Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Cinéastes physiques, depuis toujours extrêmement précis sur les corps, leurs mouvements, leurs vitesses, leurs lourdeurs, leurs positions dans l’espace du plan, les frères fondent ici en un même geste leur principe central de mise en scène et leur dramaturgie. C’est nouveau et c’est brillantissime.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Yann Tobin
Il convient de revenir sur le travail exceptionnel des frères Dardenne avec l'actrice Adèle Haenel pour créer le personnage complexe et avare d'expression de Jenny Davin.
20 Minutes
par Caroline Vié
À Cannes, La fille inconnue des frères Dardenne a connu un accueil assez glacial. Humblement, les réalisateurs ont remonté leur film pour lui donner un nouveau souffle. Et on est conquis !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
L’intrigue de "La fille inconnue" a beau ressembler à celle d’un thriller haletant, les Dardenne utilisent le motif de l’investigation pour mieux cerner la personnalité de leur protagoniste, et la dimension sociale de sa démarche.
Critikat.com
par Axel Scoffier
C’est la marque des Dardenne, d’un cinéma encore non renouvelé mais capable de générer une tension morale, policière et sociale dans un même geste d’une apparente simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Ce drame réaliste, presque clinique, a des airs de polar. Il est porté par une actrice aussi subtile qu'entêtée.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Toutes les données du film noir y sont : meurtre, mystère, enquête, menaces, mais ramenées à la dimension d'ingrédients, là où dans les films précédents elles advenaient organiquement. (...) Tout cela n'empêche pas "la Fille inconnue" de se situer à un niveau que peu de cinéastes peuvent prétendre atteindre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
En compétition lors du dernier Festival de Cannes, le nouveau long métrage des Dardenne est une œuvre exigeante et magnifique sur la nécessité de dire.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sous forme d’enquête visant à retrouver l’identité de cette inconnue, l’itinéraire moral d’une prise de conscience qui est aussi un panoramique social, cher aux deux frères Dardenne, sur la misère des laissés pour compte.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Pas facile de se montrer à la fois débordante d'énergie et aux limites de l'abandon de soi : Adèle, tout en courant, parvient à ce délicat équilibre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Christophe Narbonne
Adèle Haenel compose admirablement cette Jenny, accablée mais déterminée, digne héritière des Rosetta, Lorna et autres Sandra.
Public
par Florence Roman
Encore un rôle poignant pour l'actrice césarisée des « Combattants » et une leçon de cinéma par les frangins Dardenne.
Télérama
par Samuel Douhaire
Au fil de cette enquête aussi policière que morale, le film ne cesse de monter en puissance dramatique. Jusqu'à la révélation complète, déchirante, de la vérité dans une des scènes les plus fortes que les Dardenne aient jamais tournées.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une quête intime, aussi, portée par Adèle Haenel avec un mélange de rudesse et de fragilité.
Bande à part
par Isabelle Danel
Si le scénario est plus « volontariste » que de coutume avec quelques « hasards » voyants, la mise en scène reste un modèle du genre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Libération
par Luc Chessel
Toute l’histoire est donc une affaire d’identification : pour connaître l’autre, il faudra se reconnaître en l’autre, pour enfin se connaître soi. C’est là quelque chose de bien gentil.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Les Dardenne se piquent de tout (sur)expliquer et perdent pied en accordant trop des place à des personnages secondaires transparents (...). Cette maladresse ne se retrouve (...) pas dans l'interprétation d'Adèle Haenel, qui surnage dans ce film laissant perplexe.
Transfuge
par Sidy Sakho
Ce n'est peut-être pas leur meilleur film, mais "La Fille inconnue" passionne lorsqu'il semble échapper, même provisoirement, à son programme narratif.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
"La Fille inconnue" n’est pas le grand film sur la culpabilité que l’on attendait. Trop démonstratifs et se refusant à toute nuance psychologique, les Dardenne échouent à susciter toute émotion. Restent Adèle Haenel, et un scénario efficace.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
À ce degré d’assèchement, le système Dardenne ne produit plus qu’une idée autarcique et routinière du cinéma.
