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    Juste La Fin Du Monde
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    gabdias
    gabdias

    90 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 mars 2017
    Drôle de Grand Prix de Cannes 2016, ce film de X.Dolan déçoit plus qu’autre chose, ce huit-clos familial est trop lent, trop bruyant. Cassel et Cotillard sont à côté de la plaque, Ulliel n’apporte rien. Une belle désillusion pour un cinéma convenu et trop prévisible, l’auteur de Mommy doit revoir sa copie pour la suite.
    Grid C
    Grid C

    16 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mars 2017
    Premier film de Dolan que je visionne et je me sens un peu mal d'avoir été autant déçu...
    Je m'attendais à quelque chose de renversant après tout les éloges sur le monde de ce jeune québécois mais rien de cela.
    Certes, les plans sont assez atypiques mais je n'ai pas du tout adhéré au mixage audio avec la quasi permanence de bandes sons qui plus est, hétérogènes à souhait... On passe du 80's à de la BO classique etc... très déconcertant.
    Au final, j'ai trouvé le film long spoiler: sauf les 15 dernières minutes juste excellentes !! où
    Cassel joue divinement bien et aurait mérité largement un césar à la place de Gaspard Ulliel qui joue assez pauvrement malgré mon attrait pour cet acteur.
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    72 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2017
    Premier film de Xavier Nolan que je vois, ne m'étant pas jusque là intéressée à ce réalisateur, préssentant fortement qu'il allait m'agacer... Je ne peux pas dire que ce fut le cas avec ce film en tous cas mais si c'est ça Xavier Nolan, c'est bien peu de choses.. Peu de chose à retenir de ce film justement mais quand-même: Vincent Cassel et Marion Cotillard absolument sublimes dans un jeux d'acteur compliqué et subtil bien loin devant Nathalie Baye qui me fatigue dans ses rôles d'hystériques qu'elle joue systématiquement de la même façon et loin devant Léa Seydoux qui n'a pas réussi à me toucher ni à m'émouvoir ne serait-ce qu'une seconde. Quant à Ulliel, rien. L'histoire de ce film se résume en une phrase de trois mots, la fin plutôt soudaine et brutale est tout aussi décevante que le reste et dessert tout le déroulement du film dont on attend constamment des réponses aux questions qui se posent de fait. On ne saura pas et l'imagination du spectateur ne peut même pas laisser entrevoir quoi que ce soit, on en a vraiment pas ou plus envie.
    Lea M
    Lea M

