Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Elle
par Khadija Moussou
Les images hantent encore quelques heures après sa projection. « Much Loved » est un film d’un magnétisme rare.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Thomas Baurez
La mise en scène traduit habilement cette dualité en évitant l'écueil de la fiction documentaire, qui voudrait restituer une réalité quitte à en exclure le romanesque. Ce romanesque, c'est justement ce que recherchent Noha, Randa, Soukaina et Hlima, quatre personnages de cinéma dont la singularité permet à Ayouch de construire un récit furieusement vivant.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par La Rédaction
C'est une défense et illustration des femmes et de leur dignité. Jamais voyeuriste, ni hypocrite ni obscène, Nabil Ayouch les respecte, lui. Sa caméra est compassionnelle et sa pellicule, sensible. Quant aux comédiennes, elles n'ont pas seulement du talent, elles ont aussi du cran.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Portrait de groupe, drame social, étude de mœurs… Nabil Ayouch multiplie les pistes de lecture et donne à voir un film foisonnant de thèmes, d'une humanité parfaite car complexe, et traversé par l'énergie remarquable de ses interprètes.
Les Inrockuptibles
par Luc Chessel
Le labeur, la violence, mais aussi la rage et la joie d’être au monde : la vie de quatre prostituées captée avec une densité rare.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Vincent Thabourey
En fait, "Much Loved" n'est pas un film sur la prostitution, mais un grand film politique. L'accueil outré qu'il a reçu au Maroc en est la preuve. Loin d'être un brûlot, son humour et son humanité mettent la violence à distance pour nous offrir un très beau portrait de battantes.
20 Minutes
par Caroline Vié
La sublime Loubna Abidar (...) est la révélation de ce film dérangeant, mais généreux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Clément Graminiès
"Much Loved" surprend par sa belle capacité à faire corps avec ses personnages, tout en prenant à son compte l’ambigu rapport qu’ils tissent avec la ville.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
"Much Loved" est un mariage accompli entre le documentaire et la fiction ; du premier, il retient la justesse quasi ethnologique ; du second, le sens du romanesque, les gout des personnages. Du tout, un amour inconditionnel des êtes humains.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un monde dur et solidaire qui, au-delà de tout moralisme, offre un concentré d'humanité vibrante. Difficile de rester indifférent.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Niveau cinéma, Ayouch assure ferme, adoptant un filmage façon documentaire transcendé par le jeu réaliste d’acteurs parmi lesquels de vrais oiseaux de nuit saisis dans leur quotidien, crûment mais sans misérabilisme ni verset moralisateur.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre misère de leur condition, où elles subissent de la part des hommes humiliations et dominations diverses, et chaleur de leur amitié partagée, un film sans concession, que la Maroc a refusé de voir et a interdit.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une chronique sans langue de bois, qui ne dérape jamais dans le voyeurisme, pleine d’empathie, d’humanité et de courage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Didier Péron
On peut toujours discuter de la véracité d’une fiction, en critiquer les outrances, en regretter les partis pris. Tel quel, Much Loved semble quand même un film qui oblige à prendre date et à ne pas fuir le débat.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Mehdi Omaïs
Sans complaisance ni vulgarité, sa plongée dans ce quotidien ténébreux est totale, quasi documentaire. Impossible de rester impavide devant sa mise en scène percutante qui, tout en témoignant de l’avilissement de la femme, la célèbre aussi.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Le film a heurté les autorités marocaines. Rien de provocateur ou de racoleur pourtant, dans cette chronique de Nabil Ayouch. Avec le regard d'un documentariste, il restitue une réalité parfois sordide et pleine de tendresse en même temps.
Première
par Christophe Narbonne
Cette chronique n'a rien de scandaleux, et encore moins d'obscène. (...) Tour à tour solaire et sombre, spontané et "joué", "Much Loved" fait d'Ayouch un émule d'Abdellatif Kechiche qui place les acteurs au coeur de son dispositif de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Un récit débordant de vie sur quatre prostituées marocaines.
TF1 News
par Romain Le Vern
Dans ce film interdit au Maroc, Ayouch révèle l'humanité comme la dignité de quatre prostituées marocaines confrontées à une société qui les ostracise. Salutaire et dépourvu d'écueils redoutables.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Cécile Mury
Le réalisateur marocain Nabil Ayouch scrute son pays, ses violences et ses inégalités avec une acuité quasi documentaire. Il nous immerge dans le quotidien tragi-cocasse de ses héroïnes, interprétées par un inoubliable et volcanique quatuor de comédiennes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
Un film nécessaire qui ose aborder frontalement son sujet tout en proposant un portrait sensible, humain et attachant de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jean-Fançois Lixon
Le cinéaste franco-marocain dénonce l'exploitation de ces femmes avec beaucoup de bonne volonté mais sans doute moins d'efficacité qu'il le voulait.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Arnaud Schwartz
En dépit de ses longueurs, de ses débordements, de ses répétitions inutiles, Much Loved est une œuvre forte, engagée, sincère, que l’on sent à la fois révoltée par les silences coupables et désireuse de douceur, d’apaisement, d’équité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Nabil Ayouch oppose sa silhouette massive à l'élégance des trois colocataires, son bon sens naïf et son âpreté au gain à leurs rêves. Cette opposition produit un peu de comédie, tout en rompant l'unité de "Much Loved". L'artifice est racheté par un joli final, mélancolique et lumineux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Tendu et convaincant dans sa première partie, le film s’affaiblit malheureusement vers la fin en usant trop du folklore « jeunes filles entre elles », cédant à quelques clichés (les habituelles scènes de jalousie « entre femmes ») et même au voyeurisme.
