auquel elle été attachée pour se lancer sur un terrain complètement inconnu prenant ainsi de très grands risques. Ainsi ce film devient complètement bouleversant grâce aux interprétations de certains acteurs (Vincent Cassel toujours aussi impressionnant) et criant de vérité. Dolan s'essaye à de nouveaux procédés de réalisation comme il adore le faire dans chacun des ses films car oui Dolan est un génie perfectionniste toujours dans une recherche d'élaboration.

    4,5/5
    Roman G.
    Roman G.

    19 abonnés 100 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 octobre 2016
    Des émotions du débuts à la fin.... Une transcription de ce que pouvez être ( et hélas toujours d'actualité) les rapports à la famille...à la maladie... à la souffrance ... A voir, tout simplement !!!
    Cinéphilion
    Cinéphilion

    63 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 septembre 2016
    Après l’exceptionnel « Mommy », Xavier Dolan revient avec ce nouveau chef d’oeuvre qu’il qualifie lui même comme étant son film le plus complet et s’offre un casting français hautement prestigieux représenté par Nathalie Baye, Marion Cotillard, Léa Seydoux, Vincent Cassel et Gaspard Ulliel. Chacun d’entre eux fracasse le grand écran avec leur rôle respectif au point d’en être méconnaissables physiquement. La forme du récit repose sur une simplicité épousé de noblesse dans un décor volontairement asphyxiant démontré par des gros plans sur les visages des personnages. L’exploitation des talents d’acteurs a ainsi été maximal afin de capter des instants d’émotions silencieux mais harmonieux. En effet, nombreuses sont les scènes de confidences et de tête à tête semblables à un tableau théâtrale. C’est pourquoi la base du long-métrage passe par les expressions faciales et une volonté d’interprétation de dialogues longs et interminables où le but est de lasser le spectateur de l’écoute afin de le recentrer sur les sentiments visuellement perceptibles. Voilà à quoi répond cette histoire de famille déchirée mais tellement attachée où chacun peine à exprimer son amour envers l’autre. Une leçon de vie où les grandes tirades inutiles masquent un silence dénonciateur. En plus d’un visuel finement étudié, le son entre complètement en compte dans « Juste la fin du monde » renforçant l’aspect affectif et poignant. Aussi, l’écriture présente deux entractes musicales exceptionnelles qui reviennent sur le passé de Louis venu annoncé sa mort. Ces instants de vie permettent de pénétrer l’esprit du personnage et Xavier Dolan et son équipe font de la musique, une représentation de moments de souvenirs. Le final est une explosion émotionnelle aussi dérangeant que libérateur bazardant tous les malentendus volontaires où chacun s’autoprotège dans le mensonge. « Juste la fin du monde » est un drame familial rempli de sentiments mal cachés et de pudeur comparable à « Un été à Osage County » avec Meryl Streep. A l’image de PedroAlmodovar par exemple, Xavier Dolan frappe le monde du cinéma avec sa pâte en unifiant tout type de public et en s’imposant comme étant un des plus grands réalisateurs de cette décennie. Bravo.

    Bilan : Xavier Dolan signe un voyage émotionnel intemporel.
    solaris-33
    solaris-33

