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Votre avis sur Juste La Fin Du Monde ?
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J'ai bien aimé, la famille est plutôt réaliste mais vu l'affiche, je m'attendais à quelque chose de plus poignant. Mais c'est un bon film quand même et le jeu des acteurs est excellent.
Difficile à noter ce dernier film de Dolan..une brochette d'acteurs de rêve....qui ne nous déçoit pas....chacun parfait dans son rôle.
Mais le film semble long, trop lent...pas toujours intéressant dans les dialogues.....il n'y a vraiment que la dernière demi heure qui nous captive,...dommage et finalement déçue...
Mais le film semble long, trop lent...pas toujours intéressant dans les dialogues.....il n'y a vraiment que la dernière demi heure qui nous captive,...dommage et finalement déçue...
Bon film, très bonne interprétation des acteurs, mais j'ai été déçu de la fin, ça finit en queue de poisson : la fin est brute avec le moineau qui tombe par terre, dans le sens où la fin n'est pas assez soigné, elle est baclée avec le héroe qui s'en va comme ça, s'en dire un mot.
et puis si on a pas lu le sujet du film, on ne comprends pas qu'il vient pour annoncer sa maladie.
franchement trop d'éllipses.
et puis si on a pas lu le sujet du film, on ne comprends pas qu'il vient pour annoncer sa maladie.
franchement trop d'éllipses.
Les querelles et l'amour qu'on se porte malgré tout, c'est effectivement le sujet de ce film, tourné de façon intimiste. L'ennui justement est là. Les gros plans permanents sur les visages des personnages, les réactions qui paraissent tellement stéréotypées malgré la justesse des sentiments dont font souvent preuve les acteurs, tout ça est tellement lourd et prétentieux, que ça gâche un film qui sinon avait tout pour plaire.
Acteurs fabuleux, bande son extra. Mais un peu trop lent et trop nombriliste sur la forme cinématographique. L'histoire est presque secondaire par rapport à "l'art" du réalisateur.
Xavier Dolan a le courage de ses convictions : que ce soit dans la stylisation de sa mise en scène (voir son accumulation de gros plans et de flous très esthétisants), le choix de ses costumes, de ses couleurs, voire de sa palette de maquillage (Nathalie Baye grimée comme une actrice de kabuki), de la théâtralisation à outrance du jeu de ses acteurs, ou même de ses scènes « clipesques », tout est assumé sans demi-mesure. Ça peut plaire ou agacer. Parfois les deux. Juste la fin du monde expose une galerie de caricatures grimaçantes souvent au bord de la crise de nerfs, pour nous parler encore une fois d’une famille dysfonctionnelle, mais surtout d’incommunicabilité sous un flot incessant de paroles, de cris et de disputes et une musique omniprésente qui comblent le vide pour éviter de parler de l’essentiel. On retrouve les thèmes chers à Dolan, une sensation d’étouffement (comme dans Mommy) et un superbe casting français qui contribue au plaisir d’assister à cette expérience visuelle et théâtrale. L’émotion passe ou pas, tout dépend de son ressenti. Difficile donc de juger une œuvre aussi personnelle. Entre les fans et les détracteurs de Dolan, je reste toujours entre les deux : indécise. Et Juste la fin du monde ne m’a pas fait changer d’avis.
Juste la Fin du Monde est le 8e film de Xavier Dolan, et fait suite au formidable Mommy, acclamé tout autant par les aficionados du réalisateur, que par le grand public.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le pitch est purement et typiquement français. Voyez-vous-même : un jeune homme, Antoine, revient après des années d’absence au sein de sa famille afin de leur annoncer, entre deux engueulades et trois coups de fourchette, une nouvelle dramatique.
Adapté de la pièce de théâtre éponyme de Jean-Luc Lagarce, le film reste cloisonné, autant dans ses cadres que dans son environnement, afin de se concentrer sur ce qui est si cher à Xavier Dolan : les liens familiaux.