    7 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2017
    Porté par d'excellents acteurs "caméléon" tels que Gaspard Ullieil, Marion Cotillard, Nathalie Blaye, Lea Seydoux et Vincent Cassel, le magnifique incompris, "Juste la fin du monde" est un huis-clos familial pesant, électrique mais un film surprenant et profondément humain sur les thèmes universaux que sont la vie, la mort, les non-dits, les liens de sang, le pardon, les secrets de famille... Ce film devrait vous toucher !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 mars 2017
    L’histoire, se déroulant principalement en huis clos, nous rapproche des personnages et nous permet d’en savoir plus sur leur vie, leur passé. Marion Cotillard et Vincent Cassel prennent à cœur leur rôle d’un couple abîmé et jouent à merveille. Quant à Gaspard Ulliel, il arrive à faire passer beaucoup d’émotions à travers sa voix et son visage, pour notre plus grand bonheur. Léa Seydoux et Nathalie Baye interprètent elles aussi très bien leur rôle.
         Le film possède quelques longueurs, mais la beauté de chaque plan -principalement des gros plans sur les personnages – comble ces quelques lenteurs, peu nombreuses.
        Ce long-métrage n’est donc pas uniquement une réussite artistique, il nous fait aussi réfléchir sur les relations que l’on entretient avec notre famille. Chaque phrase peut prendre un double sens et l’alchimie entre les acteurs nous fait passer beaucoup d’émotions. Je vous invite vivement à aller voir ce film, que je trouve réussi, tant sur le plan artistique que sur le scénario.
    Voir la critique complète sur mon blog.
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    39 abonnés 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 février 2017
    X.Dolan a cette aptitude contradictoire de fasciner et de faire détester ses films. Par son traitement tranché et persécutant, chacun de ses films ne laisse jamais indifférent, bons ou moins bons, mais font persister en nous une forme d’attachement viscéral qui fait que nous sommes contents de les avoir vus, vécus ou endurés. “Juste la Fin du Monde“ est peut-être son film le plus sage ou le plus innofensif: c’est peut-être pour cette raison qu’il nous déçoit. Toujours au coeur d'un trauma familial déchirant, le réalisateur-scénariste multiplie des scènes interminables de dialogues vociférants entre des personnages qui ont tant à dire, mais persistent dans leur incapacité à exprimer leurs vérités, sentiments et ressentiments. Ces longs silences bruyants et bavards donnent souvent des scènes de non-dits d’une belle intensité dramatique, mais leurs répétitions et la vacuité des propos fatiguent également. Ce qui peut apparaître comme un procédé original et émotionnellement intense, se retourne également contre le film lui-même et n’empêche pas l’ennui et l’intérêt nul. Le casting 5 étoiles aide à porter un constant intérêt (en aurait-il été de même avec un casting de personnalité inconnues?), même si, à l’image du film, il alterne le meilleur comme il frise la caricature et le sur-jeu. Mentions spéciales à N.Baye et M.Cotillard. L.Seydoux et V.Cassel font à nouveau du Seydoux et du Cassel colèriques, G.Ulliel rejoue un peu son personnage du “Long Dimanche de Fiançailles“ (César d’interprétation masculine dubitatif...). Gardons de “Juste la Fin du Monde“ sa qualité inégale de ravir parfois, de faire réagir, toujours.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 mars 2019
    Après douze ans d’absence, un écrivain retourne dans son village natal pour annoncer à sa famille sa mort prochaine.
    Ce sont les retrouvailles avec le cercle familial où l’on se dit l’amour que l’on se porte à travers les éternelles querelles, et où l’on dit malgré nous les rancœurs qui parlent au nom du doute et de la solitude.

    Tel est le synopsis de Juste la fin du monde, un film réalisé par le jeune Xavier Dolan. Par où commencer, n'étant pas du tout amateur du genre puisque je suis beaucoup plus axé sur les thrillers ou les films complètements barrés en passant de Donnie Darko à Planète Terreur, et bien, j'ai adoré.
    La critique va certainement être courte mais j'écris au feeling, de par ce que j'ai ressentis. En fait, ce film m'a secoué, il montre des problèmes familiaux bien d'actualité que je ressens fortement dans ce que j'ai personnellement vécu. Notamment les embrouilles entre frères, les parents absents, la distance etc... Mais également des problèmes liés à l'éducation et l'adolescence.
    Ce film est le premier que je vois de Xavier Dolan, j'entends déjà crier ceux amateurs du genre mais vraiment, le premier et il m'a bluffé. En fait je n'ai pas les mots, la réalisation est au top de sa forme, sachant que l'usage massif des gros plans n'a été décidé qu'à partir du troisième jour de tournage, autant dire que c'est très réussit, je n'ai rarement vu un gros plan aussi bien utilisé pour montrer et je reprends les mots de Dolan, que les réactions et les expressions sont plus fortes et plus importantes que les mots. En effet, ils nous donnent des informations, des détails, des précisions sur les personnages, et s'en ai presque gênant. La musique est parfaitement accordé aux moments que l'on ne regarde pas mais que l'on vit.
    Quelques mots sur les acteurs se résumeront en une seule phrase :en pleine forme, au top et qui ont presque faillit me faire verser une larme à la fin. Voilà la justification du non 5/5. Bref, à quoi bon raconter le film ou surligner en spoiler, on s'attend à quelque chose et en fait, c'est bien plus important. Trêve de discussion, c'est un film et c'est juste... la fin du monde.
    Arnaud R
    Arnaud R

    91 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2017
    Xavier Dolan signe une nouvelle performance de réalisation avec un film plein de sous entendus délivrant une émotion extrêmement puissante et une direction d'acteurs exceptionnelle. On pourra juste regretter que le scénario est simpliste et que l'adaptation depuis la pièce confint le film dans une ambiance étrange.
    Patrick
    Patrick

