Les mille et une nuits - L'Inquiet : Critique presse
Les mille et une nuits - L'Inquiet
Note moyenne
4,3
16 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Les Inrockuptibles
Paris Match
Positif
Première
Chronic'art.com
Culturopoing.com
L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
Libération
Studio Ciné Live
Télérama
La Croix
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Un film-monstre autant qu’un film-monde, un film qui réactive l’idéal pasolinien d’une œuvre d’intervention s’éloignant de l’imitation sociétale pour mieux générer son propre manifeste poétique.
Critikat.com
par Morgan Pokée
Un cinéaste déguisé en princesse orientale condamnée à raconter des histoires pour ne pas mourir. Différences et répétitions : l’usine à fictions se met en marche.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ce cinéma-là est évidemment politique et poétique. (...) C’est de cette hétérogénéité formelle que naissent le charme et la beauté du film. D’une variété nécessaire pour rendre compte de l’époque, de la société portugaise, du monde, ici et maintenant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
A la dépression économique (...), Miguel Gomes répond par la poésie la plus débridée, imaginant des puissants incapables de bander et des chômeurs qui s'offrent par défi un bain de midi malgré le froid. L'enchantement est puissant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Malgré la désolation et l'inquiétude, "Les mille et une nuits" propose une utopie: il est encore possible de raconter des histoires, encore possible de relier le passé et le présent, encore possible de faire déraper le réel. Il est encore des intervalles que l'hégémonie capitaliste n'a pas réussi à occuper.
Première
par Eric Vernay
Le cinéaste portugais est passé maître dans l'art de la correspondance baudelairienne. Ses associations d'idées poétiques et politiques font de ces inquiétudes un spectacle flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Plutôt qu'une tentative réussie de réenchantement du réel, c'est le constat d'une fiction blessée par une réalité économique, un récit meurtri, qui n'arrive littéralement plus à se tenir debout et déploie devant nous les coulisses de sa conscience malheureuse.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Culturopoing.com
par William Lurson
Ce volume donne le ton d'un projet en forme de divagation à la fois poétique et documentaire. Grand bazar tous cieux ouverts, coq-à-l'âne arrangé, va-et-vient malicieux ou improbables, confusion fictive et semi-réalité, collectage d'histoires vraies mais tout autant fabuleuses...
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ce film (...) passe d'une tonalité à une autre, entrelace les intrigues à loisir, joue avec le spectateur, lequel se dit parfois que Gomes pousse le bouchon un peu loin, tout en reconnaissant qu'un film comme celui-là, non, il n'en a jamais vu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un réalisateur portugais, n’arrivant pas à traduire le chaos d’une Europe en crise, laisse la parole à Shéhérazade, la fameuse narratrice des “Mille et une nuits”, qui en profite pour raconter des histoires qui en disent long sur le sujet. Le tout dans le style très personnel de Miguel Gomes.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Drôle, émouvant, vif, surprenant, ce film adresse un savoureux pied de nez à tous les comptables qui nous gouvernent.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Foutraque, inégal et éminemment stimulant, ce premier volume annonce une trilogie pleine de souffle, en réponse à une économie exsangue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Didier Péron
Ne pas ânonner le réel (...) mais sublimer la crise, telle est l’ambition folle que se donne le cinéaste portugais qui veut par stratégies obliques et formes hybrides redonner du lustre, de l’étoffe, une vibration à un quotidien qui, sinon, se dérobe dangereusement entre les commentaires économistes et la relégation muette.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Miguel Gomes joue les Shéhérazade. Ébouriffant.
Télérama
par Louis Guichard
Le grand voyage contrasté que constitue "Les Mille et Une Nuits" est imprévisible, irrégulier, inégal bien sûr. Mais il faut s'embarquer dès ce premier épisode et reposer le pied à terre seulement à l'issue du troisième pour en mesurer l'ampleur et l'extravagance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le réalisateur de "Tabou" livre une trilogie qui puise dans un Portugal souffrant la matière d'une expérience filmique hélas peu convaincante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Cahiers du Cinéma
Un film-monstre autant qu’un film-monde, un film qui réactive l’idéal pasolinien d’une œuvre d’intervention s’éloignant de l’imitation sociétale pour mieux générer son propre manifeste poétique.