Très sensoriel et maitrisé, on ne peut guère critiquer Juste la Fin du Monde sur sa forme, si l’on en accepte le style. Reste que sur le fond… Beaucoup de mystères, peu de réponses, et un tensiomètre qui atteint l’absurde tant le spectateur est exclu de toute explication.
Un parti-pris qui transformerait presque le film en un exercice de style : « tourne comme Dolan ». Sauf que la finalité de Juste la Fin du Monde n’est pas la contemplation, le jeune Canadien s’efforçant de bout en bout à nous faire ressentir la peine qu’ont les personnages à communiquer entre eux.
Ainsi, on regrette que l’arc narratif de l’empathique Catherine (Marion Cotillard, qui, au passage, devrait mettre –quasiment- tout le monde d’accord), reste en suspens. Ce défaut de matière rend à certains moments le film plus déroutant qu’émouvant.
Doté de quelques belles scènes et d’acteurs en forme (Vincent Cassel en tête), Juste la Fin du Monde ne rend cependant pas hommage à la sensibilité exacerbée de son réalisateur/scénariste/monteur, et peine à décoller. Une potentielle intensité.
Reste le coup de génie de réunir deux femmes aussi adulées que détestées, clin d’œil volontaire aux relations pour le moins extrêmes qu’entretiennent les personnages du film ?
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le pitch est purement et typiquement français. Voyez-vous-même : un jeune homme, Antoine, revient après des années d’absence au sein de sa famille afin de leur annoncer, entre deux engueulades et trois coups de fourchette, une nouvelle dramatique.
Adapté de la pièce de théâtre éponyme de Jean-Luc Lagarce, le film reste cloisonné, autant dans ses cadres que dans son environnement, afin de se concentrer sur ce qui est si cher à Xavier Dolan : les liens familiaux.
Très sensoriel et maitrisé, on ne peut guère critiquer Juste la Fin du Monde sur sa forme, si l’on en accepte le style. Reste que sur le fond… Beaucoup de mystères, peu de réponses, et un tensiomètre qui atteint l’absurde tant le spectateur est exclu de toute explication.
Un parti-pris qui transformerait presque le film en un exercice de style : « tourne comme Dolan ». Sauf que la finalité de Juste la Fin du Monde n’est pas la contemplation, le jeune Canadien s’efforçant de bout en bout à nous faire ressentir la peine qu’ont les personnages à communiquer entre eux.
Ainsi, on regrette que l’arc narratif de l’empathique Catherine (Marion Cotillard, qui, au passage, devrait mettre –quasiment- tout le monde d’accord), reste en suspens. Ce défaut de matière rend à certains moments le film plus déroutant qu’émouvant.
Doté de quelques belles scènes et d’acteurs en forme (Vincent Cassel en tête), Juste la Fin du Monde ne rend cependant pas hommage à la sensibilité exacerbée de son réalisateur/scénariste/monteur, et peine à décoller. Une potentielle intensité.
Reste le coup de génie de réunir deux femmes aussi adulées que détestées, clin d’œil volontaire aux relations pour le moins extrêmes qu’entretiennent les personnages du film ?
Un film des plus puissants !! Ou quand avec un décor simpliste des acteurs touchants honnête a fleur de peau et des dialogues francs incisifs juste on arrive à faire un très bon film. Scénario simple mais où dolan arrive une fois de plus à sortir de grandes scènes. Avec quel intelligence il utilise chaque acteur pour en faire un élément indispensable du récit. Les relations entre chacun les non dits les amertumes les faux semblants les choses inavouées et faire semblant les querelles familiales le passé.... Mais il arrive à rajouter une grande émotion mais avec discrétion élégance....Cotillard et Cassel sont au-dessus ils subliment le film par leur présence. Une intensité dramatique s installé au fur et à mesure des exchange dressant le final étouffant.... avec peu de chose ce film dégage une force incroyable.... bravo voilà du cinéma sans artifice !
