Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le résultat, très étonnamment, est moins un film de famille, comme il semblerait de prime abord, qu'un magnifique portrait de jeune fille en devenir, partie prenante d'un roman familial dont elle va précisément devoir apprendre à s'émanciper.
TF1 News
par Romain Le Vern
Au départ, on a l'impression de regarder la vidéo hilarante d'une adolescente postée sur Internet. Une heure trente plus tard, on est touchés en plein coeur par ce film minuscule qui recèle plus de cinéma que 90% de la production annuelle française.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Emilie Brisavoine, jeune cinéaste trentenaire, a filmé quatre ans durant sa demi-soeur de 15 ans, Pauline Lloret pour en tirer une saga familiale palpitante et bouillonnante : Pauline s’arrache.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Simon Gérard
La réalisatrice donne à voir une réalité qui est la sienne. L’absence de jugement ne veut pas dire ici objectivité, au contraire : elle est synonyme d’amour. D’où le traitement si atypique, mais au final logique, de ce qui sert de trame au film : l’extravagance de la famille de Pauline ne donne pas lieu à l’exhibition d’une galerie des horreurs, mais à un conte d’enfant fantaisiste, lieu par excellence de l’acceptation et de la tolérance.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Thomas Baurez
On pense au travail de Jonathan Caouette ("Walk Away Renée") pour cette formidable capacité à faire fi de toute pudeur et se frotter à la violence de l'intime.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Dominique Widemann
Une chronique familiale foisonnante d'une forte puissance émotionnelle et esthétique, presque en forme de documentaire.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un autodocumentaire de la réalisatrice sur sa propre famille : sincère et singulier.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Les images proviennent de différentes caméras, des dessins apparaissent à l’écran, il y a un côté brouillon et fouillis, qui, loin de pénaliser l’ensemble, le rend intense, bizarre, étonnant. Et surtout de plus en plus poignant à mesure que le récit avance et que Pauline rêve de parents normaux, pour voir.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Quatre ans durant, Émilie Brisavoine a filmé les siens : en résulte tout à la fois la chronique sensible d'une famille atypique, une réflexion attachante sur la transmission et le portrait décoiffant d'une adolescente.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un home-movie bouillonnant (...) Toute la force de "Pauline s'arrache" tient dans un travail de tension autour de la présence même de la caméra, tension de ce que l'on a le droit, ou non, de filmer.
Libération
par Clémentine Gallot
Frêle, l'ensemble tient grâce au bagout de son héroïne intrépide et paumée qui grandit face caméra. La réalisatrice, qui explique justement dans les notes de presse voir dans cette aisance à l'image un trait générationnel, le saisit à la perfection.
Première
par Eric Vernay
Échappant au freak show à la "Strip-tease", ce documentaire parcouru de secousses rock’n’roll ne regarde pas ses protagonistes de haut, mais bien en face, dans un dialogue tourbillonnant, violent et drôle, expiatoire et fécond.
La critique complète est disponible sur le site Première
So Film
par La Rédaction
Cela aurait pu être un mauvais épisode de "Confessions intimes", mais Emilie Brisavoine la joue profil bas et en tire un film souvent très drôle mais jamais embarrassant. Bien joué.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
On pense au travail de Jonathan Caouette ("Walk Away Renée") pour cette formidable capacité à faire fi de toute pudeur et se frotter à la violence de l'intime.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un petit bijou intimiste aux perspectives immenses (...) L'intelligence du film d'Emilie Brisavoine, qui ne triche jamais tout en restant pudique, vient de sa façon de parcourir avec les siens une trajectoire singulière et universelle.
Transfuge
par Ilan Malka
Emilie Brisavoine pose un regard original sur l'émancipation de sa demi-soeur.
Télérama
par Jérémie Couston
Ces âpres scènes de la vie quotidienne et parisienne (repas, engueulades sans fin) se mêlent, un peu comme dans le Tarnation de Jonathan Caouette, aux archives familiales en VHS, et finissent par composer l'émouvant roman d'apprentissage d'une jeune fille en quête d'émancipation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Conte familial destroy et borderline qui redonne du coeur à l’ouvrage.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
L’exposition qui est faite ici d’une intimité familiale chaotique qui pourrait se prêter au sensationnalisme. Si heureusement il n’en est rien, c’est que ces images hétérogènes qui dessinent le parcours d’une adolescente vers son émancipation sont porteuses au montage d’une représentation assez aiguë des rapports humains.
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
Lorsque Pauline s’arrache enfin, comme elle, le spectateur se rend compte qu’il a été témoin d’un cauchemar déguisé dans un emballage de conte de fée, d’un nœud traumatique qu’il sera difficile de refouler.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Anne Diatkine
Ce qui est drôle dans ce film c'est qu'il montre, volontairement ou pas, comment une famille exceptionnelle a les mêmes problèmes que les familles les plus banales.
