Mon compte
    La Fille Inconnue
    Note moyenne
    2,9
    1280 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Fille Inconnue ?

    151 critiques spectateurs

    5
    9 critiques
    4
    33 critiques
    3
    47 critiques
    2
    46 critiques
    1
    10 critiques
    0
    6 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 novembre 2016
    Ça se voit sans ennui, d'accord. L'histoire est plutôt bien menée, à la manière d'une enquête policière, avec la solution découverte en fin de film - bon Dieu, mais c'est bien sûr - Mais je n'ai pas "accroché". En grande partie à raison du personnage principal, parfaitement antipathique,voire odieux. Parce quelle se sent coupable de ne pas avoir ouvert la porte de son cabinet, elle s'acharne à trouver "une" vérité, se mettant elle-même en danger (c'est son affaire) mais aussi bouleversant la vie des autres (ça, ça ne l'est pas). Vers la fin, les flics lui demandent d'arrêter de jouer à Maigret chez les Wallons. Elle leur pose alors la question : " Connaît-on la cause précise de la mort" ? Ça ne vous regarde pas répond, à juste titre, le policier. spoiler: Et pourtant, c'est sans avoir de certitude, pour le moins, qu'elle assène au père de famille "sa" vérité : la jeune fille noire est morte d'hémorragie et l'intervention de l'homme aurait permis de la sauver. Il est donc coupable, non d'avoir voulu avoir des relations sexuelles avec une prostituée, ce qui n'est pas pendable, mais de non-assistance à personne en danger de mort imminente, par suite d'un accident dont il est, il est vrai, l'initiateur (mais c'est quand même un accident) et doit donc aller se dénoncer. Elle brise ainsi une famille somme toute honorable, banale en tout cas, au nom de se propre culpabilité, alors qu'elle ne sait RIEN des causes réelles de la mort (la fille aurait pu mourir sur le coup du traumatisme de la chute et l'intervention de l'homme n'aurait alors rien changé). Odieuse, vous dis-je. On plaint les patients qui se feront soigner par une perverse pareille.
    Toute la fin du film - regardez-le attentivement - dépend de ce moment. C'est assez subtil et je pense que nombre de spectateurs ne s'en aperçoivent pas. Mais le jugement qu'on peut porter sur le personnage principal change alors du tout au tout. Cela dit, beaucoup d'autres facteurs ne rendent pas le personnage joué par Adèle Haenel bien sympathique, mais là, c'est assez subjectif.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 novembre 2016
    Je place les frères Dardenne au sommet. Au sommet de mon palmarès personnel : « Rosetta », « Le Silence de Lorna », « Le Gamin au vélo » figurent parmi mes films préférés. Au sommet, je crois aussi, de la cinématographie de ce début de siècle. Je prends le pari que, dans un siècle, leurs noms seront cités parmi la dizaine de réalisateurs marquants de notre temps.

    Aussi chacun de leur film est-il un événement que j’attends avec une impatience joyeuse.
    Celui-ci ne m’a pas étonné tant il ressemble aux précédents.
    Par son cadre d’abord : les bords de la Meuse à Liège, une fois encore, gris et laids, mais filmés sans misérabilisme.
    Par son héroïne ensuite : une femme, seule, de chaque plan, constamment en mouvement, souvent filmée de dos, mue par une idée fixe. Emilie Duquenne dans « Rosetta », Cécile de France dans « Le Gamin au vélo », Marion Cotillard dans « Deux jours, une nuit ».
    Par son titre également : un titre court, qui claque et qui prétend, par sa brièveté même, à l’universel.
    Par le dilemme moral qu’il pose : Olivier Gourmet acceptera-t-il l’apprenti qui a provoqué la mort de son fils (« Le Fils ») ? Lorna abusera-t-elle l’homme qu’elle doit épouser pour régulariser sa situation administrative (« Le Silence de Lorna ») ? Marion Cotillard convaincra-t-elle ses collègues de renoncer à leur prime pour qu’elle garde leur emploi (« Deux jours, une nuit ») ?

    Dans « La Fille inconnue », les frères Dardenne posent une question pour y répondre immédiatement. Pouvons-nous rester indifférents à la misère du monde ? La mystérieuse inconnue, qui vient frapper à vingt heures passé à la porte du cabinet du docteur Davin et qui trouve porte close, va obséder la jeune praticienne qui s’estime coupable de sa mort.

