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Un visiteur
1,5
Publiée le 25 septembre 2016
Bon et bien c'est raté Je suis allé voir ce film enthousiaste à l'idée de voir le dernier film De Xavier Dolan que je considère comme un génie depuis mommy.
Les critiques à Cannes n'avait pas été terrible mais les génies sont souvent incompris.
Le film : je n'ai pas compris la bande-son par moment. Je n'ai pas compris ce plan très cliché sur le petit oiseau à la fin. J aurais aimé localiser le lieu, J'aurais Aimé que Vincent Cassel arrête de crier pour rien, à l'inverse j'aurais aimé que Gaspard Ulliel ai un texte. J'ai arrêté d'attendre la fin des phrases de Marion Cotillard. Et Léa seydou aurait été parfaite en ado révolté… Si elle avait été une ado. Seule Nathalie Baye est intéressante
Le film est ennuyeux , je ne trouve pas grand chose de crédible, je me surprend à focaliser sur les gros plans. Le menton de Gaspard Ulliel, le nez de Léa Seydou , les paupières de Marion Cotillard... Je ne pense pas que c était l objectif du film
Déçue mais ça ira ... je continue à suivre Dolan et je continue à lui trouver du génie. il m en faut plus pour m en détourner
Je n'ai trouvé aucun intérêt à ce film. L'histoire est fumeuse, l'hystérie permanente, les acteurs totalement inintéressants (à la rigueur on appréciera le rôle de composition de Nathalie Baye). Xavier Nolan est un virtuose de l'interview, sa jeunesse impressionne, mais il a créé là un film qui s'oubliera vite.
Beaucoup de bruit pour rien. C'est ce qui ressort du battage médiatique autour du nouveau Dolan et du film lui-même. Le cinéaste adapte la pièce de Lagarce dans un geste si forcé et redondant qu'on pense d'abord à une farce : tous les comédiens sur-jouent ridiculement leur partition et font de leurs personnage des monolithes caricaturaux (Le bégaiement de Cotillard, la colère de Cassel, l'hystérie de Seydoux et de Baye... Jusqu'au sourire détaché d'Uliel qui semble prisonnier à vie d'une pub pour parfum - l'esthétisme chic des images ne l'aide pas, il est vrai). Ce sur-lignage assommant de la direction d'acteur, Dolan la double d'un sur-lignage tout aussi pesant de la mise en scène, construite laborieusement sur une succession de gros plans qui traquent sur les visages un non-dit débordant déjà du texte. Et c'est un festival de regards lourdement appuyés, de nuques perpétuellement tendues et de silences explicites. Cette spectaculaire redondance du jeu et de l'image ouvrirait-elle le film sur autre chose ? Une distanciation brechtienne ? Que nenni ! Tout cela patauge dans un psychologisme bien balisé - Ah! la famille ce milieu pathogène, Ah! l'inexorable passage du temps... Cette forme qui se veut lourdement étouffante (nous sommes dans un huis-clos familial irrespirable, n'est-ce pas ?) ne fait qu'annihiler tous les enjeux dramatiques du film et trahit un terrible assèchement du geste cinématographique de Dolan. Le cinéaste essaye bien de contrecarrer cela par ces fameux "moments de cinéma", envolées formelles et musicales, qui illuminaient Mummy, mais qui se résument ici en de petits clips racoleurs et vains. Et si l'on souffre beaucoup pendant toute la durée de "Juste la fin du monde", ce n'est malheureusement pas lié à la densité du propos mais à l'indigence du geste cinématographique. On ne peut reprocher à un jeune cinéaste en sur-régime de faire un faux pas, on peut d'avantage s'interroger sur l'aveuglement critique qui entoure ce ratage.
Un film très médiocre qui personnellement ne m'a pas ému c'est surjoué, on est dans le mélodrame à outrance, les dialogues n'en finissent pas, bégaiements et hésitations sont certes volontaires mais pénibles à la longue pour le spectateur et finalement on passe à coté de la vraie histoire Quand on s'inspire d'une pièce de théatre pour son film le minimum c'est de traiter le sujet de départ. Bref très déçue...
