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    The Bookshop
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    64 critiques spectateurs

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    jeandaniellarge
    jeandaniellarge

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 août 2018
    Une découverte de l'Angleterre du début des années 1960.
    un magnifique jeu des acteurs et à voir absolument en VO pour l'ambiance.
    RAYENE M.
    RAYENE M.

    21 abonnés 313 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2019
    Depuis SUR LA ROUTE DE MADISON c'est le premier film que j'ai adoré et qui m'a autant bouleversé.
    La lecture est ma passion de toujours.
    Le film dégage une telle sensibilité que c'est.. Hallucinant.
    Jacques F
    Jacques F

    9 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2019
    belle promenade romantique dans la campagne anglaise . Le livre a la vedette ici alors qu'il est malmené par le numérique . L'odeur le touché sont subtilement décris . Bravo . les critiques sont très surprenantes soit dit en passant
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2019
    Dans l'Angleterre rurale, à la fin des années cinquante, Florence Green, une jeune veuve (Emily Mortimer) décide de restaurer un vieil immeuble communal pour y installer une librairie. Son projet rencontrera l'hostilité de Violet Gamart, la châtelaine du village (Patricia Clarkson). Mais Florence Green obtient le soutien inattendu de Edmund Brundish (Bill Nighy), un vieillard solitaire qui vit reclus dans ses livres depuis la mort de sa femme.
    Le conflit atteint un point de non retour lorsque Florence défie la censure en mettant en vente "Lolita", le sulfureux roman de Nabokov.

    Isabel Coixet est une réalisatrice catalane dont les premiers films m'avaient durablement marqué. "Ma vie sans moi" (2003), où Sarah Polley interprète le rôle d'une jeune mère qui choisit de ne pas dire à sa famille qu’elle souffre d’un cancer incurable, m'avait arraché des sanglots. "The Secret Life of Words" (2005), qui met face à face sur une plate-forme pétrolière une infirmière malentendante et un homme rendu aveugle par un grave accident, était poignant. Hélas, depuis lors, ses plus récentes réalisations m'ont moins convaincu.

    Ce n'est hélas pas "The Bookshop" qui me réconciliera avec son œuvre. En adaptant le roman de Penelope Fitzgerald, Isabel Coixet n'a pas eu la main légère. On se croirait dans une série de la BBC, avec sa reconstitution minutieuse de la campagne anglaise d'après-guerre. Chacun des trois personnages principaux semble s'y livrer un concours d'élégance classique. Chacun est enfermé dans son rôle : Emily Mortimer en jolie libraire, Patricia Clarkson en venimeuse patricienne, Bill Nighy en veuf reclus au cœur tendre.

    "The Bookshop" se laisse gentiment regarder... et tout aussi vite oublier.
    joelle g
    joelle g

    88 abonnés 869 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 février 2020
    Un peu ennuyeux...longuet.....ce qui permet entre autre d’admirer de très beaux paysages.
    Une histoire très originale.....sur la méchanceté humaine et la férocité de certaines âmes bien pensante....
    Toutefois on ne comprend pas que la jeune libraire ne se révolte pas plus....
    Audrey L
    Audrey L

    634 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 avril 2020
    Très plat et ennuyeux, on compte en moyenne 10 secondes entre chaque phrase des dialogues, dans le calme et flegmatisme les plus complets, sur filtre grisâtre et une lumière maladive, avec une narration épuisante au début du film, sans rythme et avec des sophismes prêt-à-penser telles "les libraires travaillent seulement avec des livres qu'ils aiment"... Sans parler des séquences niaises : le personnage principal est très naïf et les amourettes sont pleines de bons sentiments. The Bookshop compte seulement sur Bill Nighy pour sauver son intérêt, et s'il sauve quelques pages de ce scénario bancal (on n'est pas sûrs de vouloir lire le livre dont il tiré, par conséquent), l'ensemble est décevant entre son ambiance d'enterrement (bande-musicale au violon dépressif, couleur terne...) et son final étrangement pessimiste (la bibliothécaire spoiler: qui échoue à monter sa librairie et doit repartir dans les larmes
    . On ne demandait pas les cotillons à la fin, mais tout de même...). On s'ennuie, on est déçus par la fin, on aurait mieux fait d'ouvrir un bon livre.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    273 abonnés 2 878 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 avril 2020
    Pour un bibliophile de ma trempe (je devrais peut-être dire accro d'ailleurs... et puis non), j'aurais espéré un hommage à la littérature et au pouvoir des mots qui soit moins plat que cette adaptation d'un ancien succès de librairie. Ne jetons pas la pierre aux comédiens même s'ils ne sont pas irréprochables, mais bien plutôt au scénario linéaire et sans éclat, ainsi qu'à la mise en scène singulièrement froide. En sus, le recours à la voix off, très présente dès les premières minutes, a tendance à agacer. Un sujet pourtant sympathique mais qui met bien trop longtemps à vraiment démarrer.
    velocio
    velocio

    1 302 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 décembre 2018
    Réalisatrice très internationale, l'espagnole Isabel Coixet a choisi d'adapter à l'écran un roman de la britannique Penelope Fitzgerald publié en 1978. L'histoire de Florence Green, une veuve de guerre qui se bat pour ouvrir et faire vivre une librairie dans un village côtier du nord de l'Angleterre. La réalisation de cette espagnole est, d'un côté, tellement anglaise et, de l'autre, tellement académique que c'en est presque caricatural ! Restent quelques bons côtés, quand même : la beauté de la campagne ... irlandaise (car les extérieurs ont été tournés en Irlande du Nord et non en Angleterre) et la distribution, avec, en particulier, l'excellente prestation de Bill Nighy en vieux misanthrope qui passe son temps à lire et qui va être le seul à prendre la défense de Florence.
    nemo69690
    nemo69690

