Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Si la langue et les signes qui sous-tendent le film de Crotty sont nourris de ses racines américaines, son portrait d’une mélancolie accentuée par l’époque ne ferait pas honte à ses modèles français.
Libération
par Didier Péron
Bel ovni très fignolé tout en restant délicieusement bricolé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) une variation gay du cinéma rohmérien, totalement rafraîchissante, dans ses poses, ses humeurs, et ses essais poétiques.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Ce casting désopilant participe au premier chef du plaisir coupable procuré par cette espèce de sitcom arty, laquelle, sous ses dehors de fiction travestie, parvient à réconcilier cultures américaine et française, imaginaire hollywoodien et Fresnoy-film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Culturopoing.com
par Pierre Audebert
Loin des contingences d'époque, du virilisme outrancier ou de la fascination morbide pour les corvées de chiottes, Fort Buchanan vient d'infiltrer le corps d'armée comme un virus amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Isabelle Régnier
Ce film qui réinvente, autour de l'esthétique et de la mythologie du légionnaire, une sorte d'éden écolo-libertin pourrait séduire si l'imaginaire qu'il dessine excédait le savant petit jeu de référence cinématographiques sur lequel il repose (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Son imaginaire débridé et son inventivité plastique font de Fort Buchanan un objet hors norme et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Damien Leblanc
Entre frontalité rappelant les soaps américains et rythme rohmérien, cette insolite petite musique oublie de se muer en symphonie sensorielle.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Une proposition à la fois littéraire, sensorielle et sensuelle, qui ne concrétise pas encore toutes ses ambitions mais témoigne à chaque séquence de l'envol prometteur d'un cinéaste singulier.
L'Express
par Christophe Carrière
Un premier long-métrage singulier, variation rhomérienne tendance gay, bourré de maladresses, aux séquences tantôt sensuelles, tantôt burlesques, tantôt les deux. Pas banal.
Télérama
par Jacques Morice
Farce queer, parodie de western, pastiche de soap opera... Cette petite comédie ovni, sur les joies et les déboires affectifs d'une communauté d'excentriques de tout poil (...) vivant à la lisière d'une base militaire, aurait pu faire l'objet d'un court métrage rigolo. Mais sur plus d'une heure, sa culture systématique du décalage sexy suscite plus l'agacement que le sourire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
par Franck Garbarz
Voilà le genre même de film qui, par son décalage revendiqué, voire placardé à chacun de ses plans, croit pouvoir tout faire passer au spectateur : une intrigue d'une indigence à peine soutenable, des dialogues terrifiants de niaiserie ("Cherchons un nom à la bite de Roger"), des personnages profondément irritants et des longueurs insupportables... pour un film qui ne dure que 65 minutes.
Cahiers du Cinéma
Si la langue et les signes qui sous-tendent le film de Crotty sont nourris de ses racines américaines, son portrait d’une mélancolie accentuée par l’époque ne ferait pas honte à ses modèles français.
Libération
Bel ovni très fignolé tout en restant délicieusement bricolé.
aVoir-aLire.com
(...) une variation gay du cinéma rohmérien, totalement rafraîchissante, dans ses poses, ses humeurs, et ses essais poétiques.
Chronic'art.com
Ce casting désopilant participe au premier chef du plaisir coupable procuré par cette espèce de sitcom arty, laquelle, sous ses dehors de fiction travestie, parvient à réconcilier cultures américaine et française, imaginaire hollywoodien et Fresnoy-film.
Culturopoing.com
Loin des contingences d'époque, du virilisme outrancier ou de la fascination morbide pour les corvées de chiottes, Fort Buchanan vient d'infiltrer le corps d'armée comme un virus amoureux.
Le Monde
Ce film qui réinvente, autour de l'esthétique et de la mythologie du légionnaire, une sorte d'éden écolo-libertin pourrait séduire si l'imaginaire qu'il dessine excédait le savant petit jeu de référence cinématographiques sur lequel il repose (...)
Les Inrockuptibles
Son imaginaire débridé et son inventivité plastique font de Fort Buchanan un objet hors norme et attachant.
Première
Entre frontalité rappelant les soaps américains et rythme rohmérien, cette insolite petite musique oublie de se muer en symphonie sensorielle.
Studio Ciné Live
Une proposition à la fois littéraire, sensorielle et sensuelle, qui ne concrétise pas encore toutes ses ambitions mais témoigne à chaque séquence de l'envol prometteur d'un cinéaste singulier.
L'Express
Un premier long-métrage singulier, variation rhomérienne tendance gay, bourré de maladresses, aux séquences tantôt sensuelles, tantôt burlesques, tantôt les deux. Pas banal.
Télérama
Farce queer, parodie de western, pastiche de soap opera... Cette petite comédie ovni, sur les joies et les déboires affectifs d'une communauté d'excentriques de tout poil (...) vivant à la lisière d'une base militaire, aurait pu faire l'objet d'un court métrage rigolo. Mais sur plus d'une heure, sa culture systématique du décalage sexy suscite plus l'agacement que le sourire.
Positif
Voilà le genre même de film qui, par son décalage revendiqué, voire placardé à chacun de ses plans, croit pouvoir tout faire passer au spectateur : une intrigue d'une indigence à peine soutenable, des dialogues terrifiants de niaiserie ("Cherchons un nom à la bite de Roger"), des personnages profondément irritants et des longueurs insupportables... pour un film qui ne dure que 65 minutes.