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Le scénario, minimaliste, est à l’image de la mise en scène d’une belle épure de la réalisatrice : tout entier au service du lent délitement d’un récit qui fait peu à peu pénétrer le spectateur dans un univers fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Joyce A. Nashawati excelle ici à créer une ambiance hallucinatoire suffocante. Ne serait-ce que pour cette raison, celle-ci se doit donc d'être suivie avec attention.
Sous un soleil accablant, dans une lumière aveuglante, un drame inquiétant, construit comme une métaphore des peurs et des fantasmes liés à l’immigration.
Rehaussé d’une photo magnifique, Blind Sun fascine, Joyce A. Nashawati développant son intrigue sinueuse dans une atmosphère oppressante et solaire. En dépit d’un rythme lent, ce long métrage singulier et déconcertant se révèle être une expérience sensorielle.
Dans un futur proche, où le paradis méditerranéen s'est transformé en enfer caniculaire, le premier film de Joyce A. Nashawati baigne dans une lumière cruelle et marie efficacité du film de genre avec stylisation d'un trip parano.
Entre l’efficacité "B" du film de genre et l’élégance arty du trip aux échos politiques (le péril du migrant à l’ère du capitalisme sauvage), ce premier long métrage happe la rétine avec son onirisme sec, obsessionnel, et nous fait basculer avec délectation de l’autre côté du miroir. Lumineuse révélation.
La critique complète est disponible sur le site Première
On ressort du film sans réponse, la nature de la menace n'étant jamais clarifiée, mais convaincu que le cinéma de Joyce A. Nashawati existe bien pour lui même.
Un thriller psychologique bien maîtrisé, distillant une ambiance vénéneuse qui trouble autant qu'elle fascine. Au-delà de l'exercice de style étouffant et du cinéma de genre de science-fiction, ce premier long grisant opère une réflexion pertinente sur la crise des migrants que traverse l'Europe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ce croisement entre terreur psychique et terreur sociale ne trouve peut-être pas une conclusion à la hauteur de ses enjeux mais demeure une belle exception dans le jeune cinéma français.
Il manque quelques degrés de folie à ce Blind Sun, peut-être un peu trop scolaire et révérencieux, pour réellement atteindre nos attentes. Pourtant, on ne peut s’empêcher de s’attacher à ce petit trip lumineux un peu sage, à sa facture esthétique, à ses nombreuses idées et son inquiétante douceur.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Malgré une vague menace policière qui rôde, l’angoisse reste diffuse, simplement onirique, malgré un travail remarquable sur le style et la mise en scène et des repères sociopolitiques qui tombent à pic, la fable est plus chic que choc.
Bande à part
Le scénario, minimaliste, est à l’image de la mise en scène d’une belle épure de la réalisatrice : tout entier au service du lent délitement d’un récit qui fait peu à peu pénétrer le spectateur dans un univers fantastique.
Elle
(...) il est bon de se munir d’une bouteille d’eau et d’aller voir ce premier film angoissant, mais diablement maîtrisé.
L'Ecran Fantastique
Joyce A. Nashawati excelle ici à créer une ambiance hallucinatoire suffocante. Ne serait-ce que pour cette raison, celle-ci se doit donc d'être suivie avec attention.
Le Dauphiné Libéré
Sous un soleil accablant, dans une lumière aveuglante, un drame inquiétant, construit comme une métaphore des peurs et des fantasmes liés à l’immigration.
Le Journal du Dimanche
Rehaussé d’une photo magnifique, Blind Sun fascine, Joyce A. Nashawati développant son intrigue sinueuse dans une atmosphère oppressante et solaire. En dépit d’un rythme lent, ce long métrage singulier et déconcertant se révèle être une expérience sensorielle.
Les Fiches du Cinéma
Un film oscillant entre drame fantastique au pays des mythes et métaphore de la réalité actuelle.
Mad Movies
POUR : Un premier long inégal, mais dont les effluves se ressentent encore après la projection.
Obejctif-Cinema.com
Dans un futur proche, où le paradis méditerranéen s'est transformé en enfer caniculaire, le premier film de Joyce A. Nashawati baigne dans une lumière cruelle et marie efficacité du film de genre avec stylisation d'un trip parano.
Positif
Par une canicule à perdre la tête, "Blind Sun" condense avec succès l'obsession paranoïaque du polar sur le fond social le plus ardu.
Première
Entre l’efficacité "B" du film de genre et l’élégance arty du trip aux échos politiques (le péril du migrant à l’ère du capitalisme sauvage), ce premier long métrage happe la rétine avec son onirisme sec, obsessionnel, et nous fait basculer avec délectation de l’autre côté du miroir. Lumineuse révélation.
Transfuge
On ressort du film sans réponse, la nature de la menace n'étant jamais clarifiée, mais convaincu que le cinéma de Joyce A. Nashawati existe bien pour lui même.
aVoir-aLire.com
Un thriller psychologique bien maîtrisé, distillant une ambiance vénéneuse qui trouble autant qu'elle fascine. Au-delà de l'exercice de style étouffant et du cinéma de genre de science-fiction, ce premier long grisant opère une réflexion pertinente sur la crise des migrants que traverse l'Europe.
Cahiers du Cinéma
Ce croisement entre terreur psychique et terreur sociale ne trouve peut-être pas une conclusion à la hauteur de ses enjeux mais demeure une belle exception dans le jeune cinéma français.
CinemaTeaser
Un premier long qui dilate un peu trop son mystère mais démontre un véritable savoir-faire pour le sensoriel.
Culturopoing.com
Il manque quelques degrés de folie à ce Blind Sun, peut-être un peu trop scolaire et révérencieux, pour réellement atteindre nos attentes. Pourtant, on ne peut s’empêcher de s’attacher à ce petit trip lumineux un peu sage, à sa facture esthétique, à ses nombreuses idées et son inquiétante douceur.
Le Monde
Ce premier film à la forme raffinée fait preuve d'une maîtrise étonnante.
Libération
C’est beau un film qui lutte, même s’il lutte contre lui-même, et même s’il perd.
Positif
Si elle pêche parfois par excès de brio, on ne peut reprocher son talent à la cinéaste.
Studio Ciné Live
C'est d'abord beau et intrigant, puis d'un ennui rédhibitoire. Dommage.
Télérama
Dommage que le récit, inconsistant, ne soit pas à la hauteur des audaces formelles de la jeune cinéaste.
L'Humanité
Le héros, gardien de la villa déserte, n’exprime rien d’autre que la peur permanente d’un ennemi impalpable. Un thriller vague.
Les Inrockuptibles
Malgré une vague menace policière qui rôde, l’angoisse reste diffuse, simplement onirique, malgré un travail remarquable sur le style et la mise en scène et des repères sociopolitiques qui tombent à pic, la fable est plus chic que choc.
Mad Movies
CONTRE : L'atmosphère, c'est bien joli, mais ça ne fait pas un film.