    Mais « La Fille inconnue » est moins un film sur les réfugiés qui meurent anonymes dans nos rues, que sur la médecine et sa pratique. « Le Docteur » ou « La Consultation » – le titre d’un livre de Martin Winckler auquel le film des Dardenne emprunte énormément – aurait été plus approprié. Car c’est l’éthique du médecin que le film questionne : sa porte ouverte à la détresse physique et morale, ses gestes patients et compatissants, les connaissances qu’il doit mobiliser pour établir un diagnostic exact, la disponibilité de chaque instant.

    « La Fille inconnue » est un film à montrer à tous ceux et celles qui se destinent au beau métier de médecin.
    Top of the World
    Top of the World

    67 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 novembre 2016
    Qu'est-ce qui empêche La Fille inconnue d'être au niveau des meilleurs films des frères Dardenne ? Sans aucun doute un manque d'intensité regrettable dans une première partie où l'on navigue entre la relation tendue (et plutôt touchante) qu'entretient le docteur Jenny Davin (subtilement interprétée par Adèle Haenel) avec son stagiaire, les scènes de consultation et le début d'enquête menée par la protagoniste suite à la mort d'une jeune femme qui avait tenté d'échapper à son agresseur en sonnant à son cabinet . C'est quand l'investigation s'installe réellement au centre des enjeux dramatiques que le film monte en puissance, et ce d'autant plus habilement lors des scènes où c'est en exerçant son métier que l’héroïne parvient à faire progresser son enquête (le cœur de Bryan qui bat trop vite et la poussera à le faire parler). Après la chronique assez poussive de la première moitié, c'est presque vers le thriller que le scénario s'oriente. Thriller surtout moral, comme le montre la fin, spoiler: où les deux scènes d'aveux successives permettent de mettre en lumière la thématique centrale du film:
    la culpabilité. Celle-là même qui avait motivé la décision de Jenny d'enquêter et qui la faisait reconnaître les signes de culpabilité chez ses interlocuteurs. Avec leur système formel habituel (valorisation du plan-séquence avec une caméra de plus en plus posée, absence totale de musique, auxquels s'adjoint un retour à une grisaille bien morose), les Dardenne auscultent donc avec précision la réalité humaine qui se cache derrière le fait divers, s'attachant au regard digne d'un personnage qui constate sans juger la misère affective et sexuelle, la jalousie délétère et la lâcheté ordinaire. La Fille inconnue, à défaut d'être un film majeur, reste une oeuvre qui s'inscrit avec fluidité dans une filmographie à l'imparable cohérence thématique et stylistique.
    circusstar
    circusstar

    136 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 octobre 2016
    Talent réalisation est bonne mais l'intrigue est assez lente et tient plus de l'étude psychologique de cette femme médecin plutôt que du thriller. Une film intéressant cependant.
    Bionman
    Bionman

    11 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2016
    Si Groland avait fait une parodie des films des frères Dardenne, ca ressemblerait à cette Fille Inconnue. Sauf qu'à Groland, les scetchs durent 2 minutes. Là ça dure 1h40. Autant prévenir, cette heure quarante vous en paraitra 5 tant le chemin de croix est fastidieux.
    Que dire si ce n'est que le cinéma des Dardenne tient sur des détails qui font parfois de belles réussites. Dans leur dernier film, rien de fonctionne, tout est raté. A commencer par le scénario, tout simplement invraisemblable, peuplé de personnages qui réagissent un peu n'importe comment. Ou ces longues scènes explicatives pour surligner les choses là où les non dits aurait été préférables. Impossible de rentrer dans cette histoire lorsqu'on a vite compris qu'on a affaire à un navet pur et simple, même pas digne de passer sur M6 un lundi après-midi.
    Les dialogues de type :
    "Il faut que tu parles à la police.
    - Non
    - Si tu dois leur parler
    - Non je veux pas
    - Si il le faut
    - Bon d'accord."
    Ca n'amène strictement rien à la scène, aucune tension, aucun enjeu rien. Et puis le fameux "Je me réjouis" de la medecin à son interlocuteur téléphonique au début. Même pas "Je m'réjouis", non, "Je me réjouis". Qui parle comme ça au téléphone dans la vraie vie ? Et ce n'est pas sauvé par des acteurs qui récitent leur texte comme des robots avec le ton monocorde qui va avec.
    Pour en rajouter une couche, les Dardenne placent leur action dans les lieux les plus laids de Liège, les intérieurs varient entre cabinet médical froid, cyber café du coin, commissariat et caravane, et ce sera chantier et route périphérique pour les extérieurs. Les pauvres personnages sont habillés chez emmaus, ils semblent tous sortir d'une autre époque, comme si une médecin n'avait pas les moyens de se payer autre chose que cet affreux manteau (ah ce manteau... ce manteau!). Les Dardenne ont voulu faire du "réel" sauf que leur réalité s'est arrêté il y a 20 ans.

