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    Le Fils de Saul
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    285 critiques spectateurs

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    F X.
    F X.

    1 abonné 110 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 décembre 2020
    Bof certes c'est censé être immersif mais la VF ne traduit qu'une langue, le hongrois du personnage principale, pour la version que j'ai vu. Si tu ne parle pas allemand, tu ne comprends pas tout et c'est décourageant, surtout en ce qui concerne la révolte.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 février 2018
    Le Fils de Saul aborde un sujet sensible, si méconnu de la Shoah : les Sonderkommandos, escadrons de prisonniers majoritairement juifs chargés de seconder les SS dans le processus d'extermination des déportés et liquidés quelques mois plus tard pour ne laisser aucune trace.

    Le film aborde la Shoah d'une manière totalement inédite au cinéma par sa caméra et le soin évident apporté à la bande son.
    Le cadrage d'abord est d'un déstabilisant monstrueux : tout ou presque se centre sur Saul : son visage, sa silhouette, son dos. On ne quitte jamais vraiment le personnage. On déambule avec Saul dans l'immensité d'Auschwitz-Birkenau, on s'enfonce dans l'enfer avec lui, on ne peut s'empêcher de suffoquer, de ressentir l'opprimante profondeur des crématoires.
    Ces plans resserrés qui sont d'une audace folle mais qui ne s'ouvrent jamais assez à mon goût obligent le réalisateur à faire preuve d'un travail léché pour le son et le hors cadre. Effectivement, Nemes est à l'origine d'un travail monstrueux pour cette partie.
    Le hors cadre d'abord que l'on imagine comme le prolongement des rares choses affichées à l'écran : des corps nus entassés attendant la crémation, des vêtements arrachés aux victimes. Puis vient la bande son et sa terrible efficacité pour nous plonger dans l'horrible enfer concentrationnaire : des ordres hurlés en allemand, des brides de langues étrangères, des coups de feu qui claquent, le feu qui ronge le restant des cadavres, des bruits de chantier, le tout se déchaine dans une immense cacophonie bien plus terrifiante que les maigres images que Nemes propose.

