Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Positif
par Ariane Allard
(...) cette version 2015 des "Quatre Cents Coups" de Truffaut fonctionne joliment . Sans doute parce que son récit espiègle épouse la jeunesse radieuse de ses personnages. (...) voilà qui change des discours défaitistes actuels !
Elle
par La Rédaction
Cascades de bons sentiments ? Un peu, même si tous les acteurs sonnent juste.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Sans pathos mais avec justesse et humour, ce premier film du chef opérateur Mathieu Vadepied raconte les 400 coups d'Adama et de son comparse Mamadou, devenus dealers presque par hasard.
L'Obs
par La Rédaction
Encore une fable bien-pensante avec ses méchants caïds et ces gentils enseignants. (...) Seulement voilà : les deux petits antihéros, âgés de 14 et 11 ans, sont si justes, naturels, bravaches et touchants qu'on est vite conquis. D'autant que le cinéaste les filme très bien, ni de haut ni d'en bas, et caméra à l'épaule (la leur).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film d’une justesse étonnante, qui mêle avec bonheur un regard plein d’humour et d’humanité sur une réalité plutôt sombre.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"La Vie en grand" n'affiche pas d'autre prétention que de raconter une histoire en s'accommodant sans mièvrerie d'un happy end. Un conte moderne auquel on ne demande qu'à croire.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Un "feel-good movie" au sens le meilleur du terme.
Metro
par Mehdi Omaïs
Echec scolaire, violence, manque affectif, incapacité de se projeter vers un ailleurs engageant… Toutes ces thématiques sont constamment contrebalancées, voire allégées, par un regard doux, tendre et drolatique. Et par la célébration des notions de générosité, de partage et de solidarité.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TF1 News
par Yves Grosjean
Une jolie comédie sur les banlieues qui casse les clichés. Exactement ce que l'on a envie de voir en ce moment au cinéma !
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
Le diable est donc dans les détails et, sous ses airs "irréprochables" (...), "La Vie en grand" place en son cœur le parfum sulfureux de la liberté et de l’allégresse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Thierry Chèze
Son regard sur la banlieue et ses habitants échappe à toute facilité condescendante. Mais son parti pris d'un cinéma qui cherche à apaiser constitue la limite de ce film. Car ce geste louable tend à gommer des aspérités qui auraient donné plus de puissance à son récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
(...) "La Vie en grand" est une comédie, une fable aux accents pédagogiques, où les gentils sont très gentils, et les méchants très méchants. Certes, les bons sentiments y abondent, mais ce long métrage charmant, plein d’humour et joliment mis en scène ne sombre jamais dans la leçon de morale.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Un premier film qui s'emploie avec énergie à faire coexister drame social et comédie morale.
Première
par Christophe Narbonne
Nulle trace de cynisme dans ce film à thèse, qui fait l'éloge de la République. Manichéen, certes, angélique, sûrement, mais aussi porteur d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un conte social et républicain parfois naïf, mais toujours dans la pertinence, habité par deux jeunes comédiens, rayonnants de naturel, qui nous donnent envie d’y croire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Didier Péron
Feel good movie qui ne casse pas trois pattes à un canard, "la Vie en grand" ne s'embarrasse pas trop de vraisemblance.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Pour sa première réalisation, le chef op de "Sur mes lèvres" suit le parcours d’un ado de cité, qui (…) s’improvise dealer. (…) son parti pris d’un cinéma qui cherche à apaiser, (…) constitue la limite de ce film. Car ce geste louable tend à gommer les aspérités qui auraient donné plus de puissance à son récit.
Télérama
par Bruno Lcher
L'addition est un peu lourde, comme souvent dans les feel good movies, pour le deuxième long métrage de Mathieu Vadepied qui carbure à un optimisme forcé, prenant constamment le risque de déraper dans une leçon de vie illusoire, aux antipodes d'un naturalisme dont il se réclame pourtant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Un film aux allures de gentil organisateur, qui peine à trouver un rythme et de vraies situations de comédie. Et n’a plus qu’à faire valoir son pitch gentiment amoral et ses intentions gentiment démagos.
