Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Le son très travaillé parachève ce superbe ensemble de sensations et de réflexions qui entraînent à la compréhension humaine et nous relient.
L'Obs
par La Rédaction
Sinistre à raconter, l’histoire devient à l’écran magnifique, c’est le miracle du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Guillaume Tion
"La Terre et l’ombre", émouvant long métrage à la grammaire sèche, multiplébiscité par la critique au dernier Festival de Cannes, d’où Acevedo est reparti avec la caméra d’or, est un film à mères sur l’enracinement et la lutte, sur la terre du sud de la Colombie où un certain Alfonso revient après des années d’absence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
La dernière demi-heure est peut-être ce que vous verrez de plus impressionnant cette année.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
20 Minutes
par Caroline Vié
Résultat : un film âpre à la beauté stupéfiante…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Transfigurant son histoire personnelle, César Acevedo fait de son film une caisse de résonance des luttes colombiennes et donne voix aux plus humbles, tout en évitant les écueils du film social.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Avec ce premier film, César Acevedo déploie un incontestable talent de narration, sublimé par un art accompli de l'image.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La Terre et l’ombre vibre de scènes marquantes auxquelles la mise en scène confère la puissance hiératique de la tragédie antique.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce que réussit brillamment César Acevedo dans ce film est de transfuser ces problématiques psychologiques et sociales en tableaux visuels inspirés, expressifs, prégnants.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Un drame familial et social prenant, subtil, magistralement construit, filmé et interprété par des comédiens essentiellement non-professionnels. Le coup de maître d'un cinéaste à suivre.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un film mêlant l'intime et le social, dont la mise en scène splendide donne à cette histoire de famille une dimension mythologique.
TF1 News
par Romain Le Vern
Sous influence de Andrei Tarkovski et Carlos Reygadas, une oeuvre austère, souvent magnifique, à la conclusion éblouissante.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Time Out Paris
par Alexandre Prouvèze
Un premier film colombien, languide et sensuel, d’une bouleversante sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
Transfuge
par Charlotte Garson
Acevedo trouve un juste équilibre entre l'enfermement social, géographique et affectif qu'il décrit (...) et un découpage elliptique qui assure des trouées.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Cette oeuvre austère est un magnifique requiem pour toutes ces vies sacrifiées dans le labeur forcené et condamnées à errer dans les limbes d’un espace temps volontairement retranscrit comme interminable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
À défaut d’élan tragique, cela dépasse le simple constat et ouvre in extremis, en plein ciel, à l’opacité du titre.
Critikat.com
par Julien Marsa
La sécheresse et l’austérité de ce récit, qui ne fait en définitive que dérouler de multiples agonies, marque par son refus des concessions, étirant une intrigue somme toute assez minimaliste sur près d’1h40 de film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Agencées de façon parfois trop hiératique sous forme de tableaux léchés, ses images n'en restent pas moins prégnantes.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
"La Terre et l’Ombre", essentiellement interprété par des non-professionnels, est un film très soigné, cadré, qui ne laisse rien au hasard.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un drame traité avec pudeur.
Positif
par Yann Tobin
La symbolique un peu primaire (...) et le rythme hiératique sont contrebalancés par la puissance du jeu d'acteurs (...), dont les nuances alternent entre la résignation et les velléités de révolte.
Télérama
par Frédéric Strauss
C'est peu dire que chaque plan frappe le regard, tant les efforts du cinéaste portent sur la forme, aussi élaborée que le quotidien des personnages est simple. Le contraste devient parfois déséquilibre, et les effets de mise en scène figent alors le propos.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Un film sur le rapport à la terre dont l'aridité peut toutefois décourager.
Première
par Damien Leblanc
Le formalisme du cinéaste, qui multiplie de pesants plans-séquences, étouffe vite les protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Le son très travaillé parachève ce superbe ensemble de sensations et de réflexions qui entraînent à la compréhension humaine et nous relient.
L'Obs
Sinistre à raconter, l’histoire devient à l’écran magnifique, c’est le miracle du cinéma.
Libération
"La Terre et l’ombre", émouvant long métrage à la grammaire sèche, multiplébiscité par la critique au dernier Festival de Cannes, d’où Acevedo est reparti avec la caméra d’or, est un film à mères sur l’enracinement et la lutte, sur la terre du sud de la Colombie où un certain Alfonso revient après des années d’absence.
Paris Match
La dernière demi-heure est peut-être ce que vous verrez de plus impressionnant cette année.
20 Minutes
Résultat : un film âpre à la beauté stupéfiante…
Culturopoing.com
Transfigurant son histoire personnelle, César Acevedo fait de son film une caisse de résonance des luttes colombiennes et donne voix aux plus humbles, tout en évitant les écueils du film social.
La Croix
Avec ce premier film, César Acevedo déploie un incontestable talent de narration, sublimé par un art accompli de l'image.
La Voix du Nord
La Terre et l’ombre vibre de scènes marquantes auxquelles la mise en scène confère la puissance hiératique de la tragédie antique.
Le Monde
Ce que réussit brillamment César Acevedo dans ce film est de transfuser ces problématiques psychologiques et sociales en tableaux visuels inspirés, expressifs, prégnants.
Les Fiches du Cinéma
Un drame familial et social prenant, subtil, magistralement construit, filmé et interprété par des comédiens essentiellement non-professionnels. Le coup de maître d'un cinéaste à suivre.
Sud Ouest
Un film mêlant l'intime et le social, dont la mise en scène splendide donne à cette histoire de famille une dimension mythologique.
TF1 News
Sous influence de Andrei Tarkovski et Carlos Reygadas, une oeuvre austère, souvent magnifique, à la conclusion éblouissante.
Time Out Paris
Un premier film colombien, languide et sensuel, d’une bouleversante sobriété.
Transfuge
Acevedo trouve un juste équilibre entre l'enfermement social, géographique et affectif qu'il décrit (...) et un découpage elliptique qui assure des trouées.
aVoir-aLire.com
Cette oeuvre austère est un magnifique requiem pour toutes ces vies sacrifiées dans le labeur forcené et condamnées à errer dans les limbes d’un espace temps volontairement retranscrit comme interminable.
Cahiers du Cinéma
À défaut d’élan tragique, cela dépasse le simple constat et ouvre in extremis, en plein ciel, à l’opacité du titre.
Critikat.com
La sécheresse et l’austérité de ce récit, qui ne fait en définitive que dérouler de multiples agonies, marque par son refus des concessions, étirant une intrigue somme toute assez minimaliste sur près d’1h40 de film.
Le Journal du Dimanche
Agencées de façon parfois trop hiératique sous forme de tableaux léchés, ses images n'en restent pas moins prégnantes.
Les Inrockuptibles
"La Terre et l’Ombre", essentiellement interprété par des non-professionnels, est un film très soigné, cadré, qui ne laisse rien au hasard.
Ouest France
Un drame traité avec pudeur.
Positif
La symbolique un peu primaire (...) et le rythme hiératique sont contrebalancés par la puissance du jeu d'acteurs (...), dont les nuances alternent entre la résignation et les velléités de révolte.
Télérama
C'est peu dire que chaque plan frappe le regard, tant les efforts du cinéaste portent sur la forme, aussi élaborée que le quotidien des personnages est simple. Le contraste devient parfois déséquilibre, et les effets de mise en scène figent alors le propos.
Studio Ciné Live
Un film sur le rapport à la terre dont l'aridité peut toutefois décourager.
Première
Le formalisme du cinéaste, qui multiplie de pesants plans-séquences, étouffe vite les protagonistes.