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2016
    Le film s'ouvre dans un avion. Mais c'est bien une fois sur Terre que les turbulences démarrent. Alors un conseil accrochez-vous ca remue. Et gare à l'atterissage. Le plus fort est que ce film étant un film très "verbeux", les phrases les plus fortes sont celles qui ne sont pas prononcées mais qui restent au bord des lèvres de Gaspard Ulliel ou de Marion Cotillard. Des mots qui passent dans les regards et le fremissement des levres lorsqu'ils ne peuvent pas sortir. Une vraie réussite qui ne peut pas laisser indifférent.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 septembre 2016
    Après un "Mommy" stratosphérique et éreintant, comment Xavier Dolan allait-il faire pour poursuivre son incroyable chevauchée artistique à un âge ou la plupart des géants du cinéma s'amusaient encore avec trois bouts de ficelle sur des courts-métrages en noir et blanc? Avec "Juste la fin du monde", le jeune prodige canadien franchit un stade dans son exploration de la brutalité et de la passion engendrées par les relations familiales. L'histoire est simple : un jeune mec retourne dans sa famille le temps d'un repas pour leur annoncer sa mort prochaine. Seulement voilà, la dernière rencontre avec ses proches remonte à plus de dix ans et pendant tout ce temps, la gaillard s'est taillé une belle réputation en tant qu'auteur. Et c'est bien sur cette absence que Dolan appuie son propos, une absence qui a sonné comme une mort certaine pour les membres de sa famille et qui sera l'enjeu de cette funeste réunion où le malaise, la rage et l'affection vont être au coeur des débats. Après une intro aérienne, l'étouffement se fait sentir dès les premiers plans. Les personnages cherchent leurs mots face à un des leurs qui est, entre-temps, devenu maître du verbe. La jeune soeur est craintive et admirative, le grand frère agressif et imperméable et la mère tente de garder le navire à flots en essayant de contenter tout son petit monde. Il y a la belle-soeur aussi, bienveillante mais étrangère. Et au milieu, Louis, lui aussi étranger d'un monde qu'il a fuit il y a bien longtemps pour y revenir célébrer des funérailles et constater le bénéfice de son absence. Le film de Dolan est oppressant et ressemble à une grenade dégoupillée que l'on oublie juste le temps de quelques séquences nostalgiques et musicales qui permettent au spectateur de reprendre son souffle avant de replonger la tête dans cette sinistre réunion de famille. Le casting, irréprochable de bout en bout, participe à cette immersion monstrueuse et nous offre quelques moments de gloire pour des acteurs connus et reconnus qui poussent ici, notamment Vincent Cassel, leur inspiration à son paroxysme. La mise en scène, enfin et surtout, enferme le spectateur dans des face-à-face pesants qui déroulent dix ans d'absence en juste quelques mots ou quelques gestes. Oui, Xavier Dolan est un petit génie qui n'a pas fini de faire parler de lui. Et n'en déplaise à certains, "Juste la fin du monde" est un film qui se vit, se subit parfois, mais à la fin duquel on ne ressort pas indemne.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 septembre 2016
    Un repas de famille qui s'annonce électrique, un lourd secret à dévoiler, une absence difficile à pardonner... Avec Juste la fin du monde, Xavier Dolan signe un film âpre, étouffant et terriblement émouvant. Le tout enrobé par un casting formidable et une mise en scène délicieuse.
    ouadou
    ouadou

    86 abonnés 377 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Encore un coup de maître. Peu importe qu'on aime ou pas Dolan, qu'on le trouve arrogant ou surdoué. Il n'empêche qu'il a un talent rare, qu'il manie sa caméra et ses acteurs en sublimant cette pièce déjà formidable. Quand on lit certains "critiques" presse lui reprocher de filmer en gros plan ou de ne pas respirer... Ba oui, Dolan a une vision ! Et il a décidé de nous faire suffoquer avec cette famille sous cette canicule. On peut ne pas aimer ça, mais reprocher à un cinéaste de faire de la mise en scène ou du théâtre filmé?? Mauvais foi absolu de ces incompétents. Bravo à Dolan. Grosse claque. Grand prix mérité. Il arrive même à nous faire oublier les vedettes derrière les personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 septembre 2016
    Parfois, c'est bien de lire les critiques avant d'aller voir un film car on peut alors accorder plus d'attention à certains détails. J'hésitais à aller voir ce film mais en fin de compte je suis très heureux de l'avoir vu car pour moi, c'est extraordinaire. Les acteurs sont vraiment formidables (sauf peut être Vincent Cassel qui me laisse froid) et s'il y a un surjeu, avec cris, vociférations etc, seul Vincent Cassel sonne faux. Les autres, même dans le surjeu sont extra. Palme à Nathalie Baye, génialissime. Certains ont parlé de la fin, qu'ils trouvent étrange ou en queue de poisson, et je dois dire que non, pas du tout, la fin est limpide et subtile, on comprend tout à fait ce qu'il se passe(ra). Marion Cotillard, que je n'aime pas trop en général, était parfaite. Avec un jeu de regards, on comprend qu'elle comprend dès le début l'objet de la visite de Gaspard Ulliel. Vraiment un film superbe, qui donne à réfléchir et qui vous happe. Oui, on peut parler de huis clos ou de théâtre filmé, mais c'est extrêmement bien fait. Pour info, c'est un drame, mais pas un mélodrame où on vous force la larme, pas du tout. Tout est en dignité et pas une goutte de pathos ici.
    poet75
    poet75

