Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Gala
par Juliette Serfati
Les frères Nasser filment avec une énergie mêlée de douceur les visages de ces femmes - souvent dans la pénombre – les émotions qui les traversent, leurs silences aussi. Formidable.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Monde
par Noémie Luciani
Se livrant assez finement au jeu souvent artificiel de l’échantillonnage social, les frères Nasser composent un portrait de groupe fait de caractères beaux, forts et jamais simples, en tête desquels Hiam Abbas, glaçante d’amertume, incarne un personnage magnifique de divorcée rageusement coquette, dont les mines et les mots de veuve joyeuse sonnent de plus en plus faux.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Une comédie laïque et féministe, portée par des dialogues savoureux et l’énergie de feu de ses comédiennes, dont certaines sont des stars comme Hiam Abbas et d’autres totalement novices, repérées en castings sauvages.
Ouest France
par Agnès Le Morvan
Pour leur premier film, les frères palestiniens Tarzan et Arab Nasser abordent un sujet grave, avec humour et dérision.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Cocasse, tout en relevant de l’artillerie lourde.
Positif
par Nicolas Bauche
Si "Dégradé" ne convaincra pas tous les spectateurs, loin s'en faut, force est de reconnaître que quelque chose se passe pour le cinéma en Palestine.
Télérama
par Mathilde Blottière
Le fait de se concentrer sur les luttes fratricides et les dissensions sociales à Gaza (et non sur le rapport de force avec Israël) fait tout l'intérêt de ce premier film, aux personnages un peu trop stéréotypés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ce huis-clos féministe et politique ne manque pas de verve et de finesse malgré des ruptures de rythme, et révèle deux cinéastes palestiniens inspirés.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Film de bonnes intentions donc, mais qui s’écroule à force de trop signifier.
L'Obs
par Nicolas Schaller
On retrouve un peu de Bacri-Jaoui – pour le dispositif théâtral, l’unité de lieu et de temps – et un peu d’Almodóvar, mais le film se noie dans les personnages stéréotypés, un ton faiblard et une tension factice. Le huis clos façon Cocotte-Minute fait pschitt.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un “Caramel” revu à la sauce palestinienne, qui passe au crible, entre drame et ironie, les conditions de vie dans la bande de Gaza, à travers un panel de femmes survoltées, dont la liberté de ton tourne à l’hystérie répétitive.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Le premier film des frères Nasser est ambitieux, mais cruellement desservi par son manque de structure.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Bernard Achour
Si la force du sujet retient parfois l’attention, le dispositif vire, hélas, très vite à l’artifice – les personnages sont réduits à un panel représentatif, l’hystérie est attendue et la vision politique absente.
La critique complète est disponible sur le site Première
Gala
Les frères Nasser filment avec une énergie mêlée de douceur les visages de ces femmes - souvent dans la pénombre – les émotions qui les traversent, leurs silences aussi. Formidable.
Le Monde
Se livrant assez finement au jeu souvent artificiel de l’échantillonnage social, les frères Nasser composent un portrait de groupe fait de caractères beaux, forts et jamais simples, en tête desquels Hiam Abbas, glaçante d’amertume, incarne un personnage magnifique de divorcée rageusement coquette, dont les mines et les mots de veuve joyeuse sonnent de plus en plus faux.
Les Inrockuptibles
Une comédie laïque et féministe, portée par des dialogues savoureux et l’énergie de feu de ses comédiennes, dont certaines sont des stars comme Hiam Abbas et d’autres totalement novices, repérées en castings sauvages.
Ouest France
Pour leur premier film, les frères palestiniens Tarzan et Arab Nasser abordent un sujet grave, avec humour et dérision.
Le Journal du Dimanche
Cocasse, tout en relevant de l’artillerie lourde.
Positif
Si "Dégradé" ne convaincra pas tous les spectateurs, loin s'en faut, force est de reconnaître que quelque chose se passe pour le cinéma en Palestine.
Télérama
Le fait de se concentrer sur les luttes fratricides et les dissensions sociales à Gaza (et non sur le rapport de force avec Israël) fait tout l'intérêt de ce premier film, aux personnages un peu trop stéréotypés.
aVoir-aLire.com
Ce huis-clos féministe et politique ne manque pas de verve et de finesse malgré des ruptures de rythme, et révèle deux cinéastes palestiniens inspirés.
Cahiers du Cinéma
Film de bonnes intentions donc, mais qui s’écroule à force de trop signifier.
L'Obs
On retrouve un peu de Bacri-Jaoui – pour le dispositif théâtral, l’unité de lieu et de temps – et un peu d’Almodóvar, mais le film se noie dans les personnages stéréotypés, un ton faiblard et une tension factice. Le huis clos façon Cocotte-Minute fait pschitt.
Le Dauphiné Libéré
Un “Caramel” revu à la sauce palestinienne, qui passe au crible, entre drame et ironie, les conditions de vie dans la bande de Gaza, à travers un panel de femmes survoltées, dont la liberté de ton tourne à l’hystérie répétitive.
Les Fiches du Cinéma
Le premier film des frères Nasser est ambitieux, mais cruellement desservi par son manque de structure.
Première
Si la force du sujet retient parfois l’attention, le dispositif vire, hélas, très vite à l’artifice – les personnages sont réduits à un panel représentatif, l’hystérie est attendue et la vision politique absente.