Elle
Les images hantent encore quelques heures après sa projection. « Much Loved » est un film d’un magnétisme rare.
L'Express
La mise en scène traduit habilement cette dualité en évitant l'écueil de la fiction documentaire, qui voudrait restituer une réalité quitte à en exclure le romanesque. Ce romanesque, c'est justement ce que recherchent Noha, Randa, Soukaina et Hlima, quatre personnages de cinéma dont la singularité permet à Ayouch de construire un récit furieusement vivant.
L'Obs
C'est une défense et illustration des femmes et de leur dignité. Jamais voyeuriste, ni hypocrite ni obscène, Nabil Ayouch les respecte, lui. Sa caméra est compassionnelle et sa pellicule, sensible. Quant aux comédiennes, elles n'ont pas seulement du talent, elles ont aussi du cran.
Les Fiches du Cinéma
Portrait de groupe, drame social, étude de mœurs… Nabil Ayouch multiplie les pistes de lecture et donne à voir un film foisonnant de thèmes, d'une humanité parfaite car complexe, et traversé par l'énergie remarquable de ses interprètes.
Les Inrockuptibles
Le labeur, la violence, mais aussi la rage et la joie d’être au monde : la vie de quatre prostituées captée avec une densité rare.
Positif
En fait, "Much Loved" n'est pas un film sur la prostitution, mais un grand film politique. L'accueil outré qu'il a reçu au Maroc en est la preuve. Loin d'être un brûlot, son humour et son humanité mettent la violence à distance pour nous offrir un très beau portrait de battantes.
20 Minutes
La sublime Loubna Abidar (...) est la révélation de ce film dérangeant, mais généreux.
Critikat.com
"Much Loved" surprend par sa belle capacité à faire corps avec ses personnages, tout en prenant à son compte l’ambigu rapport qu’ils tissent avec la ville.
Culturopoing.com
"Much Loved" est un mariage accompli entre le documentaire et la fiction ; du premier, il retient la justesse quasi ethnologique ; du second, le sens du romanesque, les gout des personnages. Du tout, un amour inconditionnel des êtes humains.
L'Humanité
Un monde dur et solidaire qui, au-delà de tout moralisme, offre un concentré d'humanité vibrante. Difficile de rester indifférent.
La Voix du Nord
Niveau cinéma, Ayouch assure ferme, adoptant un filmage façon documentaire transcendé par le jeu réaliste d’acteurs parmi lesquels de vrais oiseaux de nuit saisis dans leur quotidien, crûment mais sans misérabilisme ni verset moralisateur.
Le Dauphiné Libéré
Entre misère de leur condition, où elles subissent de la part des hommes humiliations et dominations diverses, et chaleur de leur amitié partagée, un film sans concession, que la Maroc a refusé de voir et a interdit.
Le Journal du Dimanche
Une chronique sans langue de bois, qui ne dérape jamais dans le voyeurisme, pleine d’empathie, d’humanité et de courage.
Libération
On peut toujours discuter de la véracité d’une fiction, en critiquer les outrances, en regretter les partis pris. Tel quel, Much Loved semble quand même un film qui oblige à prendre date et à ne pas fuir le débat.
Metro
Sans complaisance ni vulgarité, sa plongée dans ce quotidien ténébreux est totale, quasi documentaire. Impossible de rester impavide devant sa mise en scène percutante qui, tout en témoignant de l’avilissement de la femme, la célèbre aussi.
Ouest France
Le film a heurté les autorités marocaines. Rien de provocateur ou de racoleur pourtant, dans cette chronique de Nabil Ayouch. Avec le regard d'un documentariste, il restitue une réalité parfois sordide et pleine de tendresse en même temps.
Première
Cette chronique n'a rien de scandaleux, et encore moins d'obscène. (...) Tour à tour solaire et sombre, spontané et "joué", "Much Loved" fait d'Ayouch un émule d'Abdellatif Kechiche qui place les acteurs au coeur de son dispositif de mise en scène.
Studio Ciné Live
Un récit débordant de vie sur quatre prostituées marocaines.
TF1 News
Dans ce film interdit au Maroc, Ayouch révèle l'humanité comme la dignité de quatre prostituées marocaines confrontées à une société qui les ostracise. Salutaire et dépourvu d'écueils redoutables.
Télérama
Le réalisateur marocain Nabil Ayouch scrute son pays, ses violences et ses inégalités avec une acuité quasi documentaire. Il nous immerge dans le quotidien tragi-cocasse de ses héroïnes, interprétées par un inoubliable et volcanique quatuor de comédiennes.
aVoir-aLire.com
Un film nécessaire qui ose aborder frontalement son sujet tout en proposant un portrait sensible, humain et attachant de ses personnages.
Franceinfo Culture
Le cinéaste franco-marocain dénonce l'exploitation de ces femmes avec beaucoup de bonne volonté mais sans doute moins d'efficacité qu'il le voulait.
La Croix
En dépit de ses longueurs, de ses débordements, de ses répétitions inutiles, Much Loved est une œuvre forte, engagée, sincère, que l’on sent à la fois révoltée par les silences coupables et désireuse de douceur, d’apaisement, d’équité.
Le Monde
Nabil Ayouch oppose sa silhouette massive à l'élégance des trois colocataires, son bon sens naïf et son âpreté au gain à leurs rêves. Cette opposition produit un peu de comédie, tout en rompant l'unité de "Much Loved". L'artifice est racheté par un joli final, mélancolique et lumineux.
Cahiers du Cinéma
Tendu et convaincant dans sa première partie, le film s’affaiblit malheureusement vers la fin en usant trop du folklore « jeunes filles entre elles », cédant à quelques clichés (les habituelles scènes de jalousie « entre femmes ») et même au voyeurisme.