NUL ! Xavier Dolan est decevant à tous points de vue. Un thème mal maitrisé, pour un huit clos étouffant, des dialogues inutiles, des acteurs qui sur jouent, une BO qui ne rattrape même pas les scènes ratées... Vraiment dommage que le jeune prodige n'est pas su renouveler son génie sur un sujet pourtant passionnant et dans lequel chaque spectateur aurait pu se projeter sans difficulté.
"Juste la fin du monde"… Voici donc le deuxième film de Dolan que j'ai vu, hormis ses clips machinés pour le groupe Indochine (College boy) et Adèle (Allo, it's me). J'ai toujours raté la projection de ses premiers, tels "Mommy" que j'avais vu en rattrapage, chez moi sur iTunes. Depuis quelques années, on peut l'entendre à la radio et l'observer défendre son art sur quelques plateaux de télé. Il y est souvent présenté comme un génie. Les réalisateurs de talk-show ne manquent pas de faire des plans serrés sur son visage... C'est l'hystérie. Pourquoi l'émergence de ce très jeune réalisateur canadien dans le cinéma ? Peut-être parce que son père était lui-même comédien. Dolan à commencer devant la caméra à l'âge de 4 ans pour la publicité. Ou alors, comme il a écrit des scénarios durant son adolescence (comme tout le monde à cet âge, j'ai envie de dire...) et qu'on lui a financé ses films depuis tout ce temps, l'ensemble de la profession et les média on finit par le considérer comme un prodige, son prétendu style de vie rajoutera une caution Arty à tout ce qu'il fait, et sa belle gueule aura fait le reste. Il est devenu une sorte d'icône intouchable, "le beau canadien, le jeune réalisateur qui fait des chef-d'oeuvres"... Tout cela était sans compter les gens comme moi qui n'aiment pas la démagogie. "Mommy" était déjà un film dangereux et pénible de pathos, qui idolâtrait de manière malsaine une relation mère/fils exacerbée jusqu'à la caricature grotesque. "Juste la fin du monde" confirme qu'il a encore beaucoup a apprendre du cinéma, lui qui déclare n'avoir aucune culture cinématographique (Site de Première, 21/09/2016) et on peut le déplorer. Combien de jeunes réalisateurs formés ou non dans les écoles de cinéma et dont c'est la passion, ne pourront pas tourner tout de suite, voire jamais ? Alors, quand on a la chance d'avoir les clés pour réaliser un film, d'être financé et produit, on s'instruit, on comble éventuellement ses lacunes et on pense : spectateurs ! Être déprimé ne rend pas meilleur artiste et ça ne fait pas réellement une œuvre si ce n'est pas pour sublimer. Généralement, les disputes frontales, les gens font tout pour s'en épargner, surtout quand elles sont d'origine familiale. Inutile de se cacher derrière un auteur (ici : Lagarce) pour cultiver ses propres névroses et tenter de les partager au plus grand nombre sur les écrans géants du monde entier. De faire plonger des comédiens de renoms aveuglés et tout un public dans un navet indigeste. Voilà ce dont il a besoin ce monsieur qu'on le remette un peu à sa place, et non pas l'encenser à Cannes ou ailleurs, tel un génie dès qu'il commet un fait ! (Grand Prix Cannes et Prix du Jury Œcuménique 2016 pour "Juste la fin du monde" qui vient d'ailleurs d'être sélectionné pour défendre les couleurs du cinéma indépendant Canadien au prochain Oscar… Il avait déjà obtenu un César pour "le meilleur film étranger" et un Prix du Jury toujours à Cannes, en 2015 pour son navrant : "Mommy"…).
Je vais sans doute choquer....Cinq grands acteurs, un réalisateur hors pair, un excellent scénario, et une grosse déception. D'abord Vincent Cassel, désolé, ne sait qu'aboyer et être violent, voire hystérique,.. car les 4 autres ok. J'attendais plus et le jeu de regards était prometteur. Un vrai travail minutieux de plans - demis plans avant et arrière des personnages et des yeux notamment. La musique apporte beaucoup au vide sidéral de paroles, lorsque celles-ci ne s'expriment telles des avalanches.... Frustré, donc sera ma conclusion !! **
Juste un vrai gâchis. Un casting superbe pour un film gueulard et faussement branché. Les personnages qui sont écrit sans doute pour être profonds (c'est ce qu'on peut penser lors des premières minutes) ne sont que des avatars baroques et sans relief. Un film bling-bling qui sonne creux. Dommage. Sur le thème de la famille et de ses turpitudes revoyez un air de famille, Festen ou même Mommy du même Xavier Dolan. Moins racoleurs et plus réussis.
