Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
"Paulina" est un magnifique portrait de femme qui entend vivre selon ses idéaux, malgré l’inacceptable. Il révèle une grande et belle actrice : Dolores Fonzi.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Efficace, le long-métrage où affleure une violence psychologique angoissante - on ne peut s'empêcher de s'identifier à Paulina - prend aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Ravageur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Ariane Allard
Galvanisé par l'interprétation brillante de Dolorès Fonzi, il parvient ainsi à dresser un beau portrait de femme en milieu hostile.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Il en résulte un film mal aimable à l'image de Paulina, pasionaria à l'idéalisme ambivalent.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
On se laisse volontiers entraîner dans ce film féministe et ambitieux à l’aspect documentaire qui parle de violence et de pauvreté mais aussi de liberté et d’espoir de jours plus justes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Femme Actuelle
par La rédaction
Un joli portrait d'une résistante, poignant et sans concession.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Intelligemment réalisé, ce film entre critique sociale et parcours initiatique en forme de chemin de croix, se révèle aussi déroutant que captivant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
TF1 News
par Romain Le Vern
"Paulina" carbure à l'ambiguïté, dessinant une réflexion complexe sur la nécessité des idéaux et cherchant de manière assez ostentatoire, dans sa constructive narrative et dans ses mouvements de caméra, à déstabiliser le spectateur voire à ébranler ses certitudes. Mais si cette ambition de cinéma est noble, elle est paradoxalement contre-productive, trop têtue pour ne pas laisser voir un cinéaste sûr de ses effets.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On pense parfois au personnage qu’interprétait Ingrid Bergman dans Europe 51 de Rossellini, pris entre la rédemption religieuse et une morale bourgeoise qui ne tolère pas l’excès (la sainteté comme folie). Mais la sophistication de la narration de Paulina finit par perdre le spectateur et étouffer toute émotion. Le jeu des acteurs, souvent exagéré, nous coupe petit à petit des personnages et nous laisse dans un état de suspension fort décevant.
Télérama
par Pierre Murat
C'est que Santiago Mitre n'est pas (encore) Claude Chabrol, éclaireur des obscurités de l'âme. Son héroïne est plus abstraite que vraie, plus bornée qu'ambiguë.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
"Paulina" est un magnifique portrait de femme qui entend vivre selon ses idéaux, malgré l’inacceptable. Il révèle une grande et belle actrice : Dolores Fonzi.
Le Figaroscope
Efficace, le long-métrage où affleure une violence psychologique angoissante - on ne peut s'empêcher de s'identifier à Paulina - prend aux tripes.
Le Parisien
Ravageur.
Positif
Galvanisé par l'interprétation brillante de Dolorès Fonzi, il parvient ainsi à dresser un beau portrait de femme en milieu hostile.
Studio Ciné Live
Il en résulte un film mal aimable à l'image de Paulina, pasionaria à l'idéalisme ambivalent.
aVoir-aLire.com
On se laisse volontiers entraîner dans ce film féministe et ambitieux à l’aspect documentaire qui parle de violence et de pauvreté mais aussi de liberté et d’espoir de jours plus justes.
Femme Actuelle
Un joli portrait d'une résistante, poignant et sans concession.
Le Journal du Dimanche
Intelligemment réalisé, ce film entre critique sociale et parcours initiatique en forme de chemin de croix, se révèle aussi déroutant que captivant.
TF1 News
"Paulina" carbure à l'ambiguïté, dessinant une réflexion complexe sur la nécessité des idéaux et cherchant de manière assez ostentatoire, dans sa constructive narrative et dans ses mouvements de caméra, à déstabiliser le spectateur voire à ébranler ses certitudes. Mais si cette ambition de cinéma est noble, elle est paradoxalement contre-productive, trop têtue pour ne pas laisser voir un cinéaste sûr de ses effets.
Les Inrockuptibles
On pense parfois au personnage qu’interprétait Ingrid Bergman dans Europe 51 de Rossellini, pris entre la rédemption religieuse et une morale bourgeoise qui ne tolère pas l’excès (la sainteté comme folie). Mais la sophistication de la narration de Paulina finit par perdre le spectateur et étouffer toute émotion. Le jeu des acteurs, souvent exagéré, nous coupe petit à petit des personnages et nous laisse dans un état de suspension fort décevant.
Télérama
C'est que Santiago Mitre n'est pas (encore) Claude Chabrol, éclaireur des obscurités de l'âme. Son héroïne est plus abstraite que vraie, plus bornée qu'ambiguë.