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ferdinand
14 abonnés
452 critiques
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1,5
Publiée le 13 mai 2019
Film totalement exaspérant. Scènes de dialogues hystériques et vides rapidement ennuyeux,. On a envie de souffler des répliques qui feraient progresser cette interminable machin. Les acteurs font de leur mieux pour faire ce qu'on leur demande et la palme de l'autodérision revient à Nathalie Baye peinturlurée comme un métro new-yorkais .Grand prix à Cannes !! On rève ...
Extrêmement déçu. Film pompeux et prétentieux. Mise en scène archi chargée d'effets pour faire cool mais pour un scénario vide et bâclée. C'est long et ennuyeux. Seul point positif la qualité des interprétations mais en même temps vus les acteurs qu'il y a dedans...
Je le savais d'avance alors pourquoi donc me suis-je lancé dans ce film ? Tout y est agaçant : l'histoire, la façon de filmer, le jeu d'acteurs (Nathalie Baye en tête de liste. Rarement vu un personnage si agaçant)... bref pour moi c'est le calvaire incarné !! Bobo, torturé, inintéressant !! Xavier Dolan n'est décidément pas ma tasse de thé !!
Très peu de films ont réussi à me faire renoncer avant la première demie-heure, "Juste la fin du monde" est de ceux-ci. S'il n'y avait eu la prétention d'être touchant j'aurais sans doute continué, mais la pauvreté des dialogues, l'incongruité des réactions des uns et des autres n'arrivent pas à masquer la vacuité de cette pièce de théâtre filmée.
C'est le rendez-vous mondain du cinéma. Chaque célébrité vient faire son numéro d'acteur pour dire: "Moi aussi j'ai joué dans un film de Xavier Dolan". Mais dans l'ensemble "Juste la fin du monde" est un film très surestimé. D'abord la scène de la découpe des légumes en lamelles, en dés et en rondelles, fait plutôt penser à une publicité pour une huile d'olive ou pour un plat cuisiné. D'autres scènes sont conçues comme des clips vidéos. Le problème est que les chansons sont vraiment nulles et insupportables à entendre. Peut-être que Xavier Dolan est un bon cinéaste, mais il n'a pas l'oreille musicale pour apprécier de telles chansons. Après viennent les acteurs: Léa Sédoux est trop âgée pour le rôle. Elle n'est pas convaincante et surjoue. Vincent Cassel nous imite Jean-Pierre Bacri et cela est d'un ridicule sans nom. Nathalie Baye est perdue dans son interprétation. Est-elle une femme du peuple ou est-elle embourgeoisée ? Ce n'est pas clair du tout dans le film. On ne sait pas d'ailleurs de quel milieu social appartiennent les personnages ? Ils se comportent comme des prolétaires, mais vivent comme de gens de la classe moyenne supérieure. Seule Marion Cotillard émerge par sa sensibilité, mais ça ne suffit pas pour sauver le film.
Pendant les passages où je ne dormais pas, je me disais qu’être fille unique, finalement c’est pas si mal.
Mais j’étais réveillé pour la scène-synthèse-du-film-que-si-tu-l’a-rates-tu-comprends-rien, la scène du coucou.
Non pas de « coucou-caché », pas le style de Xavier Dolan ça...
Non la scène où l’oiseau s’échappe de l’horloge coucou, vole frénétiquement partout dans la pièce en rebondissant contre les murs, jusqu’à s’effondrer, raide les papattes en l’air, au dernier coup-coup du temps qui passe.
Bref, être mort c’est comme être un cinéaste ravagé, c’est pour les autres que c’est dur.
Vide ... comme un clip, très beau mais sans rien. Sans histoire, sans scénario, sans ressenti... un vrai faiseur de film mais qui n’arrive à aucun moment à générer le moindre ressenti.
Si seulement Dolan avait autant de talent pour l'écriture et la mise en scène qu'il en a (assurément) pour l'esthétique de l'image. Juste la fin du monde est juste l'exploitation du vide. Juste la succession de saynètes théâtrales sans fond. Juste le néant. On ressort de ce "film" avec l'impression d'avoir tourné autour de rien. Pas d'histoire, des anecdotes familiales vides et sans relief. Un casting incroyable (Ulliel, Baye, Cassel, Cotillard, Seydoux) pour un résultat des plus insipides. Dolan, le génie, chouchou des critiques et des festivals, montre surtout qu'on ne fait pas un chef d'œuvre sans travail. Juste la base.