Le Monde
Le résultat, très étonnamment, est moins un film de famille, comme il semblerait de prime abord, qu'un magnifique portrait de jeune fille en devenir, partie prenante d'un roman familial dont elle va précisément devoir apprendre à s'émanciper.
TF1 News
Au départ, on a l'impression de regarder la vidéo hilarante d'une adolescente postée sur Internet. Une heure trente plus tard, on est touchés en plein coeur par ce film minuscule qui recèle plus de cinéma que 90% de la production annuelle française.
20 Minutes
Emilie Brisavoine, jeune cinéaste trentenaire, a filmé quatre ans durant sa demi-soeur de 15 ans, Pauline Lloret pour en tirer une saga familiale palpitante et bouillonnante : Pauline s’arrache.
Culturopoing.com
La réalisatrice donne à voir une réalité qui est la sienne. L’absence de jugement ne veut pas dire ici objectivité, au contraire : elle est synonyme d’amour. D’où le traitement si atypique, mais au final logique, de ce qui sert de trame au film : l’extravagance de la famille de Pauline ne donne pas lieu à l’exhibition d’une galerie des horreurs, mais à un conte d’enfant fantaisiste, lieu par excellence de l’acceptation et de la tolérance.
L'Express
On pense au travail de Jonathan Caouette ("Walk Away Renée") pour cette formidable capacité à faire fi de toute pudeur et se frotter à la violence de l'intime.
L'Humanité
Une chronique familiale foisonnante d'une forte puissance émotionnelle et esthétique, presque en forme de documentaire.
Le Dauphiné Libéré
Un autodocumentaire de la réalisatrice sur sa propre famille : sincère et singulier.
Le Journal du Dimanche
Les images proviennent de différentes caméras, des dessins apparaissent à l’écran, il y a un côté brouillon et fouillis, qui, loin de pénaliser l’ensemble, le rend intense, bizarre, étonnant. Et surtout de plus en plus poignant à mesure que le récit avance et que Pauline rêve de parents normaux, pour voir.
Les Fiches du Cinéma
Quatre ans durant, Émilie Brisavoine a filmé les siens : en résulte tout à la fois la chronique sensible d'une famille atypique, une réflexion attachante sur la transmission et le portrait décoiffant d'une adolescente.
Les Inrockuptibles
Un home-movie bouillonnant (...) Toute la force de "Pauline s'arrache" tient dans un travail de tension autour de la présence même de la caméra, tension de ce que l'on a le droit, ou non, de filmer.
Libération
Frêle, l'ensemble tient grâce au bagout de son héroïne intrépide et paumée qui grandit face caméra. La réalisatrice, qui explique justement dans les notes de presse voir dans cette aisance à l'image un trait générationnel, le saisit à la perfection.
Première
Échappant au freak show à la "Strip-tease", ce documentaire parcouru de secousses rock’n’roll ne regarde pas ses protagonistes de haut, mais bien en face, dans un dialogue tourbillonnant, violent et drôle, expiatoire et fécond.
So Film
Cela aurait pu être un mauvais épisode de "Confessions intimes", mais Emilie Brisavoine la joue profil bas et en tire un film souvent très drôle mais jamais embarrassant. Bien joué.
Studio Ciné Live
On pense au travail de Jonathan Caouette ("Walk Away Renée") pour cette formidable capacité à faire fi de toute pudeur et se frotter à la violence de l'intime.
Sud Ouest
Un petit bijou intimiste aux perspectives immenses (...) L'intelligence du film d'Emilie Brisavoine, qui ne triche jamais tout en restant pudique, vient de sa façon de parcourir avec les siens une trajectoire singulière et universelle.
Transfuge
Emilie Brisavoine pose un regard original sur l'émancipation de sa demi-soeur.
Télérama
Ces âpres scènes de la vie quotidienne et parisienne (repas, engueulades sans fin) se mêlent, un peu comme dans le Tarnation de Jonathan Caouette, aux archives familiales en VHS, et finissent par composer l'émouvant roman d'apprentissage d'une jeune fille en quête d'émancipation.
aVoir-aLire.com
Conte familial destroy et borderline qui redonne du coeur à l’ouvrage.
Cahiers du Cinéma
L’exposition qui est faite ici d’une intimité familiale chaotique qui pourrait se prêter au sensationnalisme. Si heureusement il n’en est rien, c’est que ces images hétérogènes qui dessinent le parcours d’une adolescente vers son émancipation sont porteuses au montage d’une représentation assez aiguë des rapports humains.
Critikat.com
Lorsque Pauline s’arrache enfin, comme elle, le spectateur se rend compte qu’il a été témoin d’un cauchemar déguisé dans un emballage de conte de fée, d’un nœud traumatique qu’il sera difficile de refouler.
Elle
Ce qui est drôle dans ce film c'est qu'il montre, volontairement ou pas, comment une famille exceptionnelle a les mêmes problèmes que les familles les plus banales.