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    Juste La Fin Du Monde
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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 novembre 2017
    En gros : Prétentieux, grotesque, mauvais. Lissez la suite pour plus de précisions.

    Avant de commencer cette critique, j'aimerai dire plusieurs choses : d'abord, j'ai vu ce film trois fois, ce qui m’a laissé le temps de me questionner longuement sur la question.
    Ensuite, j'adore l'eouvre original de Jean-Luc Lagarce, dont j'ai même appris certain passage.
    Je vis aussi dans un entourage où Xavier Dolan est adoré, presque vénéré, et où chaque film est un chefs d'eouvre à lui tout seul. Pour ma part, je trouve que Xavier Dolan est un bon, voir un très bon réalisateur, mais représente la définition même de "surcoté", souvent par de jeunes fans pseudo "bobo" qui ne jure que par lui et par Pierre Niney (que j'apprécie beaucoup.) : pourtant, moi aussi je suis très jeune, et j'aime la culture "bobo" (je déteste ce terme.)
    Enfin j'ai vu deux de ses autres films : "Mommy", que je trouve pour le coup vraiment réussis et bouleversant, et "Les amours imaginaires" qui est, qui est...bref passons au vif du sujet.

    "Juste la fin du monde" représente pour moi l'une des plus grandes incompréhensions de ces dernières années : pourquoi ce film est-il considéré comme un si bon long-métrage, alors qu'il est dénué de subtilité, mal jouer, prétentieux et passant totalement à côté de la substance de l'eouvre original de Lagarce, ?
    Pour être objectif et écrire une critique constructive, commençant tout de même à lister les points positifs du film :

    - Au niveau du texte et du scénario, c'est très proche sans être un copié-collé de l'eouvre de Jean-Luc Lagarce. Le travail d'adaptation est donc réussi.
    - Xavier Dolan est tout de même un réalisateur doué, et sait donc un peu prés composés harmonieusement ses images, notamment avec des jeux de lumières marqués. La scène d'ouverture est d'ailleurs la seul véritablement touchante et réussite du film spoiler: avec la scène où gaspard Uliel et Vincent Cassel sont dans la voiture, (scène justement sauvée par Cassel
    , dû peut-être au fait que c'est le seul moment ou Dolan n'en fait pas trop...

    Oui trop : ce film en fait des tonnes ! C'est l'incarnation même de la non-subtilité ! Et dire que Xavier Dolan à réaliser deux ans plutôt le très bon Mommy, qui pour le coup était un grand film dramatique et familial, d’une justesse parfaitement dosée.
    "Juste la fin du monde" souffre déjà de ses interprètes : Uliel, Seydoux, Cotillard ne jouent tout simplement pas bien ou pas. On a alors droit à des scènes de malaise assez palpables spoiler: comme le flash-backs du personnage de Léa Seydoux, certaines interventions de Cotillard
    . Pourtant ses acteurs font partis des meilleurs de leur génération ! Mais là, on sent un réalisateur voulant tout contrôlé, jusqu'aux moindres gestes de ses acteurs.
    Pour Nathalie Baye, elle est dans le sur-jeu constant, mais cela convient à son personnage bariolé et arrive tout de même à faire ressentir un semblant d'émotion.
    Enfin, Vincent Cassel, alors très peu convaincant pendant les deux premiers tiers, se révèle totalement les trente dernières minutes, pour livrer la seule interprétation intéressante du film.

    Ensuite la mise en scène : ouvrez se fichu cadre ! Enlevez ses gros plans de partout : cela ne marche pas ! Ce n'est pas en en enferment littéralement ses personnages dans le cadre à tous les coups que cela crée une asphyxie !
    Pour reprendre l'exemple de Mommy, le format 4:3 fonctionner, car bien utiliser et justifier. Mais dans "Juste la fin du monde", on n'a pas besoin de cet élément pour ressentir l'emprisonnement des personnages, déjà enfermer dans une maison. Le gros plan a été mis en place pour souligner l'importance d'un élément, pour mieux le mettre en valeur : si dans un film, on te dit que 70% de celui-ci est importent, alors l'effet de ne marche plus ! On frôle alors la caricature et le ridicule.

    Ridicule comme ses flash-backs kitch et faciles : désolé, mais ce n'est pas audacieux de mettre de la m***e musicale, même si élément justifier dans l'histoire, sur des images pour émouvoir le spectateur : ça ne peut pas marcher ! Si n'importe quel autre réalisateur l'aurait fait, on aurait trouvé ça honteux. Mais non, là c'est le prodige Xavier Dolan, donc c'est génial !
    Tout comme spoiler: le coucou qui sort de sa pendule à la fin
    , il s'agit d'un élément qui ailleurs, aurait fait polémique. On dit "oui, mais c'est lyrique". Non. C'est lyrique tel qu'un ado de 14 ans voit la définition de lyrique.