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
La principale limite de "La Fille Inconnue" est de ne se (re)trouver réellement que dans la redite, la relecture de films antérieurs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Eric Libiot
Jenny n'a pas ouvert la porte à cette fille inconnue, les frères Dardenne, eux, n'ont pas trouvé la clef du film.
L'Humanité
par Dominique Widemann
La mortification de Jenny d’avoir laissé porte close au nez de la détresse se comprend. La nécessité de soulager sa conscience est une finalité recevable. Mais le personnage principal ne connaît aucune évolution, ce qui nuit au rythme comme à la dramaturgie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Usant et abusant de son air buté, Adèle Haenel joue l’obsession au sein d’un scénario tiré par les cheveux, miné par des ressorts improbables et de lourdaudes considérations psychologiques et angéliques.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le film est une enquête policière menée par une toubib. (...) Les Dardenne n'étant pas David Fincher, on s'ennuie ferme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Avec le souci de retranscrire une réalité sociale, le tandem de cinéastes belges parle d’immigration, de vieillesse, de précarité et de prostitution dans cette chronique austère mais pertinente.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Au lieu de prendre la forme d’un morceau de vie arraché à la réalité, ce cri prend celle d’un sermon peuplé de figures de rhétorique plutôt que de personnages.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
L’inspiration fuit les frères Dardenne pour ce nouveau drame social, plus routinier que les précédents.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
On finit par ne plus accorder beaucoup d'importance à cette histoire et aux tourments du Dr. Jenny Davin. Dommage.
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Qu’il semble loin, le temps où les velléités sociales et documentaires des Dardenne généraient à travers leurs films une certaine idée du cinéma, à la lisière, curieusement, du thriller mental.
Les Inrockuptibles
Cinéastes physiques, depuis toujours extrêmement précis sur les corps, leurs mouvements, leurs vitesses, leurs lourdeurs, leurs positions dans l’espace du plan, les frères fondent ici en un même geste leur principe central de mise en scène et leur dramaturgie. C’est nouveau et c’est brillantissime.
Positif
Il convient de revenir sur le travail exceptionnel des frères Dardenne avec l'actrice Adèle Haenel pour créer le personnage complexe et avare d'expression de Jenny Davin.
20 Minutes
À Cannes, La fille inconnue des frères Dardenne a connu un accueil assez glacial. Humblement, les réalisateurs ont remonté leur film pour lui donner un nouveau souffle. Et on est conquis !
CNews
L’intrigue de "La fille inconnue" a beau ressembler à celle d’un thriller haletant, les Dardenne utilisent le motif de l’investigation pour mieux cerner la personnalité de leur protagoniste, et la dimension sociale de sa démarche.
Critikat.com
C’est la marque des Dardenne, d’un cinéma encore non renouvelé mais capable de générer une tension morale, policière et sociale dans un même geste d’une apparente simplicité.
Femme Actuelle
Ce drame réaliste, presque clinique, a des airs de polar. Il est porté par une actrice aussi subtile qu'entêtée.
L'Obs
Toutes les données du film noir y sont : meurtre, mystère, enquête, menaces, mais ramenées à la dimension d'ingrédients, là où dans les films précédents elles advenaient organiquement. (...) Tout cela n'empêche pas "la Fille inconnue" de se situer à un niveau que peu de cinéastes peuvent prétendre atteindre.
La Croix
En compétition lors du dernier Festival de Cannes, le nouveau long métrage des Dardenne est une œuvre exigeante et magnifique sur la nécessité de dire.
Le Dauphiné Libéré
Sous forme d’enquête visant à retrouver l’identité de cette inconnue, l’itinéraire moral d’une prise de conscience qui est aussi un panoramique social, cher aux deux frères Dardenne, sur la misère des laissés pour compte.
