Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
(...) Brillante Mendoza réalise à la fois un documentaire, un mélodrame poignant, une méditation sur le silence de Dieu, dans un film juste d'un bout à l'autre et qui est l'un de ses plus beaux.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Comme souvent dans les films choraux, on passe d'une situation à une autre sans pouvoir en approfondir une seule. Cela n'enlève évidemment rien à l'urgence du constat.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Loin de cantonner les Philippins à leur seule souffrance, Brillante Mendoza rend hommage à leur courage. Taklub est un film puissant, profondément recueilli.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Le film est un hommage émouvant à ces Philippins qui n'ont pour trésor que leur humanité.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Brillante Mendoza filme, à travers quelques “héros” ordinaires, la souffrance, la persévérance, la dignité et la résilience. Une splendide fiction aux accents documentaires.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Jamais Mendoza ne cherche à se désolidariser de son propre peuple. Dans cet écartèlement, ils font corps, lui et sa caméra virevoltante, et c’est peut-être ce qu’il y a de plus poignant.
Paris Match
par Yannick Vely
La «méthode» Brillante Mendoza est ici à son summum: difficile de distinguer la fiction du documentaire, le fabriqué de l'instantané, ce qui relève de la préparation ou de l'improvisation.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Jacques Morice
À forte teneur documentaire, cette nouvelle perle de Brillante Mendoza (l'auteur de "Serbis et Lola") n'en est pas moins une fiction, vigoureuse, émouvante, que le cinéaste a tournée sur le vif, juste après la tragédie survenue fin 2013.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par La Rédaction
Le réalisateur de "Kinatay" (2009) et de "Captive" (2012), qui s’intéresse aux aspects les plus sombres de la vie quotidienne dans la société asiatique, filme la tragédie, caméra à la main, avec conviction. Le cœur y est ; la forme, elle, est malaisée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
Construit comme un assemblage de lambeaux disparates, le récit est minimaliste. (...) En choisissant de représenter des personnages sans trajectoire, en situation de survie, Mendoza a adopté la seule position moralement tenable.
Libération
par Julien Gester
Sans susciter toujours la même sidération que dans ses films passés (...), la caméra de Mendoza sillonne ces destins en vrac avec le puissant allant qu’on lui connaît, qui sait faire déferler un souffle de documentaire épique dans les plans de ce qui se donne pourtant sans fard comme l’illusion du cinéma direct (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
Sans se vautrer dans le chromo esthétisant, le film relate cet âpre quotidien fait de pillages et d’échanges kafkaïens avec une administration débordée par le chaos. Dommage que la note tragique, monocorde, comme coincée dans le registre de la compassion, échoue à rendre attachants ses dignes personnages.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Brillante Mendoza montre avec sensibilité les destins - à l'intérêt inégal - de trois familles philippines tentant de se reconstruire après les ravages du typhon Yolanda.
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
La mise en scène a beau être celle à laquelle Mendoza nous a habitués (caméra portée, grand angle), elle atteint dans "Taklub" une emphase pathétique presque fantastique.
Critikat.com
par Julien Marsa
En tentant d’échapper au voyeurisme, Mendoza ne fait qu’accéder au sensationnel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
(...) Brillante Mendoza réalise à la fois un documentaire, un mélodrame poignant, une méditation sur le silence de Dieu, dans un film juste d'un bout à l'autre et qui est l'un de ses plus beaux.
L'Humanité
Comme souvent dans les films choraux, on passe d'une situation à une autre sans pouvoir en approfondir une seule. Cela n'enlève évidemment rien à l'urgence du constat.
La Croix
Loin de cantonner les Philippins à leur seule souffrance, Brillante Mendoza rend hommage à leur courage. Taklub est un film puissant, profondément recueilli.
Le Figaroscope
Le film est un hommage émouvant à ces Philippins qui n'ont pour trésor que leur humanité.
Les Fiches du Cinéma
Brillante Mendoza filme, à travers quelques “héros” ordinaires, la souffrance, la persévérance, la dignité et la résilience. Une splendide fiction aux accents documentaires.
Les Inrockuptibles
Jamais Mendoza ne cherche à se désolidariser de son propre peuple. Dans cet écartèlement, ils font corps, lui et sa caméra virevoltante, et c’est peut-être ce qu’il y a de plus poignant.
Paris Match
La «méthode» Brillante Mendoza est ici à son summum: difficile de distinguer la fiction du documentaire, le fabriqué de l'instantané, ce qui relève de la préparation ou de l'improvisation.
Télérama
À forte teneur documentaire, cette nouvelle perle de Brillante Mendoza (l'auteur de "Serbis et Lola") n'en est pas moins une fiction, vigoureuse, émouvante, que le cinéaste a tournée sur le vif, juste après la tragédie survenue fin 2013.
L'Obs
Le réalisateur de "Kinatay" (2009) et de "Captive" (2012), qui s’intéresse aux aspects les plus sombres de la vie quotidienne dans la société asiatique, filme la tragédie, caméra à la main, avec conviction. Le cœur y est ; la forme, elle, est malaisée.
Le Monde
Construit comme un assemblage de lambeaux disparates, le récit est minimaliste. (...) En choisissant de représenter des personnages sans trajectoire, en situation de survie, Mendoza a adopté la seule position moralement tenable.
Libération
Sans susciter toujours la même sidération que dans ses films passés (...), la caméra de Mendoza sillonne ces destins en vrac avec le puissant allant qu’on lui connaît, qui sait faire déferler un souffle de documentaire épique dans les plans de ce qui se donne pourtant sans fard comme l’illusion du cinéma direct (...).
Première
Sans se vautrer dans le chromo esthétisant, le film relate cet âpre quotidien fait de pillages et d’échanges kafkaïens avec une administration débordée par le chaos. Dommage que la note tragique, monocorde, comme coincée dans le registre de la compassion, échoue à rendre attachants ses dignes personnages.
Studio Ciné Live
Brillante Mendoza montre avec sensibilité les destins - à l'intérêt inégal - de trois familles philippines tentant de se reconstruire après les ravages du typhon Yolanda.
Cahiers du Cinéma
La mise en scène a beau être celle à laquelle Mendoza nous a habitués (caméra portée, grand angle), elle atteint dans "Taklub" une emphase pathétique presque fantastique.
Critikat.com
En tentant d’échapper au voyeurisme, Mendoza ne fait qu’accéder au sensationnel.