    C'est dans ces moment que le film devient une caricature de lui-même : à vouloir en faire trop pour souligner un élément, Xavier tombe dans les travers de ses propres choix et de son propre style. "Juste la fin du mode", c'est la définition même en réalité de la facilité : on surligne tout, on laisse tout apparaitre, et on fait penser aux gens qu'ils sont très intelligents de comprendre toutes la "richesse" du film, car c'est un film "d'auteur" comprenez-vous !
    "Juste la fin du monde" est à mon sens, un film d'auteur pour ado et simplifier pour le grand public, comme si Xavier Dolan parlait uniquement à sa tranche de fans la plus large, où refusait catégoriquement de grandir (la musique, les acteurs, ect...).
    Peut-être le succès du style Dolan auprès des jeunes de mon âge ? Je pense que oui.
    J'attends les retours quand les adolescents de ma génération reverront le film dans 10 ans, voir même simplement lors d'un second visionnage, pour prouver qu'il est mauvais. J'oublie encore des éléments sur ce film, qui est l'unique eouvre cinématographique qui me met dans un tel état d'incompréhension. Cette critique peut sembler maladroite, mais elle est tout cas sincère. Pourtant, comme tout le monde, j'aimerai aimer ce film...
    Pierre Andre E
    Pierre Andre E

    14 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 septembre 2016
    Ce serait plutôt juste la fin du cinéma ! C'est hystérique, les dialogues sont niais, et il ne suffit pas de nous balancer une musique grandiloquente pour nous dire ; attention, c'est un moment tragique, là... Ca va on sait, on n'est pas stupide. Le réal ferait beaucoup mieux de nous donner une vraie émotion parce que les acteurs, aie aie aie ! Sauvons Nathalie Baye, très convaincante. Vincent Cassel fait son agressif comme d'hab, Lea Seydoux la pauvre shootée de service, Marion Cotillard, la si gentille fifille qui se laisse marcher sur les pieds, et chez Gaspard Ulliel, je cherche encore un semblant d'émotion... Pour moi, ce n'est pas du cinéma. C'est du vide monté par quelqu'un qui se la raconte grave !
    Agathe R.
    Agathe R.

    14 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 septembre 2016
    "Juste la fin du monde" se contente d'enchainer de longues scènes, de longs dialogues en plan rapproché pour être bien pesant et prenant sans réels enchainement. Encore un de ces films où on attend, en s'ennuyant, qu'il se passe quelque chose, n'importe quoi mais il ne se passe rien. L'unique point positif du film : la prestation de Cassel.
    officiel76
    officiel76

    47 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 septembre 2016
    Xavier Dolan réussit à rendre Elisabeth Taylor et Richard Burton, dans "qui a peur de Virginia Woolf, " éligibles au rang de gens normaux... En dehors de son talent à exploiter le meilleur des acteurs qu'il fait tourner, (nathalie Baye et Marion Cotillard sont impressionnantes), le reste est éprouvant, fatigant et inintéressant. Eprouvant car ces gens là sont tous hystériques, sauf le fils prodique tellement interoverti qu'il ne sait pas aligner une phrase cohérente, fatigant car le niveau de décibels et d'injures propres à leurs échanges est effrayant, et pour terminer inintéressant car on ne sait pas pourquoi, ni comment, une telle situation a pu se générer...bref, c'est vain, et ça donne l'illusion d'être profond parce que tous ces gens vont visiblement très mal et qu'ils le crient très fort. Hystérique, bruyant et pénible !
    nicolas t.
    nicolas t.

    59 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 septembre 2016
    Huis clos hystérique et théâtral. Malgré les gros plans permanents, on reste à distance de cette famille de stars qui font leur numéro. Dommage la pièce de Lagarce méritait mieux qu'un psychodrame clipesque.
    btravis1
    btravis1

    114 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 septembre 2016
    Ne connaissant pas la pièce, je ne peux pas juger le travail d'adaptation de Dolan, mais dans tous les cas, il ne parvient jamais, contrairement à certains de ses précédents films, à nous passionner pour son sujet. Le scénario est très moyen et les dialogues d'une grande faiblesse. Et ce n'est pas la réalisation de Dolan, entre choix assez douteux des musiques, abus des flous et gros plans, qui va remonter le niveau. La bande-annonce était particulièrement bien faite, mais elle résume à elle-seule la totalité du film, il ne s'y passe rien d'autre. Chaque rôle reste dans sa caricature et au bout d'un moment, il n'est plus possible que le personnage principal reste muet à ce point. Quand au prix reçu à Cannes, cela reste pour moi un mystère !
    Yves G.
    Yves G.