"Juste La Fin Du Monde" est un film poignant avec un casting intéressant. Une histoire plutôt sympa avec des personnages attachants. J'ai trouvé que le film tourné en rond et un peu déçu par la fin.
C'est beau voire très beau, trés bien filmé, plus vrai et immergeant que nature. Mais la fin et l'absence de réponse m'a laissé circonspect même si artistiquement c'est assez cohérent, scénaristiquement c'est assez difficile de concevoir
spoiler:
que finalement il n'ose rien dire, c'est triste et je ne crois pas que la situation soit véridique, surtout auprès de ce frère étouffant
Face à un huis clos intimiste comme "Juste la fin du monde" la question récurrente est : Vais-je rentrer dans l'univers du réalisateur, va-t-il réussir à m'embarquer dans sa sensibilité et dans son approche du sujet. Malheureusement Xavier Dolan n'a pas réussi à m'emmener avec lui dans ce film qui aurait pu être différent... Malgré un casting fort intéressant et des personnages hauts en couleur, j'ai déploré trop d’invraisemblances, d'approximations, voir de sur-jeux dans ce film qui aurait pu être mieux ficelé. Je suis frustré et déçu car je reste convaincu que ce pitch reste terriblement cinématographique !
Des belles scènes, intenses, des beaux jeux d'acteurs..
Mais c'est certain que ce film ne plaira pas à tout le monde..
Un peu décu par les choix musicaux. Mais cela reste un dolan original sur le thème choisi et le choix de le transformer en film !
Mais c'est certain que ce film ne plaira pas à tout le monde..
Un peu décu par les choix musicaux. Mais cela reste un dolan original sur le thème choisi et le choix de le transformer en film !
Un bon film très attendu, à la fin duquel je reste perplexe. Néanmoins, je me pose encore des questions, c'est un film qui vous tient encore lorsque vous êtes sortis de la salle. Merci pour ça Dolan !
La mort prématurée de Gaspard Uliel m'a amené vers ce film pour lequelle je n'attendais rien de plus qu'une performance d'acteur saluée par un César. Dés le début, je comprends que c'est un film de cinéphile, ça va être lent, ça va être long et je devine déjà la fin. Les personnages sont caricaturaux mais la photographie est belle et Gaspard Uliel crêve l'écran. Alors je reste devant cette tranche de vie, comme hypnotisé par un reportage sans fond avec des dialogues bien creux.
Et finalement, il aura fallu attendre la confrontation tant attendue pour révéler la beauté de ce film. Tout le monde ne sera pas touché, beaucoup se seront impatientés mais la fin m'a bouleversée. La prestation d'Uliel est majuscule, son regard captivant en hyper gros plan nous transporte. Ce film est une tranche de vie banale d'un fils qui revient 12 ans plus tard dans une famille pour qui, contrairement au héros, le temps ne s'est pas arrêté.
Voila un film qui prendra une petite place dans mon coeur... c'est juste la fin du monde et c'est juste beau.
Et finalement, il aura fallu attendre la confrontation tant attendue pour révéler la beauté de ce film. Tout le monde ne sera pas touché, beaucoup se seront impatientés mais la fin m'a bouleversée. La prestation d'Uliel est majuscule, son regard captivant en hyper gros plan nous transporte. Ce film est une tranche de vie banale d'un fils qui revient 12 ans plus tard dans une famille pour qui, contrairement au héros, le temps ne s'est pas arrêté.
Voila un film qui prendra une petite place dans mon coeur... c'est juste la fin du monde et c'est juste beau.
Un brin déçu par ce film au casting ronflant et au scénario intriguant. Les acteurs sont très bien (surtout Nathalie Baye) et ce huis clos nous garde sous tension tout le long du film. Sauf que je n'ai pas totalement accroché et adhéré. Je ne m'attendais à rien de spécial... et c'est exactement ce que j'en ai pensé. Bien mais rien de spécial.
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