    9 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 février 2017
    Grosse déception . Rien à voir avec Mommy . Les acteurs sont bons, la réalisation excellente. Mais le scénario est inintéressant. Des familles qui s'engueulent et des connards violents, on en voit tous les jours et ce n'est vraiment pas marrant ni intéressant.
    A part ça, le petit est frustré et triste parce qu'il vient exprès d'Amérique pour annoncer sa mort prochaine et que personne l'écoute, et que tout le monde s spoiler: 'engueule
    e dispute . Voila, voila, voila. Le talent de Nolan et de ses acteurs ( qui n'est pas remis en cause ), ne suffit pas à faire digérer le film.
    Beaucoup de cris et de larmes pour rien. Je trouve les films de Ken Loach beaucoup plus tristes et violents perso.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 février 2017
    Le moins Dolan des films de Dolan, et ça ne lui réussit pas beaucoup. On ne retrouve pas dans Juste la Fin du Monde l'énergie, la jeunesse, la virtuosité du cinéma de Dolan. Les choix de mise en scène visant à créer une atmosphère oppressante, assortis d'une très belle photographie aux tons chauds étouffants, sont tout à fait compréhensibles mais ils éloignent le réalisateur de son cinéma. Ajoutez à cela un casting imperfectible (mention spéciale à Nathalie Baye) et vous obtenez un bon film. Mais pas un grand film. Peut-être la pièce de Jean-Luc Lagarce n'était-elle pas faite pour être adaptée au cinéma, car on s'ennuie pas mal et le travail sur la psychologie des personnages (le scénario étant en effet assez pauvre c'est bien de cela qu'il s'agit dans ce film) n'est pas assez réussi à mon goût. Dolan ne peut alors pas se contenter du doux lyrisme de son film car il a déjà fait bien mieux en la matière. (Souvent sur une bonne bande son, qui manque par ailleurs à Juste la Fin du Monde.)
    Film à voir néanmoins, donc 3.5.
    peter W.
    peter W.

    44 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 février 2017
    Un casting hautement alléchant mais quelle déception, ce qui marque en premier c'est les dialogues tellement peu naturels qui se transforment en longs monologues ennuyeux. Les personnages ont des caractères non moins naturels, les plus forts en thème vont sans doute trouver une explication pour chaque personnage et vont peut être même aller jusqu'à reconstituer le passé complet de toute la famille avec un peu d'imagination. Ca me semble une perte de temps.
    Samuel B
    Samuel B

    7 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 février 2017
    Comprendre ce film c est comprendre les pires familles ! Aucun intérêt ! Malgré un jeux d acteurs satisfaisant ! On connaît la fin ! On ce croirait dans une télé réalité d NRJ12
    Laetitia H.
    Laetitia H.

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 février 2017
    Pas mon film préféré de Dolan. Film très lent et très contemplatif. Le film est quasiment uniquement composé de gros plan: cela ajoute beaucoup de tension mais ça donne mal a la tête au bout d'un moment.
    pfloyd1
    pfloyd1

    135 abonnés 2 115 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 février 2017
    Quel nanard ! Ce film est d'un ennuie c'est pas possible. Long, lent, cette petite histoire à huis clos ne passionne pas, il n'y a que la force de vincent cassel qui donne un peu de relief à cette tragédie ennuyeuse. Quand cet homme décide de revenir parmi les siens, il sait que l'horloge de sa vie est déréglée, il ne lui reste plus beaucoup de temps au compteur. Les personnages tentent de sauver le vide d'une famille qui passe son temps à s'engueuler mais on patauge, rien n'y fait , rien ne se passe même au bout d'une heure...Quel est le moment que l'on attend finalement dans ce film...le moment où il leur dira la vérité sur son état de santé mais en fait, on s'en fout à la fin ! Ils on réussi à saboter l'histoire par leur nonchalance à l'ecran. On se fout de son sort, finalement.
    Thibaut d.
    Thibaut d.