    Avec ce film, les Dardenne arrive à rendre la réalité plus moche qu'elle ne l'est. Heureusement, les Inrocks et Telerama seront toujours là pour les soutenir même lorsqu'ils nous pondent cette daube sans précédent dans leur carrière. Cette année, si on veut du cinéma social, on préférera Ken Loach.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 octobre 2016
    Énormément surpris par la qualité du film. Un réel intérêt apporté sur l'importance des rapports entre le médecin et ses patients. Le film nous montre parfois la face cachée d'un métier les plus beaux du monde. L'intrigue est bien ficelée. je vous le conseille.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 octobre 2016
    C'est d'une lenteur infinie... l'actrice y est exceptionnelle!
    Pas de doute c'est un film des frères Dardenne.
    gueratomik
    gueratomik

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 octobre 2016
    Merci pour ce moment! J'ai été pris d'un fou rire inarrêtable à 10 minutes de la fin du film (au point de devoir quitter la salle!!!). Une soupape a lâché après 1h30 d'un scenario pourri, d’une enquête invraisemblable, d'un film sans enjeu et je dirais même sans jeu. Les acteurs sont tous mauvais, même Adèle Haenel, qui, c'est un comble pour un médecin, parle avec 2 de tension pendant tout le film! Derrick à coté c'est un cocaïnomane! Ce film est complètement anémié! On est sans arrêt interrompu par du grand cinéma tel un examen au stéthoscope, un pansement du pied, une piqûre à la hanche, une crise de méthadone et, attendez revenez!!, un autre examen au stéthoscope... bref, "Le scenario inconnu".
    Emma Schell
    Emma Schell

    9 abonnés 107 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 octobre 2016
    Un film qui tombera vite dans l'oubli...

    Quel dommage que ce film ne se soit pas tout simplement appelé "Médecin de Banlieue",

    Quel dommage que les frères Dardenne ne se soient pas cantonnés à dresser le portrait d'une jeune femme médecin avec toutes les difficultés, contraintes et sacrifices que cela implique - notamment dans les quartiers populaires -. La première partie de ce long métrage est d'une telle maîtrise et réalisme que je conseillerai au réalisateur du très raté "médecin de campagne", Thomas Lidi, d'en prendre de la graine et de revoir sa copie.

    Mais,

    le cadavre d'une fille inconnue plus tard, boum - patatras, le film tombe par terre - et ce n'est pas la faute à Voltaire - mais à un scénario rocambolesque. Notre si serviable et généreuse médecin se transforme en Candice Renoir - l'humour en moins - pour mener son enquête et découvrir le nom de la fille - rusée et obstinée tout de même -.

    A vous de voir si vous voulez jouer au Cluedo avec Jenny (jouée par une impeccable Adèle Haenel) mais dépêchez vous, il n'est resté à l'écran qu'une semaine sur Muret... Peut être aura t il droit à une deuxième semaine sur Toulouse ?... Étonnamment, j'ai comme un doute. ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 octobre 2016
    Raté, raté, raté. Ce film est juste ra-té ! On tient les vingt premières minutes puis, l'ennui s'installe. Durablement jusqu'à la fin d'un film qui paraît interminable... L'histoire en soi suscité plutôt l'intérêt mais là c'est vraiment loupé ! Décevant !
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    101 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Le film m'a particulièrement plu car il montre à quel point un événement peut faire basculer le comportement et le "destin" de quelqu'un. L'interprétation est excellente tout comme la mise en scène. Nominations aux césars à venir et potentiel césar de la meilleure actrice. Qui veut parier un pot sur mon pronostic de lauréate ?
    Julie D.
    Julie D.

