Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de « '71 » brosse un tableau fascinant d’une Amérique qui ressemble à celle d’aujourd’hui.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Lino Cassinat
"Undercover - Une histoire vraie" nage clairement au dessus du lot en ce qui concerne la chronique socialo-gangster inspirée d'une histoire vraie, mais a du mal à franchement émerger pour autant. Pas grave, on continue de suivre ce réalisateur prometteur [...].
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par La Rédaction
D’une noirceur abyssale, le film est pourtant traversé de quelques éclairs de lumière, dont l’ultime nécessite de rester jusqu’au bout du générique final.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Au-delà du mode thriller qui suit pas à pas cet adolescent, c’est la chronique sociale et politique que l’on retient, électrisée par les performances de Matthew McConaughey en père vendeur d’armes en sous-main et de Bel Powley dans le rôle de la sœur junkie.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Cécile Mury
Si les ingrédients du polar sont là, c’est le portrait de la ville de Detroit qui saisit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
En adaptant une histoire vraie des années 80, Yann Demange pose un regard puissant sur l’Amérique contemporaine et livre une nouvelle oeuvre coup de poing marquée au fer de sa personnalité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Pas franchement original, mais plutôt solide.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Les dialogues claquent comme des balles dum-dum, la bande-son hip-hop-disco est de premier choix, et la reconstitution des faubourgs sinistrés de la Motor City durant la guerre anti-drogues de l'administration Reagan, très crédible.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Détroit, dans les années 80, au plus fort de la guerre contre l’épidémie de crack, voici l’histoire vraie d’un père d’origine modeste, Richard Wershe, et de son fils, Rick Jr.. Pas mal.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré un rythme inégal, il tient en haleine grâce à ses acteurs, dont Matthew McConaughey, toujours habité.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pour son premier film tourné outre-Atlantique, Yann Demange refuse avec énergie les pièges du crime à grand spectacle comme ceux de la reconstitution historique nostalgique.
Les Fiches du Cinéma
par La rédaction
Parfaitement incarné par Matthew McConaughey et le prometteur Richie Meritt, ce deuxième long métrage de Yann Demange, au rythme assez inégal, convainc par sa capacité à placer le drame intime avant le contexte social dans lequel il s’inscrit.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Le côté trop scolaire de l'ensemble n'efface cependant pas la prestation impeccable du débutant Richie Meritt dans le rôle central.
Positif
par Jean-Loup Bourget
D'où vient que malgré la richesse du matériau, on reste sur sa faim ? c'est sans doute que Demange n'a pas choisi entre un récit objectif, froid, factuel genre Truman Capote ou Sidney Lumet, et un point de vue plus empathique [...].
Première
par Thierry Chèze
Un destin hors du commun qui contraste avec le manque d’aspérité de ce film, proprement réalisé, pas désagréable à regarder, mais auquel il manque le souffle qu’avait su insuffler Yann Demange à son formidable ‘71.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par Daniel Blois
Parfois un peu déjà vu comme film de gangsters, Undercover compense avec une belle étude de personnages et une réalisation soignée.
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Yann Demange navigue entre le film classique de gangster, la peinture d'une famille aimante mais qui ne se comprend pas, la critique d'un système judiciaire brutal et sans discernement et les ravages de la discrimination raciale. Son propos est sensible, un brin moralisateur. Il y manque un parti pris, une vraie force de persuasion pour vraiment nous prendre au cœur dans cette histoire à la fois dramatique et banale.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Le Figaro
par La Rédaction
Dans le rôle du père trafiquant d'armes, Matthew McConaughey porte la moustache de façon toujours convaincante. Dans le rôle du grand-père, on est heureux de retrouver Bruce Dern. Sinon, rien de neuf sous le soleil de ce narco polar mal dosé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Le réalisateur de « '71 » brosse un tableau fascinant d’une Amérique qui ressemble à celle d’aujourd’hui.
Ecran Large
"Undercover - Une histoire vraie" nage clairement au dessus du lot en ce qui concerne la chronique socialo-gangster inspirée d'une histoire vraie, mais a du mal à franchement émerger pour autant. Pas grave, on continue de suivre ce réalisateur prometteur [...].
Le Parisien
D’une noirceur abyssale, le film est pourtant traversé de quelques éclairs de lumière, dont l’ultime nécessite de rester jusqu’au bout du générique final.
Rolling Stone
Au-delà du mode thriller qui suit pas à pas cet adolescent, c’est la chronique sociale et politique que l’on retient, électrisée par les performances de Matthew McConaughey en père vendeur d’armes en sous-main et de Bel Powley dans le rôle de la sœur junkie.
Télérama
Si les ingrédients du polar sont là, c’est le portrait de la ville de Detroit qui saisit.
aVoir-aLire.com
En adaptant une histoire vraie des années 80, Yann Demange pose un regard puissant sur l’Amérique contemporaine et livre une nouvelle oeuvre coup de poing marquée au fer de sa personnalité.
CinemaTeaser
Pas franchement original, mais plutôt solide.
L'Obs
Les dialogues claquent comme des balles dum-dum, la bande-son hip-hop-disco est de premier choix, et la reconstitution des faubourgs sinistrés de la Motor City durant la guerre anti-drogues de l'administration Reagan, très crédible.
Le Dauphiné Libéré
Détroit, dans les années 80, au plus fort de la guerre contre l’épidémie de crack, voici l’histoire vraie d’un père d’origine modeste, Richard Wershe, et de son fils, Rick Jr.. Pas mal.
Le Journal du Dimanche
Malgré un rythme inégal, il tient en haleine grâce à ses acteurs, dont Matthew McConaughey, toujours habité.
Le Monde
Pour son premier film tourné outre-Atlantique, Yann Demange refuse avec énergie les pièges du crime à grand spectacle comme ceux de la reconstitution historique nostalgique.
Les Fiches du Cinéma
Parfaitement incarné par Matthew McConaughey et le prometteur Richie Meritt, ce deuxième long métrage de Yann Demange, au rythme assez inégal, convainc par sa capacité à placer le drame intime avant le contexte social dans lequel il s’inscrit.
Ouest France
Le côté trop scolaire de l'ensemble n'efface cependant pas la prestation impeccable du débutant Richie Meritt dans le rôle central.
Positif
D'où vient que malgré la richesse du matériau, on reste sur sa faim ? c'est sans doute que Demange n'a pas choisi entre un récit objectif, froid, factuel genre Truman Capote ou Sidney Lumet, et un point de vue plus empathique [...].
Première
Un destin hors du commun qui contraste avec le manque d’aspérité de ce film, proprement réalisé, pas désagréable à regarder, mais auquel il manque le souffle qu’avait su insuffler Yann Demange à son formidable ‘71.
Voici
Parfois un peu déjà vu comme film de gangsters, Undercover compense avec une belle étude de personnages et une réalisation soignée.
Le Point
Yann Demange navigue entre le film classique de gangster, la peinture d'une famille aimante mais qui ne se comprend pas, la critique d'un système judiciaire brutal et sans discernement et les ravages de la discrimination raciale. Son propos est sensible, un brin moralisateur. Il y manque un parti pris, une vraie force de persuasion pour vraiment nous prendre au cœur dans cette histoire à la fois dramatique et banale.
Le Figaro
Dans le rôle du père trafiquant d'armes, Matthew McConaughey porte la moustache de façon toujours convaincante. Dans le rôle du grand-père, on est heureux de retrouver Bruce Dern. Sinon, rien de neuf sous le soleil de ce narco polar mal dosé.