    1 517 abonnés 3 532 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 septembre 2016
    Xavier Dolan me gonfle. Voilà bientôt une dizaine d’années que le petit génie canadien fait monter le buzz. Cannes lui a fait la courte échelle, sélectionnant la quasi-totalité de ses films et les couvrant de prix – seule la Palme d’Or lui a échappé – qui sont autant d’occasions de discours de remerciements hauts en couleurs. Sans doute faut-il reconnaître à « Laurence Anyways » (2012) un certain coffre ; mais j’ai déjà dit ici tout le mal que je pensais de l’insipide « Tom à la ferme » (2013) et du surcoté « Mommy » (2014).

    Ce n’est pas « Juste la fin du monde » qui me réconciliera avec Xavier Dolan. Pourtant, j’avais aimé sa bande-annonce, diffusée en boucle durant tout le mois de septembre et son beau crescendo. Las ! le film en est l’homothétie inutilement étirée sur quatre-vingt-quinze minutes. Soit un fils prodigue (Gaspard Ulliel) – dont on connaît le lourd secret dès la première scène du film – qui revient dans sa famille et y retrouve sa mère (Nathalie Baye), sa sœur cadette (Léa Seydoux), son frère aîné (Vincent Cassel) et l’épouse de celui-ci (Marion Cotillard).

    Pendant une heure trente cette petite famille va hystériquement se couper la parole. Ça parle beaucoup. mais on comprend vite que le sujet est précisément celui de l’incommunicabilité. Chaque personnage est enfermé dans son stéréotype.
    Gaspard Ulliel = la bonté sulpicienne
    Nathalie Baye = la mère ripolinée
    Vincent Cassel = le prolo brutal
    Léa Seydoux = la jeunesse révoltée
    Marion Cotillard = la soumission compatissante

    Comme dans « La Chanson de l’éléphant » dont il interprétait le rôle principal, Xavier Dolan filme une pièce de théâtre. Pour « faire cinéma », il filme ses personnages en très gros plans – qui laissent parfois planer le doute d’un plan de tournage découpé de façon à accommoder l’agenda sans doute très chargé de chacune de ces cinq stars. Comme à son habitude, il égaie cette mise en scène oppressante de quelques envolées lyriques (un flash back au flou hamiltonien) et d’une musique racoleuse (Camille, Moby et – il fallait oser – O-zone). Au bout de trente minutes, on a compris et on étouffe.
    alexandre75
    alexandre75

    13 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 22 septembre 2016
    Décidément, je n'aime pas ce que fait Xavier Dolan. Déjà, je n'avais pas été fan de "Momy" qui était "too much" et m'avait un peu exaspérée, mais alors là, ça hurle, tous les personnages sonnent faux (Vincent Cassel en méchant qui n'ouvre la bouche que pour proférer des horreurs), Marion Cotillard qui bégaie sans cesse avec de grands yeux éloquents (ça ne suffit pas à faire passer la pilule)... Nathalie Baye est sans doute la plus crédible dans cette horrible histoire filmée en gros plan où à part des hurlements d'une famille qui se déchire et crie sans arrêt, à part le fils (bien joué), mais bon, pas vraiment l'occasion de juger un jeu toujours identique entre regards, mi-sourires, etc..... donc, on se doute dès le début que, vu l'ambiance caricaturale de cette famille, Louis ne pourra pas dire qu'il vient pour annoncer sa mort prochaine..... Et alors ??? C'est du théâtre filmé (j'ai pensé vaguement à "mais qui a peur de Virginia Woolf" où les acteurs passaient leur temps à s'engu.....), mais c'était quand même un cran au-dessus. Non, M. Dolan, votre cinéma ne me plaît pas et je ne crie pas "au génie". Nous sommes ressortis de la salle en nous disant que l'on avait vu le plus mauvais film du mois.... Dommage.... Mais que vous trouvent ceux qui vous encensent ? Je ne comprends vraiment pas.
    Anton75
    Anton75

    26 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 septembre 2016
    Très éloigné de la pièce de Jean-Luc Lagarce, que j'avais eu la chance de voir à la Comédie-Française en 2009 (une splendeur, avec Pierre Louis-Calixte dans le rôle de Louis).
    Xavier Dolan, qui remercie l'auteur au générique (Lagarce, mort en 1995, sera très heureux de l'apprendre), s'est librement inspiré de l'univers du dramaturge français, en l’accommodant la sauce Dolan : musique pop - ah la fameuse choré sur Ozone, maquillage à outrance pour la mère, tatouages floraux pour la fille, gueule de cassos pour le frère, etc. Pourquoi pas... Le problème est qu'on n'entend pas la langue de Lagarce et le très beau texte d'origine, tant les acteurs hurlent ou parlent dans leurs barbes, que Dolan a tout déconstruit, tout chamboulé, tout fantasmé (le souvenir des amours adolescentes de Louis avec son jeune voisin), mais surtout qu'il a commis un contresens absolu. "Après tout, ce n'est pas la fin du monde", dit Louis (l'admirable Gaspard Ulliel). Ben si justement, c'est JUSTE la fin du monde. Avec la mort annoncée de Louis, un monde va disparaître à jamais, s'évanouir comme de la buée sur une vitre (l'image vient pourtant du film), et ce sera une monstruosité insensée, un scandale inouï, mais aussi un épiphénomène, une toute petite chose, comme cet oiseau qui palpite au sol et se raidit dans le plan final, seule touche d'émotion dans un océan de bluff. Tabernacle, n'est pas Lagarce qui veut !
    Guiciné
    Guiciné