J'avais trouvé Momy très bon, tout l'inverse de ce second film que j'ai trouvé extrêmement pénible. À cause de personnages tous plus insupportable les uns que les autres et un gros casting qui n'arrivent pas à faire passer outre (j'ai même eu l'impression d'un réel gâchis en voyant Vincent Cassel), on a un film hystérique ou paradoxalement il ne se passe rien. Alors oui deux trois plans sont soignés et je reconnais à Dolan une manière de magnifier la musique pop qui est déroutante, mais franchement j'ai trouvé ce film désagréable à regarder et tellement décevant après les promesses de son premier film.
Ce n'est pas encore ce film qui me convaincra que Xavier Dolan est un grand metteur en scène... Le film est adapté d'une pièce et j'ai eu l'impression de voir du théâtre filmé (unité de lieu et de temps, jeu des acteurs exagéré : ils parlent fort, en font des tonnes, surtout Cassel, et on ne comprend pas pourquoi - il est mal dans sa peau parce que son petit frère, génie dramaturge, lui a fait de l'ombre ? ). Gaspard Ulliel nous refait Saint-Laurent et son personnage n'est jamais touchant. Pourquoi n'a-t-il pas vu sa famille pendant douze ans ? A cause de son orientation sexuelle ? Parce que ce sont des beaufs et lui, un artiste ? C'est vide, c'est creux. Une étoile pour Nathalie Baye et Léa Seydoux, mais elles sont sous-employées. Mommy m'avait presque séduit malgré ses défauts, mais là, c'est un tout petit film ...
Seigneur, on dirai que ce filme donne mal à la tête. Les fr’s doivent se régaler vu les présences pour les geulades cries drame etc du genre quoi.. passer votre chemin et vite.. por favor
Un film porté par une quantité impressionnante d'acteurs connus efficaces autour d'une réunion de famille. Cerns acteurs sont efficaces même dans leur sur-jeu d'autres moins. PLV : pas un film distraction
L'adaptation de cette pièce était peut-être une bonne idée sauf qu'elle est mal foutue. Les dialogues irritent très vite jusqu'à faire tache; je ne suis jamais rentré dedans, à part un peu lors de la scène de la voiture avec Vincent Cassel. Le rythme et l'ambiance de cette réunion familiale sont ultra névrotiques. Ça vire très vite au grand-guignol, aux rapports absurdes et à la caricature de personnages. On tombe dans une dramaturgie bordélique excessivement verbeuse. La réalisation est plutôt plate, laide, étouffante, sauf sur la fin où le calme d'une métaphore dorée arrive mais c'est trop tard. Le choix de privilégier des plans rapprochés ou des gros plans n'a rien d'agréable. Le ton d'ensemble sent le forcé et l'adaptation gauche; on plonge très vite dans un irréalisme théâtreux. Face à un Gaspard Ulliel susurrant, complètement surévalué et à l'air nombriliste, Nathalie Baye donne l'illusion d'être juste alors qu'elle donne juste l'impression d'être folle. Tout un emballement de jeu pour autant d'emballement médiatique: voilà une belle arnaque, où une critique prétentieuse en manque d'adulation se persuade de trouver là un chef-d’œuvre d'humanité. Ramené à sa juste valeur, JUSTE LA FIN DU MONDE me semble un beau ratage surestimé, aussi bien sur la forme que sur le fond.
Drôle de Grand Prix de Cannes 2016, ce film de X.Dolan déçoit plus qu’autre chose, ce huit-clos familial est trop lent, trop bruyant. Cassel et Cotillard sont à côté de la plaque, Ulliel n’apporte rien. Une belle désillusion pour un cinéma convenu et trop prévisible, l’auteur de Mommy doit revoir sa copie pour la suite.
Grosse déception . Rien à voir avec Mommy . Les acteurs sont bons, la réalisation excellente. Mais le scénario est inintéressant. Des familles qui s'engueulent et des connards violents, on en voit tous les jours et ce n'est vraiment pas marrant ni intéressant. A part ça, le petit est frustré et triste parce qu'il vient exprès d'Amérique pour annoncer sa mort prochaine et que personne l'écoute, et que tout le monde sspoiler: 'engueule e dispute . Voila, voila, voila. Le talent de Nolan et de ses acteurs ( qui n'est pas remis en cause ), ne suffit pas à faire digérer le film. Beaucoup de cris et de larmes pour rien. Je trouve les films de Ken Loach beaucoup plus tristes et violents perso.