    18 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2017
    Je dois le dire, je pars toujours avec un préjugé défavorable dès qu'il s'agit d'un film de Dolan, mais ces petits agacements se placent sur des détails presque insignifiants, une manière d'être générale, le maniérisme gay, sa manière de filmer trop bien les hommes, de prendre plaisir aux visages masculins, de filmer leurs mâchoires parfaitement carrées en trop trop plans, trop longuement. Passé ces agacements là, il faut reconnaître que le roman familial qu'il tisse est d'une inquiétante familiarité : vulgarité de la vie de famille, tristesse de la vie quotidienne, rituels familiaux ridicules isolés du contexte clanique, frère (Antoine, joué par Vincent Cassel) aigri et bougon qui ne supporte pas, dans le fond, cette vulgarité là, à sa manière, tout ce qui rappelle l'enfance ou tout ce qui serait bêtement dit, bêtement tombé là, ces discussions bruyantes et sans fins, sans intérêts, ce bourdonnement incessant, la vie de famille dans toute son horreur, dans toute sa brutalité, sa méchanceté, ses frustrations, ses répétitions. Tout cela, cette « inquiétante familiarité », rend très rapidement captif, mélange de mélancolie et de mépris pour toutes ces discussions, histoires cent fois répétés, qui nous rappellent trop bien nos propres « réunions de famille », qui tournent souvent au fiasco, dont on attendait parfois beaucoup, plus jeune, naïvement et qu'au fil du temps, après leur avoir donné une chance, nous en attendons qu'une chose, l'isolement, enfin, avec soi-même. Loin du bruit, loin de ces méchancetés gratuites, ou ces bêtises, de frère, de mère, de père, dont on aurait voulu être aimé. Intervient alors, dans le film, la question du ressentiment, la méchante jalousie, les préférences pour l'un ou l'autre frère, qu'on ne s'explique pas, les amours blessés. Je ne sais, à titre personnel, duquel des personnes masculins je me sens le plus proche : d'Antoine, dont l'apparente méchanceté n'est qu'une forme de protection, les phrases cassantes, son ton constamment agressif, forme de prémunition contre la bêtise dont il aurait voulu que sa propre famille soit épargné, par amour. Mais c'est un amour et une exigence incomprise, bien entendu. Antoine ne supporte pas les histoires de sa femme, les histoires familiales, qu'ils considèrent – à juste titre – ridicule, la musique, il n'a aucune tolérance pour tout ce qui rabaisse ou rend ridicule sa propre famille, c'est à dire lui-même, impossible d'imaginer que c'est dans cela qu'il a pu grandir, s'épanouir et être finalement ce qu'il est, cet amalgame de goûts, de dégoûts, de destinées.Cette bougonnerie constante n'est dureté qu'en apparence et cache un cœur bon (le clin d’œil à son frère cadet, les souvenirs qui surgissent alors, de ces dimanche). C'est un nostalgique aussi, mais protégé d'une carapace, un amour blessé.
    Le personnage principal, Louis, à quelque chose à dire. Il n'est pas exempt de fautes, ni d’égoïsme, il voulait quelque chose d'authentique, mais retombe dans l'enfer familial, les « histoires », le ressentiment, les pudeurs mal dissimulées.Sa manière de vouloir être exceptionnel, distingué, important, est agaçante, c'est vrai. D'un autre côté, agaçant est aussi le discours rabattu sur les uns et sur les autres, interprétation, le parler à notre place, « il est comme cela, il pense ceci ». Cette « vie familiale », cette vie quotidienne, veut suivre son cours, ne supporte pas le surgissement de l'extra-ordinaire, elle veut ronronner, se répéter, patauger dans sa rassurante bêtise. Elle se rabat sur l'intensité, elle veut rassurer, se rassurer. Rien ne peut surgit d'authentique, Antoine le sait, tente de protéger son frère et sacrifie sa réputation pour cela, l'idée qu'on se fait de lui (« évidemment, tout le monde est bien, sauf Antoine »), parce qu'il devance la chose, seul à comprendre. La famille : Rien ne passe de grave, rien ne passera au-delà des non-dits.
    Qualité chez Dolan, sa faculté a chargé des musiques kitchs d'une certaine intensité mélancolique.
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