Ou en est Dolan 2 ans après son meilleur film (Mommy)? Il adapte une pièce avec pour thème "l'annonce de la futur mort du personnage principale à sa famille". Juste sa fin du monde donc ont pourrait dire; Dolan cherche comme dans Mommy de capter des instants de vie,de l'émotion derrière les masques de leurs visages ultra cadrés du réalisateur.Malheureusement son adaptation ne prend pas du tout et son scénario (de Dolan) est ridicule de lourdeurs,de maladresses bref c'est raté et comme toute la réussite du film et basé sur les dialogues ça la fout mal....les performances d'acteurs tourne donc aux ridicule (pauvre Vincent Cassel).... Bref plantage total Monsieur Dolan.
Tout sonne faux dans ce film, autant les situations que les personnages et les dialogues. Dans les jeux d'acteurs, seule Nathalie Baye s'en sort bien. Marion Cotillard est irritante à souhait. Dolan ne méritait pas le Grand Prix, et donc encore moins la Palme d'Or qu'il espérait tant.
Lent, long, ennuyeux à mourir...Les acteurs sont superbes rien a dire mais l'histoire est vraiment pompeuse, c'est d'une lenteur infligeante ! Heureusement que ce film ne durait que 1h35...
Je ne comprends pas du tout les éloges! Ok techniquement il y a du bon en termes de prise de vue, mais on ne comprend pas vraiment le motif de l'histoire et c'est 1h30 de cris ... Fatiguant!
Le film est une vraie déception. Il faut dire qu'il est précédé d'éloges critiques et cannois. Malheureusement le film ne fonctionne pas, il n'y a pas grand chose à sauver. L'écriture est déjà très problématique et artificielle. Les acteurs ont beau être bons, la direction d'acteurs est catastrophique la palme revenant au personnage joué par Vincent Cassel, les scènes d'affrontement s'enchaînent dans l'incompréhension générale. Tout est implicite ce qui est très bien mais au final le film ne dit absolument rien. L'hystérie generale n'arrive pas à occulter la vacuité du projet. La mise en scène est assez insupportable avec une utilisation systématique du gros plan. On a parfois la même impression qu'un film en 3D ça fait mal aux yeux! Enfin la musique se marie parfois très mal au ton du film. Bref c'est vraiment dommage car il y avait la énormément de talent devant et derrière la caméra.
J'ai vu et aimé tous les films précédents de Xavier Dolan mais celui-ci fût pour moi un vrai supplice. Si je n'avais été accompagné de mon ami j'aurais quitté la salle bien avant la fin du film. Le problème vient, à mon avis, du casting 100% français. Ce sont les artistes bankable du moment (sauf Nathalie Baye). Ils en font, ou trop dans l'hystérie, ou pas assez dans des mutismes exaspérants. Certains gros plans sont étouffants. L'interminable scène des deux frères et leur dialogue de sourds dans la voiture est insupportable. Bref, ce devait être sans doute parfait mis en scène au théâtre !
Je ne comprends absolument pas les personnes qui encensent ce film. C'est tout simplement un allongement de la bande annonce pendant plus d'une heure et demie. On ressent de la tension tout du long, mais aussi et surtout de la frustration, on se dit "mais crache le morceau, ça suffit !", et pourtant rien ne se passe. C'est une suite d'incompréhensions, de sous entendus non accessibles par le spectateur, que ce soit la chose qui s'est passée 12 ans plus tôt, l'annonce de Louis (on sait qu'il va annoncer sa mort future uniquement grâce à une phrase dans l'introduction et dans le synopsis ici, mais aucune information sur les causes, sur le pourquoi du comment), mais tout bêtement certaines choses qui sont évoquées sans qu'on sache pourquoi et sans qu'elles ne soient réutilisées plus tard dans l'intrigue. Lorsque les lumières dans la salle se sont rallumées, avec mes amis, nous nous sommes regardés, béats. Personne n'avait compris l'intérêt de ce film, et nous avions tous regrettés d'avoir payé un billet de cinéma pour ça. Le seul point positif restant est finalement les beaux yeux de Gaspard Ulliel...