Les mille et une nuits - L'Enchanté : Critique presse
Les mille et une nuits - L'Enchanté
Note moyenne
4,1
17 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
Les Inrockuptibles
Positif
Culturopoing.com
La Voix du Nord
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Libération
Première
Studio Ciné Live
Télérama
aVoir-aLire.com
L'Obs
Le Journal du Dimanche
L'Humanité
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Un film-monstre autant qu’un film-monde, un film qui réactive l’idéal pasolinien d’une œuvre d’intervention s’éloignant de l’imitation sociétale pour mieux générer son propre manifeste poétique.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
Par l’éblouissement du récit, par son ampleur, Miguel Gomes cherche assurément à redonner à son peuple une forme de richesse, dont on gage que le spectateur n’aura pas fini d’en épuiser les sens et résonances.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Troisième et dernier chapitre d’un somptueux voyage épique et historique.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le dernier volume de la prouesse cinématographique du cinéaste portugais. un film en trois parties à voir comme un tout, qui va bien au-delà du Portugal, bien au-delà du cinéma.
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Malgré la désolation et l'inquiétude, "Les mille et une nuits" propose une utopie: il est encore possible de raconter des histoires, encore possible de relier le passé et le présent, encore possible de faire déraper le réel. Il est encore des intervalles que l'hégémonie capitaliste n'a pas réussi à occuper.
Culturopoing.com
par William Lurson
"L’Enchanté" est encore plus ouvert, imprévisible, et prosaïque, que ses prédécesseurs. Mais à bien y regarder, son enchantement, déplacé de l’imaginaire vers la réalité documentaire, est sûrement le plus beau finale qui soit. Amer, ivre, et gracieux, comme peut l’être le chant des pinsons dans les bidonvilles portugais.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Comment faire un film d’intervention sociale quand on aspire à filmer des histoires merveilleuses ? Comment filmer des fables intemporelles quand on est engagé dans le présent ? Ben comme ça, m’sieur Gomes !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jean-François Rauger
Dans le rapport entre la fiction et le réel, il est plutôt admis que la première aurait le beau rôle. (...) Ce volume 3 des "Mille et Une Nuits", qui continue de mêler documentaire et artifice, vie et théâtre, ne remplit aucune de ces prescriptions. Ici, c’est le réel lui-même qui enchante la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Cet ultime volet voit cohabiter, de la plus simple des manières (celle d'un portrait plutôt que d'un récit linéaire), réel et réenchantement, les deux pôles de la trilogie. Miguel Gomes clôt en beauté son projet hors-norme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Julien Gester
Après le big bang fondateur du premier et la suite claire du deuxième, l’Enchanté joue à plein de surimpressions somptueuses et de fragments de textes imprimés aux plans pour se donner des airs de roman graphique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
Ce patchwork de récits cousus à même l’image documentaire résume la double ambition de la trilogie portugaise : débusquer la part romanesque du réel et montrer la part triviale du mythe. Un réenchantement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Gomes n'a pas fait les choses à moitié pour son après "Tabou", qui avait enflammé la critique en 2012. (...). Une expérience unique !
Télérama
par Louis Guichard
Le troisième volet, conclusif mais autonome. (...) La communauté et ses rites inspirent au cinéaste maintes trouvailles formelles, facétieuses, poétiques, autour de ce chant d'oiseau et de sa structure récurrente.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Judith Godinot
Un document pas menteur, une fiction surréaliste, un objet filmique non identifié qui nous en dit bien plus sur le Portugal contemporain que n'importe quel documentaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La démesure de l’entreprise continue d’interloquer et l’invention de Gomes fait merveille par moments, mais enfin la vérité oblige à dire que la chose en fin de course s’essouffle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
(...) Une échappée belle et farfelue, parfois tirée en longueur mais toujours drôle et en accord avec le postulat de Miguel Gomes : un monde est encore possible, d’autres cinémas, émancipateurs, le sont aussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dernier volet de l’entreprise mégalo de Gomes, qui semble un peu tirer à la ligne. Ponctuées par des pavés de textes en banc-titre, les pérégrinations de Shéhérazade charment certes grâce à leur pacotille sensuelle, mais on est rebuté par d’autres pièces rapportées, dont un documentaire lancinant sur l’élevage des pinsons.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Cahiers du Cinéma
Un film-monstre autant qu’un film-monde, un film qui réactive l’idéal pasolinien d’une œuvre d’intervention s’éloignant de l’imitation sociétale pour mieux générer son propre manifeste poétique.
