Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ce premier film français est si réussi qu'il mériterait bien une séance de rattrapage.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Sur un scénario qui se déploie habilement, ce beau film parle avec pertinence du mal être de l'adolescence et comble son versant romantique d'autant de ronces que de roses.
Libération
par Guillaume Tion
Cette chronique sur l'éveil à l'amour et à la sexualité est le premier film de Julia Kowalski. Avec ses scènes de sexe tout sauf glamour et ses soirées DJ au ralenti sur une BO très travaillée, il ne serait pas hyper original s'il ne contenait pas un joker : le sujet du film n'est pas Rose, mais justement son statut de métronome.
Première
par Eric Vernay
Au naturalisme brut de décoffrage attendu se substitue un geste fluide, élégant, tout en ellipses et en maîtrise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Le film fait reposer son audace sur l’expression du désir féminin, et se tient sur le fil de l’émotion via une mise en scène alanguie. Elle étire les scènes au long des échanges de regards, de désir, et de décisions dont les motivations sont heureusement tues.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Crache cœur trouve le ton juste pour évoquer les errements tourmentés de l’adolescence tout en retraçant le parcours initiatique de Rose, un personnage de jeune fille beau et rugueux.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
Julia Kowalski déploie une mise en scène d'une plasticité saillante, pas toujours très habile à moduler les intensités, mais d'une assurance notable et d'une solidité courageuse, dans le contexte actuel du filmage "à fleur de peau".
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une approche juste et crue de l'adolescence.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Chacun essaie de vivre avec ses contradictions (le désir ou le dégoût, le rejet puis l’attirance pour l’autre) sans trop prendre conscience de ses actes, les analyser. C’est ce qui fait le prix de Crache coeur (…) il est sans conviction définitive, sans morale, sans jugement, sans psychologie. Mouvant.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Sur un terrain rebattu (le quête du père...), la réalisatrice use d'une mise en scène sobre et touche souvent juste.
Télérama
par Jérémie Couston
Originalité de ce premier long métrage : s'affranchir ostensiblement des clichés du teen movie d'aujourd'hui -- zéro SMS, lumière crépusculaire, musique de giallo. Sa limite : s'obstiner à rendre tous ses protagonistes antipathiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Judith Godinot
Un premier film maladroit mais fougueux à l’image de son joli casting.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Quelques petites touches bienvenues singularisent un film aux enjeux et au climat monotones.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
VSD
par Bernard Achour
Une volonté de suspense psychologique dont le venin n'opère que trop rarement.
Positif
par Eithne O'Neill
À l'écran, quelles que soient les bonnes intentions, un tel sujet exige des talents sûrs d'écriture et de mise en scène. Ils sont de cette entreprise particulièrement absents, au point où le manque d'éclairage dominant est presque un bienfait.
L'Obs
Ce premier film français est si réussi qu'il mériterait bien une séance de rattrapage.
Le Parisien
Sur un scénario qui se déploie habilement, ce beau film parle avec pertinence du mal être de l'adolescence et comble son versant romantique d'autant de ronces que de roses.
Libération
Cette chronique sur l'éveil à l'amour et à la sexualité est le premier film de Julia Kowalski. Avec ses scènes de sexe tout sauf glamour et ses soirées DJ au ralenti sur une BO très travaillée, il ne serait pas hyper original s'il ne contenait pas un joker : le sujet du film n'est pas Rose, mais justement son statut de métronome.
Première
Au naturalisme brut de décoffrage attendu se substitue un geste fluide, élégant, tout en ellipses et en maîtrise.
Critikat.com
Le film fait reposer son audace sur l’expression du désir féminin, et se tient sur le fil de l’émotion via une mise en scène alanguie. Elle étire les scènes au long des échanges de regards, de désir, et de décisions dont les motivations sont heureusement tues.
Culturopoing.com
Crache cœur trouve le ton juste pour évoquer les errements tourmentés de l’adolescence tout en retraçant le parcours initiatique de Rose, un personnage de jeune fille beau et rugueux.
Le Monde
Julia Kowalski déploie une mise en scène d'une plasticité saillante, pas toujours très habile à moduler les intensités, mais d'une assurance notable et d'une solidité courageuse, dans le contexte actuel du filmage "à fleur de peau".
Les Fiches du Cinéma
Une approche juste et crue de l'adolescence.
Les Inrockuptibles
Chacun essaie de vivre avec ses contradictions (le désir ou le dégoût, le rejet puis l’attirance pour l’autre) sans trop prendre conscience de ses actes, les analyser. C’est ce qui fait le prix de Crache coeur (…) il est sans conviction définitive, sans morale, sans jugement, sans psychologie. Mouvant.
Studio Ciné Live
Sur un terrain rebattu (le quête du père...), la réalisatrice use d'une mise en scène sobre et touche souvent juste.
Télérama
Originalité de ce premier long métrage : s'affranchir ostensiblement des clichés du teen movie d'aujourd'hui -- zéro SMS, lumière crépusculaire, musique de giallo. Sa limite : s'obstiner à rendre tous ses protagonistes antipathiques.
aVoir-aLire.com
Un premier film maladroit mais fougueux à l’image de son joli casting.
L'Humanité
Quelques petites touches bienvenues singularisent un film aux enjeux et au climat monotones.
VSD
Une volonté de suspense psychologique dont le venin n'opère que trop rarement.
Positif
À l'écran, quelles que soient les bonnes intentions, un tel sujet exige des talents sûrs d'écriture et de mise en scène. Ils sont de cette entreprise particulièrement absents, au point où le manque d'éclairage dominant est presque un bienfait.