Critikat.com
Un cinéaste déguisé en princesse orientale condamnée à raconter des histoires pour ne pas mourir. Différences et répétitions : l’usine à fictions se met en marche.
Les Inrockuptibles
Ce cinéma-là est évidemment politique et poétique. (...) C’est de cette hétérogénéité formelle que naissent le charme et la beauté du film. D’une variété nécessaire pour rendre compte de l’époque, de la société portugaise, du monde, ici et maintenant.
Paris Match
A la dépression économique (...), Miguel Gomes répond par la poésie la plus débridée, imaginant des puissants incapables de bander et des chômeurs qui s'offrent par défi un bain de midi malgré le froid. L'enchantement est puissant.
Positif
Malgré la désolation et l'inquiétude, "Les mille et une nuits" propose une utopie: il est encore possible de raconter des histoires, encore possible de relier le passé et le présent, encore possible de faire déraper le réel. Il est encore des intervalles que l'hégémonie capitaliste n'a pas réussi à occuper.
Première
Le cinéaste portugais est passé maître dans l'art de la correspondance baudelairienne. Ses associations d'idées poétiques et politiques font de ces inquiétudes un spectacle flamboyant.
Chronic'art.com
Plutôt qu'une tentative réussie de réenchantement du réel, c'est le constat d'une fiction blessée par une réalité économique, un récit meurtri, qui n'arrive littéralement plus à se tenir debout et déploie devant nous les coulisses de sa conscience malheureuse.
Culturopoing.com
Ce volume donne le ton d'un projet en forme de divagation à la fois poétique et documentaire. Grand bazar tous cieux ouverts, coq-à-l'âne arrangé, va-et-vient malicieux ou improbables, confusion fictive et semi-réalité, collectage d'histoires vraies mais tout autant fabuleuses...
L'Obs
Ce film (...) passe d'une tonalité à une autre, entrelace les intrigues à loisir, joue avec le spectateur, lequel se dit parfois que Gomes pousse le bouchon un peu loin, tout en reconnaissant qu'un film comme celui-là, non, il n'en a jamais vu.
Le Dauphiné Libéré
Un réalisateur portugais, n’arrivant pas à traduire le chaos d’une Europe en crise, laisse la parole à Shéhérazade, la fameuse narratrice des “Mille et une nuits”, qui en profite pour raconter des histoires qui en disent long sur le sujet. Le tout dans le style très personnel de Miguel Gomes.
Le Journal du Dimanche
Drôle, émouvant, vif, surprenant, ce film adresse un savoureux pied de nez à tous les comptables qui nous gouvernent.
Les Fiches du Cinéma
Foutraque, inégal et éminemment stimulant, ce premier volume annonce une trilogie pleine de souffle, en réponse à une économie exsangue.
Libération
Ne pas ânonner le réel (...) mais sublimer la crise, telle est l’ambition folle que se donne le cinéaste portugais qui veut par stratégies obliques et formes hybrides redonner du lustre, de l’étoffe, une vibration à un quotidien qui, sinon, se dérobe dangereusement entre les commentaires économistes et la relégation muette.
Studio Ciné Live
Miguel Gomes joue les Shéhérazade. Ébouriffant.
Télérama
Le grand voyage contrasté que constitue "Les Mille et Une Nuits" est imprévisible, irrégulier, inégal bien sûr. Mais il faut s'embarquer dès ce premier épisode et reposer le pied à terre seulement à l'issue du troisième pour en mesurer l'ampleur et l'extravagance.
La Croix
Le réalisateur de "Tabou" livre une trilogie qui puise dans un Portugal souffrant la matière d'une expérience filmique hélas peu convaincante.