    278 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 septembre 2016
    Cela fait douze ans que Louis (Gaspard Ulliel), jeune écrivain de théâtre, n'a pas renoué avec les membres de sa famille autrement qu'en envoyant fidèlement à chacun une carte postale à la date de son anniversaire. Mais à présent, ce qu'il lui faut leur annoncer est d'un autre registre et d'une gravité telle que cela ne peut se dire, lui semble-t-il, que de vive voix, en allant les voir : le jeune homme est gravement malade et il est condamné à mourir prochainement. Le voici donc qui débarque chez les siens. Tous sont présents : la mère (Nathalie Baye), sa sœur Suzanne (Léa Seydoux), son frère Antoine (Vincent Cassel) et sa belle-soeur Catherine (Marion Cotillard) qu'il n'avait encore jamais rencontrée.
    Ces retrouvailles, bien sûr, si elles sont inaugurées par des étreintes et des exclamations, n'ont rien cependant ni de paisible ni de serein. Chez ces gens-là, pour reprendre l'expression de Jacques Brel, la tension est quasi permanente, presque palpable, et les relations plutôt conflictuelles. Certes Suzanne et, davantage encore, Catherine, ne manquent ni de bienveillance ni d'attention, mais la mère apparaît fantasque, imprévisible, et le frère sanguin, s'irritant de la moindre parole qui, pour une raison ou une autre, lui paraît futile. Dans ce jeu complexe de relations, dans le réseau contradictoire des gentillesses et des méchancetés mâtiné de maladresses, comment faire entendre une parole de vérité, comment se livrer à des aveux ? Entre les conflits qui n'ont pas besoin de grand chose pour s'exprimer autrement que de manière latente, y a-t-il place et pour une véritable confession et pour une parole de miséricorde ? Peut-être, semble nous dire ce film, le pardon n'est-il qu'un oiseau échappé du temps et qui, malgré sa grâce, ne peut plus rien d'autre que de se cogner dans les murs et dans le plafond ?
    Adapté d'une pièce de théâtre de Jean-Luc Lagarce et venant à la suite d'un de ses chefs d'oeuvre (« Mommy »), ce nouveau film de Xavier Dolan pourrait être facilement qualifié de mineur, mais ce serait sans doute se méprendre. Le cinéaste s'est manifestement approprié sa source théâtrale au point de lui donner un ton et des couleurs qui sont propres à son univers. On y retrouve aisément son style. Le cinéaste use d'une abondance de gros plans, prenant le risque d'une apparence de monotonie, mais c'est pour mieux scruter chaque trait des visages et chaque regard et, loin d'être assommant, le film en devient fascinant. Xavier Dolan sait d'ailleurs parfaitement rompre l'apparente uniformité de ses scènes en osant quelques-unes de ces belles envolées lyriques dont il a le secret. Mais le plus fort et le plus émouvant de ce film, ce sont les regards. C'est un film qui s'appuie sur les regards. Et, paradoxalement, puisqu'on a affaire, à l'origine, à une pièce de théâtre, ce sont les scènes muettes qui m'ont paru les plus intenses et les plus belles : rien que par leurs regards, les personnages en disent plus que par toutes leurs paroles : ainsi les regards qu'échangent Louis et Catherine au début du film, celui de Louis étreignant sa mère, celui de Louis encore fixant une scène à travers des persiennes, etc. Il convient de dire enfin que le film est servi par la crème des acteurs et actrices d'aujourd'hui. Mais encore faut-il leur offrir une mise en scène inventive et attractive, ce que réussit brillamment, une fois de plus, le jeune prodige québecois Xavier Dolan. 8,5/10
    romano31
    romano31