    167 abonnés 1 248 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 septembre 2016
    Quel déception, après tant de films passionnant, l'auteur nous livre son film me semblant le moins personnel et peut-être le moins abouti. Le scénario est d'un vide profond à part une ou deux scènes et les dialogues sont souvent sans intérêt . Assez affligeant !
    vincentasc
    vincentasc

    34 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 septembre 2016
    Déjà pas emballé par le surestimé et prétentieux "Momy", je n'attendais pas grand chose de celui là. Mais on ne peut pas reprocher à Xavier Dolan le sens de l'image et d'opter un vrai parti-pris de mise en scène même si on n'adhère pas. Car il faut beaucoup de courage et d'abnégation pour rester jusqu'au bout de de ces 95 minutes interminables. Succession de gros plans (quel est l'intérêt ?) sur des personnages dont on ne sait rien (on ne sera pas plus avancé à la fin) qui crient, qui s'insultent. C'est du cinéma "d'auteur" prétentieux pour festival qui n'a rien à raconter si ce n'est se regarder le nombril nauséabond.
    Christoblog
    Christoblog

    839 abonnés 1 689 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 septembre 2016
    C'est raté.

    A vrai dire, on pouvait s'en douter un peu, tellement le casting sentait la fausse bonne idée et la succession de numéros d'acteurs.

    Après un prégénérique plutôt réussi et typiquement dolanien (moult ralentis et une bande-son poussée à fond), le film s'écroule selon nos pires craintes dès la première scène.

    On sait alors en une minute que l'on va devoir assister à une succession de stéréotypes outrés.

    Ainsi, Vincent Cassel fait du Vincent Cassel : il ne semble ouvrir la bouche que pour humilier et être agressif. Léa Seydoux lui répond sur un mode ado-rebelle (elle n'est pas un peu âgée pour ce type de rôle ?) qui se drogue et crie tout le temps. Car Juste la fin du monde ne ménage pas de répit : c'est ce type de film où on hurle des répliques comme "ARRETE DE CRIER".

    Marion Cotillard joue la cruche. Evidemment. Pour bien nous faire comprendre à quel point elle est bête, elle bégaye sans cesse et ne finit une phrase qu'au bout de 1h10 de film. Nathalie Baye, peinturlurée et méconnaissable, est certainement le personnage le plus intéressant du film, alors que Gsspard Ulliel joue le silencieux taciturne avec une monotonie rebutante (mais comment peut-il ne rien dire à ce point !).

    Le film n'est malheureusement qu'une juxtaposition de monologues. Chaque personnage joue sa partition indépendamment des autres et jamais l'intrigue ne progresse du fait de l'intéraction entre les différents membres de la famille, chacun étant réduit à incarner sa propre caricature.

    Le cinéma de Dolan, pour fonctionner, nécessite d'emporter le spectateur dans un tourbillon irrésistible, comme c'était notamment le cas dans Laurence anyways et Mommy, qui sont des films épiques, au sens dolanien.

    Le huis clos ne sied pas au jeune canadien : son cinéma paraît tout à coup factice et désincarné. A ce titre, il est étonnant de constater à quel point la géographie de la maison de famille n'imprime pas le film. Alors que le Festival de Cannes était cette année plein de maisons incarnées et superbement filmées (dans Aquarius, Sieranevada ou L'économie du couple par exemple), celle de Juste la fin du monde est transparente, et peu habitée, à l'image de tout le film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 septembre 2016
    Je n'ai rien compris. Encore un de ces films où on attend, en s'ennuyant ferme, qu'il se passe quelque chose, n'importe quoi mais tout plutôt que ce vide qui n'en finit pas. Pourquoi nous montrer encore une famille de barges, alors qu'il y a tant de choses intéressantes à mettre en scène? Je suis sorti déprimé; une soirée de gâchée à essayer d'apprécier un de ces films qui ridiculisent le cinéma français:on ne m'y reprendra plus avant longtemps. Dégoûté.
    Pas étonnant que les films américains, même les gros blockbusters un peu bêtes, fassent salle comble. Allez, un bon petit Jason Bourne à la télé pour m'endormir sur une impression positive.
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