    9 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 janvier 2017
    Les frères Dardenne raconte ici l’histoire d’une jeune médecin qui culpabilise de n’avoir pas ouvert sa porte de cabinet à une jeune femme, retrouvée morte le lendemain. L'héroïne, bien trop engagée dans son métier, va mener seule l’enquête, jusqu’à se mettre elle-même en danger. Les frères Dardenne réalisent un reportage social qui se veut réaliste, caméra à l’épaule et prise de son brut. Or, les situations mises en évidence restent totalement surréalistes: une jeune médecin qui laisse ses émotions la dépasser, qui se met en danger, qui se laisse se faire agresser et persécuter; un conflit entre vie professionnelle et émotions privées; des scènes de quotidien de généraliste clichées… Nous n’adhérons pas à ce conte social incohérent.
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 octobre 2016
    Alerte pour les frères Dardenne : c'est leur deuxième film de suite présenté à Cannes qui ne reçoit pas de prix. Alors, les cinéastes belges sont-ils en perte d'inspiration ? Moins fort que "Deux jours, une nuit", "La fille inconnue" est sans doute moins bien écrit et perd parfois en intensité, comme dans ces scènes où Jenny (Adèle Haenel dans son meilleur rôle) examine ses patients sans que ces consultations soient directement rattachées à l’enquête. En revanche, le film gagne en intérêt quand il lie le sentiment de culpabilité qui touche la jeune médecin à ses méthodes employées pour retrouver le nom de cette fille morte; la tension et le suspense montent alors de façon spectaculaire, en l'espace d'un contrechamp ou d'une brève conversation sensible de révéler des éléments déterminants, preuve que la mise en scène des Dardenne est toujours aussi précise, surtout en ce qui concerne la distance opérée par la caméra avec les corps. Elle est en un sens idéale puisqu'elle témoigne d'une vraie empathie pour les personnages tout en ne présupposant pas de jugement sur les actes; il y a quoi qu'il arrive de l'attachement et jamais d'acharnement, ce qui permet au film, plus sombre que le précédent, de ne jamais devenir plombant mais d'être toujours animé par cette énergie dramatique propre au cinéma des Dardenne. "La fille inconnue" n'est pas leur meilleur film mais possède de réelles qualités qui prouvent que les cinéastes n'ont pas perdu la main.
    Krebs
    Krebs

    32 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Un film aux thèmes intéressants (la culpabilité, la misère, la lâcheté...), mais qui n'arrive ni complètement à convaincre, ni vraiment à émouvoir. Malgré un très beau jeu d'Adèle Haenel, les scènes s'enchaînent et se ressemblent, et le personnage principal mène son enquête parallèle seule, avec assez peu de vraisemblance. Chacun avoue finalement au médecin ce qu'il devrait dire à la police, et tout cela fait au bout du compte très "cinéma"... On peut aussi regretter que certaines idées (les symptômes de l'enfant battu par exemple- je n'en dis pas plus) soient abordées tout d'un coup puis abandonnées tout aussi brutalement, sans rien amener à l'histoire.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2016
    Pourquoi la Belgique est si triste ou si sinistre ? C'est souvent la marque de fabrique des frères Dardenne que de présenter un pays, le leur, au bord du gouffre social et intellectuel. Pour une fois, les deux brillants réalisateurs s'arrêtent sur une profession sensée appartenir à la bourgeoisie, sans trop s'appesantir sur la dimension sociale des patients. Jenny, la jeune médecin admirablement interprétée par Adèle Haendel (dont on regarde avec stupéfaction sa capacité à faire un pansement ou une prise de sang à une patiente alcoolique), est tentée par une carrière dans un brillant cabinet médical, loin des patients abîmés qu'elle côtoie à Lièges où elle fait un remplacement. Mais le destin porté par la disparition violente d'une jeune fille africaine, mais inconnue, va conduire la jeune professionnelle à modifier son cheminement dans la médecine. Le film raconte plusieurs histoires : une histoire policière où l'on recherche le nom de cette victime, et donc les raisons de sa mort, et une autre qui regarde les déserts médicaux, les pathologies au quotidien des populations pauvres. D'un côté, on est dans le récent "Médecin de campagne", dans l'autre dans un policier banal. Le problème, c'est que le récit policier n'est pas ce qui a de mieux. C'est peut-être même le maillon faible de cette œuvre où les invraisemblances scénaristiques dominent. Par contre, toute la dimension sociétale de l'exercice de la médecine dans le Nord de l'Europe est particulièrement bien traité. Le spectateur tremble avec cette jeune médecin, ou au contraire se laisse pousser la larme à l'œil devant tel patient adolescent cancéreux, par exemple, qui fête le départ de son médecin traitant. L'actrice principale habite son film avec âpreté et densité ce rôle. Elle prend soudain l'épaisseur d'une Catherine Deneuve capable de tous les jeux sans que jamais sa crédibilité ne soit remise en cause. On pourrait même affirmer que la réussite de "La fille inconnue", c'st Adèle Haendel, et en cela le film vaut le détour.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top