    284 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2016
    Vu en avant-première en présence de Xavier Dolan et Gaspard Ulliel, le dernier film du "jeune prodige québécois" est une belle réussite. Avec Juste La Fin Du Monde, Xavier Dolan signe un film fort, à la fois beau et cruel, porté par cinq acteurs absolument géniaux. Dolan ne choisit jamais la simplicité et en adaptant cette pièce de Jean-Luc Lagarce, il signe un huit-clos saisissant sur une famille dysfonctionnelle où chacun aura du mal à sortir indemne de ce repas si ce n'est Louis, magistralement interprété par Gaspard Ulliel, qui aura réussi la mission qu'il s'était fixé. Dolan filme énormément en gros plan sur ce film là car beaucoup de sentiments passent par le regard et les expressions du visage. Et le personnage de Gaspard Ulliel, qui parle très peu dans le film, a fait un travail extraordinaire à ce niveau là. De plus, la bande originale, comme à son habitude chez Dolan, est très soignée et on ne peut qu'admirer le travail de Dolan sur ce film. Bref, fans du cinéaste, allez voir Juste La Fin Du Monde qui est un bon et très beau film.
    SEBASTIEN I
    SEBASTIEN I

    21 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2016
    Je rejoins quelques commentaires sur "l'histoire banale" mais la force d'un réalisateur est d'en faire quelque chose qui ne laisse pas indifférent. Des acteurs superbes; Vincent Cassel et Nathalie Baye particulièrement pour moi.
    Il y a ici une succession de dialogues à deux têtes où les non dits, les espérances sont Bien là.. pour arriver à faire passer un message ils (les
    Personnages) passent par d'autres moyen, le regard, des histoires, des gestes ... on fait ça souvent dans la vie je crois, le film nous montre cette quasi manipulation affective avouée ou pas.
    Il nous montre aussi pour moi que l'égoïsme à ces limites, la vie c'est aussi et surtout le partage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2016
    Encore une fois, dans son dernier film Xavier Dolan a su créer une atmosphère à très forte densité. Les relations familiales complexes, ambiguës et souvent contradictoires des personnages dévoilent des personnalités à fleur de peau. La tension est permanente. Très bon film, pourtant j'ai été moins touchée par cette histoire que par Mommy qui m'avait véritablement bouleversée.
    kiki3364
    kiki3364

    38 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mars 2021
    Juste la fin du monde, le grand prix au festival de Cannes, ça n'a rien de très surprenant.
    Le dernier film de Dolan, passé maître dans l'art, nous emmène.
    Un homme retourne chez lui après 12 ans et vient chambouler un équilibre familiale déjà en morceau. Chaque personnage est creusé, façonné et fascinant. Xavier parle là librement des problèmes familiaux avec toujours de la retenue, des tabous.
    Un rythme lent mais soutenu.
    Chaque personnage est tellement travaillé et les jeux d'acteurs sont juste à couper le souffle. Notre personnage principale est aussi celui qu'on connaît le moins. On ne sait au final que très peu de choses sur ces gens qui nous dévoilent leurs sentiments. Un travail impressionnant de telle sorte que Dolan a réussi à nous rendre mal à l'aise alors même que nous soyons de l'autre côté de l'écran.
    Petite note spécial à Marion Cotillard qui m'a littéralement bluffé par son interprétation de Katherine, femme soumise et visiblement mal à l'aise face aux autres, et qui nous fait, par son regard, passer tellement de mots et d'émotions. On est loin de sa mort ridicule dans Batman...
    La pression monte petit à petit, les monologues qui ruissellent d'intelligence s'enchaînent et nous font réfléchir. Les mots sont crus mais brillants.
    Juste la fin du monde est tout simplement un des meilleurs films que j'ai vu depuis longtemps.
    Les cadrages, les musiques, l'ambiance, les personnages, les dialogues monologues, et l'explosion des sentiments. Je n'ai pas vu le temps passer.
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