    3 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2019
    Film, qui a reçu quelques récompenses internationales, mais malheureusement pas la reconnaissance des spectateurs français et a fortiori des critiques institutionnels.
    Il serait dommage de passer à côté de cet excellent film.
    traversay1
    traversay1

    3 570 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 décembre 2018
    Isabel Coixet avait un peu disparu des radars depuis près de 10 ans et sa Carte des sons de Tokyo dans lequel Sergi Lopez livrait une performance mémorable. Depuis, elle a tourné en anglais mais rien qui puisse rappeler son excellent début de carrière espagnol avec notamment le magnifique Ma vie sans moi. Sans vouloir manquer de respect à la réalisatrice catalane, on peut se demander si elle était vraiment la plus indiquée pour se fondre dans l'atmosphère très anglaise de The Bookshop. Les signes extérieurs sont là, pourtant, un petit village anglais maritime typique avec sa galerie de notables sournois bien décidés à contrecarrer les plans de la libraire qui vient de s'installer et qui ne rechigne pas à vendre la scabreuse Lolita de Nabokov. L'amour de la littérature comme rempart à la méchanceté des hommes et à l'obscurantisme, on adhère pleinement mais le film, outre qu'il ne réussit à jamais à faire vraiment passer cette idée, est mis en scène dans un style désuet qui désamorce toute velléité d'engouement pour son histoire. S'y ajoute une voix off pesante, une caractérisation des personnages manichéenne au possible et une exposition du récit lente et souvent insipide. Dans ce tableau compassé, Emily Mortimer fait ce qu'elle peut pour nous émouvoir mais son personnage manque de relief. Tout n'est pas à jeter heureusement, à commencer par l'interprétation de Bill Nighy, royal en misanthrope qui préfère la compagnie des livres à la société des hommes (on le comprend). Son apport et celui d'un personnage de fillette pleine de vivacité, permettent à The Bookshop de ne pas être simplement un spectacle languissant et monocorde. Et puisqu'il est question de livres, le film vaut quand même toujours mieux que le récent et soporifique Le cercle littéraire de Guernesey.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    56 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 février 2020
    Un film très sobre et très simple avec l'émouvante emily mortimer qu'on a le plaisir de retrouver, un brin long.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 359 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2018
    Goya du Meilleur Film, Réalisateur et Adaptation, « The Bookshop » raconte le combat d’une femme à ouvrir et faire perdurer sa librairie dans une bourgade du nord de l’Angleterre, en 1959. Passionnée par la lecture, elle n’hésitera pas à proposer le roman de science-fiction dystopique « Fahrenheit 451 » de Ray Bradbury à son premier et plus fidèle client. Elle réfléchira longtemps si le scandaleux « Lolita » de Vladimir Nabokov a sa place dans sa librairie. Emily Mortimer est touchante et sincère mais la mise en scène est classique à souhait et n’étonne jamais. L’histoire reste agréable est les décors de l’Est-Anglie sont exquis.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    65 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2020
    Chronique désuète et inoffensive, non dénuée de charme mais agaçante dans le traitement des enjeux dramatiques. Sympa mais anecdotique!
    Caine78
    Caine78

    6 695 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2021
    Ceux qui me suivent le savent peut-être : j'ai pour habitude de terminer l'année civile par un mauvais, voire un très mauvais film si l'opportunité m'est offerte : seulement, cette année, j'ai manqué le coche. Oui, sacrilège : j'avoue avoir apprécié ce « Bookshop » de facture certes très classique, Isabel Coixet s'efforçant avant tout d'offrir une mise en images propre, appliquée, sans faute de goûts. Mais après tout, pourquoi pas : au vu du sujet, pas sûr que des grands mouvements de caméra et des audaces toutes les deux minutes auraient été forcément adaptés.

    Oui, c'est sage, sans doute trop, mais c'est aussi un moyen de nous raconter une histoire avec calme, douceur, élégance, faisant la part belle aux dialogues et aux personnages où, certes, cette antagoniste est « too much », mais comment ne pas être sensible aux délicieux échanges entre la non moins délicieuse Emily Mortimer et l'irrésistible Bill Nighy, auxquels viennent s'ajouter de savoureux seconds rôles : de l'espiègle Christine au cynique Milo, tous composent un tableau intéressant, lucide et finalement assez pessimiste de la nature humaine.

    Enfin, alors que l'on pensait deviner dès les premiers instants le déroulement de l'intrigue et surtout sa conclusion, finalement... pas du tout, ce qui est évidemment à saluer. Avec, comme son titre l'indique, un très bel hommage aux librairies et à toutes les formes de livres, bien avant la crise sanitaire et renforçant cette idée d'objet de « première nécessité »... En tout cas, à défaut d'avoir fait comme d'habitude, j'ai terminé l'année avec un joli film, ni le plus grand ni le plus riche, mais ayant l'immense mérite de nous raconter une belle histoire aux protagonistes profondément attachants : au fond, sans doute était-ce le titre idéal pour tourner la page de cette effrayante année 2020. Touchant.
    Hotinhere
    Hotinhere

    549 abonnés 4 957 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 mars 2022
    Isabel Coixet dresse un portrait cruel mais assez académique et manquant d’intérêt et d’émotions de l'aristocratie britannique des années 50, à travers les déboires d’une courageuse libraire. 1,75
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