Le Parisien
Pas facile de se montrer à la fois débordante d'énergie et aux limites de l'abandon de soi : Adèle, tout en courant, parvient à ce délicat équilibre.
Première
Adèle Haenel compose admirablement cette Jenny, accablée mais déterminée, digne héritière des Rosetta, Lorna et autres Sandra.
Public
Encore un rôle poignant pour l'actrice césarisée des « Combattants » et une leçon de cinéma par les frangins Dardenne.
Télérama
Au fil de cette enquête aussi policière que morale, le film ne cesse de monter en puissance dramatique. Jusqu'à la révélation complète, déchirante, de la vérité dans une des scènes les plus fortes que les Dardenne aient jamais tournées.
Voici
Une quête intime, aussi, portée par Adèle Haenel avec un mélange de rudesse et de fragilité.
Bande à part
Si le scénario est plus « volontariste » que de coutume avec quelques « hasards » voyants, la mise en scène reste un modèle du genre.
Libération
Toute l’histoire est donc une affaire d’identification : pour connaître l’autre, il faudra se reconnaître en l’autre, pour enfin se connaître soi. C’est là quelque chose de bien gentil.
Studio Ciné Live
Les Dardenne se piquent de tout (sur)expliquer et perdent pied en accordant trop des place à des personnages secondaires transparents (...). Cette maladresse ne se retrouve (...) pas dans l'interprétation d'Adèle Haenel, qui surnage dans ce film laissant perplexe.
Transfuge
Ce n'est peut-être pas leur meilleur film, mais "La Fille inconnue" passionne lorsqu'il semble échapper, même provisoirement, à son programme narratif.
aVoir-aLire.com
"La Fille inconnue" n’est pas le grand film sur la culpabilité que l’on attendait. Trop démonstratifs et se refusant à toute nuance psychologique, les Dardenne échouent à susciter toute émotion. Restent Adèle Haenel, et un scénario efficace.
Cahiers du Cinéma
À ce degré d’assèchement, le système Dardenne ne produit plus qu’une idée autarcique et routinière du cinéma.
Culturopoing.com
La principale limite de "La Fille Inconnue" est de ne se (re)trouver réellement que dans la redite, la relecture de films antérieurs.
L'Express
Jenny n'a pas ouvert la porte à cette fille inconnue, les frères Dardenne, eux, n'ont pas trouvé la clef du film.
L'Humanité
La mortification de Jenny d’avoir laissé porte close au nez de la détresse se comprend. La nécessité de soulager sa conscience est une finalité recevable. Mais le personnage principal ne connaît aucune évolution, ce qui nuit au rythme comme à la dramaturgie.
La Voix du Nord
Usant et abusant de son air buté, Adèle Haenel joue l’obsession au sein d’un scénario tiré par les cheveux, miné par des ressorts improbables et de lourdaudes considérations psychologiques et angéliques.
Le Figaro
Le film est une enquête policière menée par une toubib. (...) Les Dardenne n'étant pas David Fincher, on s'ennuie ferme.
Le Journal du Dimanche
Avec le souci de retranscrire une réalité sociale, le tandem de cinéastes belges parle d’immigration, de vieillesse, de précarité et de prostitution dans cette chronique austère mais pertinente.
Le Monde
Au lieu de prendre la forme d’un morceau de vie arraché à la réalité, ce cri prend celle d’un sermon peuplé de figures de rhétorique plutôt que de personnages.
Les Fiches du Cinéma
L’inspiration fuit les frères Dardenne pour ce nouveau drame social, plus routinier que les précédents.
Ouest France
On finit par ne plus accorder beaucoup d'importance à cette histoire et aux tourments du Dr. Jenny Davin. Dommage.
La Septième Obsession
Qu’il semble loin, le temps où les velléités sociales et documentaires des Dardenne généraient à travers leurs films une certaine idée du cinéma, à la lisière, curieusement, du thriller mental.