Positif
(...) cette version 2015 des "Quatre Cents Coups" de Truffaut fonctionne joliment . Sans doute parce que son récit espiègle épouse la jeunesse radieuse de ses personnages. (...) voilà qui change des discours défaitistes actuels !
Elle
Cascades de bons sentiments ? Un peu, même si tous les acteurs sonnent juste.
Femme Actuelle
Sans pathos mais avec justesse et humour, ce premier film du chef opérateur Mathieu Vadepied raconte les 400 coups d'Adama et de son comparse Mamadou, devenus dealers presque par hasard.
L'Obs
Encore une fable bien-pensante avec ses méchants caïds et ces gentils enseignants. (...) Seulement voilà : les deux petits antihéros, âgés de 14 et 11 ans, sont si justes, naturels, bravaches et touchants qu'on est vite conquis. D'autant que le cinéaste les filme très bien, ni de haut ni d'en bas, et caméra à l'épaule (la leur).
Le Dauphiné Libéré
Un film d’une justesse étonnante, qui mêle avec bonheur un regard plein d’humour et d’humanité sur une réalité plutôt sombre.
Le Parisien
"La Vie en grand" n'affiche pas d'autre prétention que de raconter une histoire en s'accommodant sans mièvrerie d'un happy end. Un conte moderne auquel on ne demande qu'à croire.
Les Inrockuptibles
Un "feel-good movie" au sens le meilleur du terme.
Metro
Echec scolaire, violence, manque affectif, incapacité de se projeter vers un ailleurs engageant… Toutes ces thématiques sont constamment contrebalancées, voire allégées, par un regard doux, tendre et drolatique. Et par la célébration des notions de générosité, de partage et de solidarité.
TF1 News
Une jolie comédie sur les banlieues qui casse les clichés. Exactement ce que l'on a envie de voir en ce moment au cinéma !
Critikat.com
Le diable est donc dans les détails et, sous ses airs "irréprochables" (...), "La Vie en grand" place en son cœur le parfum sulfureux de la liberté et de l’allégresse.
L'Express
Son regard sur la banlieue et ses habitants échappe à toute facilité condescendante. Mais son parti pris d'un cinéma qui cherche à apaiser constitue la limite de ce film. Car ce geste louable tend à gommer des aspérités qui auraient donné plus de puissance à son récit.
Le Journal du Dimanche
(...) "La Vie en grand" est une comédie, une fable aux accents pédagogiques, où les gentils sont très gentils, et les méchants très méchants. Certes, les bons sentiments y abondent, mais ce long métrage charmant, plein d’humour et joliment mis en scène ne sombre jamais dans la leçon de morale.
Les Fiches du Cinéma
Un premier film qui s'emploie avec énergie à faire coexister drame social et comédie morale.
Première
Nulle trace de cynisme dans ce film à thèse, qui fait l'éloge de la République. Manichéen, certes, angélique, sûrement, mais aussi porteur d'espoir.
aVoir-aLire.com
Un conte social et républicain parfois naïf, mais toujours dans la pertinence, habité par deux jeunes comédiens, rayonnants de naturel, qui nous donnent envie d’y croire.
Libération
Feel good movie qui ne casse pas trois pattes à un canard, "la Vie en grand" ne s'embarrasse pas trop de vraisemblance.
Studio Ciné Live
Pour sa première réalisation, le chef op de "Sur mes lèvres" suit le parcours d’un ado de cité, qui (…) s’improvise dealer. (…) son parti pris d’un cinéma qui cherche à apaiser, (…) constitue la limite de ce film. Car ce geste louable tend à gommer les aspérités qui auraient donné plus de puissance à son récit.
Télérama
L'addition est un peu lourde, comme souvent dans les feel good movies, pour le deuxième long métrage de Mathieu Vadepied qui carbure à un optimisme forcé, prenant constamment le risque de déraper dans une leçon de vie illusoire, aux antipodes d'un naturalisme dont il se réclame pourtant.
Cahiers du Cinéma
Un film aux allures de gentil organisateur, qui peine à trouver un rythme et de vraies situations de comédie. Et n’a plus qu’à faire valoir son pitch gentiment amoral et ses intentions gentiment démagos.