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Encore un film sur l'adolescence ? Plutôt un film depuis l'adolescence, une lente, douce mais inoubliable plongée au creux même de ses sensations et émois qu'il nous fait vivre ou revivre avec une caméra savante, subjective, éminemment subtile.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Grâce à sa mise en scène sensible, sa belle photographie et sa spontanéité de ton (beaucoup de scènes ont été improvisées), ce premier film prometteur respire et palpite.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Andrew Cividino montre avec justesse le propre de l’adolescence qui est de vouloir accélérer la vitesse de croisière pour engranger des expériences ou faits d’armes et couvrir son corps de blessures de guerre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Si le thème n'est pas nouveau et son dénouement prévisible, ce film canadien a le mérite de pousser ses personnages jusqu'au point de rupture. Car lorsque ce «géant endormi» qui est en nous tous, s'éveille, soit il nous porte, soit il nous écrase...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Cet exercice du Coming of age a beau être une ritournelle des plus usitée au cinéma, Civido s’en repaît avec une aisance manifeste, le tout en abordant adroitement les oscillations de l’identité sexuelle et en dessinant une belle réflexion sur la résilience.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
“Sleeping Giant” s'attarde sur les affres de l'adolescence le temps d'un été, mais sans arriver à se départir de ses influences et à rendre justice à son trio de jeunes acteurs prometteurs.
C’est vif, plutôt drôle, d’une séduisante légèreté. Au risque d’être trop superficiel ? C’est ce que semble se dire le réalisateur, qui ne tarde pas à charger la barque narrative d’un basculement forcément dramatique (...). Dommage. Reste un trio d’acteurs particulièrement attachants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Presque tout, ici, est autobiographique. Et c'est un peu la limite de ce (premier) long métrage : une autofiction sincère, gentille, mais pas assez cruelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Sa réalisation est tout aussi convenue que le scénario malgré quelques bonnes idées, notamment une scène vertigineuse sur une falaise et des paysages magnifiques.
20 Minutes
Le sujet a beau être rabâché, il révèle une belle sensibilité dans sa description d’un trio de garçons à une période charnière de leur vie.
Culturopoing.com
Encore un film sur l'adolescence ? Plutôt un film depuis l'adolescence, une lente, douce mais inoubliable plongée au creux même de ses sensations et émois qu'il nous fait vivre ou revivre avec une caméra savante, subjective, éminemment subtile.
L'Express
C'est à la fois percutant et discret.
L'Obs
Cividino filme l’inquiétude et la cruauté de cet âge où l’on fait du mal par besoin d’amour avec franchise et sensualité. Un réalisateur à suivre.
La Croix
Grâce à sa mise en scène sensible, sa belle photographie et sa spontanéité de ton (beaucoup de scènes ont été improvisées), ce premier film prometteur respire et palpite.
Libération
Andrew Cividino montre avec justesse le propre de l’adolescence qui est de vouloir accélérer la vitesse de croisière pour engranger des expériences ou faits d’armes et couvrir son corps de blessures de guerre.
Paris Match
Si le thème n'est pas nouveau et son dénouement prévisible, ce film canadien a le mérite de pousser ses personnages jusqu'au point de rupture. Car lorsque ce «géant endormi» qui est en nous tous, s'éveille, soit il nous porte, soit il nous écrase...
Studio Ciné Live
Cet excellent teen-movie canadien tire sa force du cadre dans lequel il s'inscrit : une station balnéaire a priori banale, au bord du lac Supérieur.
aVoir-aLire.com
Cet exercice du Coming of age a beau être une ritournelle des plus usitée au cinéma, Civido s’en repaît avec une aisance manifeste, le tout en abordant adroitement les oscillations de l’identité sexuelle et en dessinant une belle réflexion sur la résilience.
Les Fiches du Cinéma
“Sleeping Giant” s'attarde sur les affres de l'adolescence le temps d'un été, mais sans arriver à se départir de ses influences et à rendre justice à son trio de jeunes acteurs prometteurs.
Les Inrockuptibles
Rien n’est vraiment neuf mais ce n’est pas grave : on traverse bel et bien ce Sleeping Giant dans un remarquable état d’alerte.
Première
C’est vif, plutôt drôle, d’une séduisante légèreté. Au risque d’être trop superficiel ? C’est ce que semble se dire le réalisateur, qui ne tarde pas à charger la barque narrative d’un basculement forcément dramatique (...). Dommage. Reste un trio d’acteurs particulièrement attachants.
Télérama
Presque tout, ici, est autobiographique. Et c'est un peu la limite de ce (premier) long métrage : une autofiction sincère, gentille, mais pas assez cruelle.
VSD
Un beau récit d'amitié adolescente où passe comme un souffle de "Stand by me".
Critikat.com
En dépit du malaise qu’il s’efforce de distiller, le mystère de l’adolescence se dérobe avec constance à Cividino.
Le Journal du Dimanche
Sa réalisation est tout aussi convenue que le scénario malgré quelques bonnes idées, notamment une scène vertigineuse sur une falaise et des paysages magnifiques.
Le Monde
À vouloir trop en dire, l'ensemble s'éparpille. Un court-métrage étiré en long.
Le Parisien
Joliment filmée avec de jeunes acteurs talentueux, cette chronique (...) souffre de temps morts qui la rendent un peu languissante.
Ouest France
Un scénario attendu.
TF1 News
Radiographiant les maladresses des première fois, ce teen movie canadien ne s'aventure jamais hors des sentiers battus.