Critikat.com
Par l’éblouissement du récit, par son ampleur, Miguel Gomes cherche assurément à redonner à son peuple une forme de richesse, dont on gage que le spectateur n’aura pas fini d’en épuiser les sens et résonances.
Le Dauphiné Libéré
Troisième et dernier chapitre d’un somptueux voyage épique et historique.
Les Inrockuptibles
Le dernier volume de la prouesse cinématographique du cinéaste portugais. un film en trois parties à voir comme un tout, qui va bien au-delà du Portugal, bien au-delà du cinéma.
Positif
Malgré la désolation et l'inquiétude, "Les mille et une nuits" propose une utopie: il est encore possible de raconter des histoires, encore possible de relier le passé et le présent, encore possible de faire déraper le réel. Il est encore des intervalles que l'hégémonie capitaliste n'a pas réussi à occuper.
Culturopoing.com
"L’Enchanté" est encore plus ouvert, imprévisible, et prosaïque, que ses prédécesseurs. Mais à bien y regarder, son enchantement, déplacé de l’imaginaire vers la réalité documentaire, est sûrement le plus beau finale qui soit. Amer, ivre, et gracieux, comme peut l’être le chant des pinsons dans les bidonvilles portugais.
La Voix du Nord
Comment faire un film d’intervention sociale quand on aspire à filmer des histoires merveilleuses ? Comment filmer des fables intemporelles quand on est engagé dans le présent ? Ben comme ça, m’sieur Gomes !
Le Monde
Dans le rapport entre la fiction et le réel, il est plutôt admis que la première aurait le beau rôle. (...) Ce volume 3 des "Mille et Une Nuits", qui continue de mêler documentaire et artifice, vie et théâtre, ne remplit aucune de ces prescriptions. Ici, c’est le réel lui-même qui enchante la fiction.
Les Fiches du Cinéma
Cet ultime volet voit cohabiter, de la plus simple des manières (celle d'un portrait plutôt que d'un récit linéaire), réel et réenchantement, les deux pôles de la trilogie. Miguel Gomes clôt en beauté son projet hors-norme.
Libération
Après le big bang fondateur du premier et la suite claire du deuxième, l’Enchanté joue à plein de surimpressions somptueuses et de fragments de textes imprimés aux plans pour se donner des airs de roman graphique.
Première
Ce patchwork de récits cousus à même l’image documentaire résume la double ambition de la trilogie portugaise : débusquer la part romanesque du réel et montrer la part triviale du mythe. Un réenchantement.
Studio Ciné Live
Gomes n'a pas fait les choses à moitié pour son après "Tabou", qui avait enflammé la critique en 2012. (...). Une expérience unique !
Télérama
Le troisième volet, conclusif mais autonome. (...) La communauté et ses rites inspirent au cinéaste maintes trouvailles formelles, facétieuses, poétiques, autour de ce chant d'oiseau et de sa structure récurrente.
aVoir-aLire.com
Un document pas menteur, une fiction surréaliste, un objet filmique non identifié qui nous en dit bien plus sur le Portugal contemporain que n'importe quel documentaire.
L'Obs
La démesure de l’entreprise continue d’interloquer et l’invention de Gomes fait merveille par moments, mais enfin la vérité oblige à dire que la chose en fin de course s’essouffle.
Le Journal du Dimanche
(...) Une échappée belle et farfelue, parfois tirée en longueur mais toujours drôle et en accord avec le postulat de Miguel Gomes : un monde est encore possible, d’autres cinémas, émancipateurs, le sont aussi.
L'Humanité
Dernier volet de l’entreprise mégalo de Gomes, qui semble un peu tirer à la ligne. Ponctuées par des pavés de textes en banc-titre, les pérégrinations de Shéhérazade charment certes grâce à leur pacotille sensuelle, mais on est rebuté par d’autres pièces rapportées, dont un documentaire lancinant sur l’élevage des pinsons.