    Sans trop en dire sur le scénario et bien qu'il soit tiré de témoignages réels, je dois dire que j'ai trouvé le tout un peu trop "bordélique", entre la quête du personnage principal et le tonnerre de la révolte qui se prépare dans le bloc, tout se bouscule un peu.
    Le Fils de Saul n'est pas un film narratif au sens propre : contrairement à d'autres films, il ne raconte pas l'histoire de la Shoah ni même de Saul, non, il prend le partie de la faire vivre : la caméra n'est pas, nous sommes Saul, et on vit comme lui. On ressent la Shoah, on ressent l'oppression, on ressent presque l'odeur caoutchouteuse des corps qui brûlent et ce brouhaha permanent qui rappelle sans cesse que si l'on meurt dans ces camps, on y survit surtout avec peine et horreur.
    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 573 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 janvier 2018
    La Shoah est l’une des thématiques les plus délicates à représenter à l’écran. Face à l’ampleur du phénomène historique et à la véritable industrialisation du meurtre qu’il incarna, il est virtuellement impossible de trouver le juste ton et le juste équilibre, entre respect dû aux victimes et absence de complaisance artistique envers le drame. Même Spielberg avec sa “Liste de Schindler�, ou Benigni avec “La vie est belle�, s’ils ont récolté un immense succès public, se sont vus tacler par la critique : l’un par la muséification d’un héros oublié, l’autre par sa volonté de faire naître la légèreté et la poésie dans le dernier endroit où elles auraient pu exister, tous deux se sont vus accuser de ne pas avoir su prendre la mesure du génocide qui se déroulait alors en Europe occupée, de ne pas avoir “compris� l’horreur, tout simplement...ou en tout cas, d’avoir voulu l’épargner à leur public. Un reproche que l’on ne pourra pas adresser à ce film hongrois, qui parvient à imposer l’horreur des camps d’un point de vue physique et “sensoriel�, tout en esquivant au maximum les accusations de complaisance grâce à un remarquable dispositif de mise en scène. Fin 44, Saul, membre d’un Sonderkommando, croit reconnaître son fils parmi les cadavres qu’il est chargé d’évacuer et décide de veiller à ce qu’il soit enterré selon le rite juif, en présence d’un rabbin, alors qu’au même moment une mutinerie se prépare dans le camp. Il y a quelque chose d’absurde dans la quête obsessionnelle de cet homme qui, alors que les vies sont milliers par centaines autour de lui par l’abominable machine d’extermination nazie, cherche par tous les moyens à accomplir un rituel qu’on pourrait de bon droit trouver très secondaire. Pourtant, il ne s’agit là que d’un détournement de l’assertion du Talmud selon laquelle qui sauve une vie sauve l’humanité entière : dans un contexte aussi épouvantable où, selon le point de vue du personnage principal, tous sont déjà morts, veiller à ce qu’un mort, en particulier, soit traité dans le respect de son identité spirituelle et de son humanité est à la fois dérisoire et vital, aussi vital que de raconter une blague, aider un co-détenu à se relever ou fabriquer un petit objet de bois : c’est une manière pour les prisonniers de conserver une parcelle de cette humanité que les bourreaux nazis leur dénient en permanence. Qu’il s’agisse de l’enterrement ou de la révolte, ces éléments sont nécessaires pour établir des enjeux narratifs minimaux mais ne constituent pas la raison pour laquelle on se souviendra en priorité du “Fils de Saul� : c’est l’audacieux dispositif visuel du film qui joue ce rôle. En tant que membre d’un Sonderkommando, Saul fait partie de ces Juifs qui “achètent� quelques mois de survie supplémentaire en accomplissant les tâches les plus abominables pour le compte des Allemands, comme évacuer les corps des chambres à gaz, les emmener au crématoire ou pelleter leurs cendres dans la rivière voisine. On s’en doute, pour tenir le coup moralement, il devait être vital de ne pas trop intérioriser ses actes. C’est pourquoi tout au long du film, la caméra épouse au plus près le point de vue de Saul, pris dans l’agitation permanente du camp, passant d’une tâche à l’autre, sous les hurlements et les coups des kapo...mais s’abstient de détailler plus que nécessaire son environnement, laissé à dessein à l’état de figures et silhouettes aux contours imprécis. Lorsque Saul évacue un cadavre, ce dernier n’est jamais directement “observé� car Saul s’y refuse : l’image s’apparente plutôt à une vision imprécise, quelque chose qu’on n’aurait fait que croiser du coin de l’oeil en une fraction de seconde. Seuls les contacts “directs�, ceux qu’il recherche ou ceux auxquels il ne peut se soustraire, sont perçus avec netteté. Ce parti-pris visuel sert un objectif évident, celui de briser la distanciation qui existe entre une représentation de l’enfer des camps et le spectateur ; de plonger, littéralement, le second dans le premier, sans lui laisser la possibilité de se préserver en se barricadant dans une zone de confort émotionnelle. En dépit de sa photographie volontairement imprécise et presque monochrome, on peut donc bien parler, dans le cas du “Fils de Saul�, de “choc esthétique�, au service d’une violence émotionnelle nécessaire..
    this is my movies
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    694 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 novembre 2017
    (...) Le film compte 85 plans, aucun n'excédant plus de quatre minutes. La caméra quitte rarement le personnage principal. Vous pourrez ainsi admirer le visage de Saul mais aussi sa nuque. On ne verra que ce qu'il voit. Tourné dans un format 1.33 qui réduit le champ de vision et avec une longue focale qui donne peu de profondeur de champ, l'immersion est immédiate. Elle est également soulante à la longue, certaines scènes manquant d'ampleur et d'emphase mais c'est le choix du réalisateur. Alors bien sûr, suivant comment vous êtes luné ce jour-là, vous pourrez trouver le film chiant ou formidablement émouvant. Selon moi, certains plans sont trop longs et n'apporte rien, le scénario du film n'est pas hyper profond et ne raconte pas grand chose de bien affolant. Ainsi, la quête du héros apparaît comme vaine, surtout que sa résolution est un poil décevante. Et puis, à l'instar de certains blockbusters, le film n'est pas exempt d'anachronismes. Le plus flagrant, c'est la fameuse reconstitution des photos à l'intérieur du cap, qui a eu lieu en août 1944 et non en octobre comme ici. Mais voilà, le cinéma, aussi proche du documentaire qu'il soit, n'est pas la vie. Le cinéma, c'est aussi l'ellipse, le symbolisme, la métaphore. Certaines séquences sont de haute volée, parvenant à retranscrire l'horreur en ne montrant presque rien. La folie qui habite certains passage, la retranscription du chaos (la bande-son est d'une précision et d'une ampleur peu commune), tout cela fait qu'on est plongé dans cet enfer presque inimaginable avec une précision et une acuité terrifiante. J'ai trouvé aussi très intéressant le traitement des Sonderkommandos, de voir comment ces Juifs et ces prisonniers de droits commun (mais aussi certains prisonniers de guerre russes) se comportaient avec leurs subalternes. Ils se frappent, ils s'insultent, ils se dominent. L'Homme est un loup pour l'Homme et ce film le démontre avec force. Bien sûr, il y a moins de manichéisme avec les bourreaux SS, dont le manque d'humanité semble contagieux (les Sonderkommandos comme les SS appellent les victimes "pièces"). Mais comment rester de glace face à un spectacle aussi tétanisant, comment ne pas haïr les cerveaux malades qui ont mis en place une telle machine de mort ? Le film ne se pose pas en juge mais il montre, sans fard, une réalité que l'on ne peut nier. Cette histoire en mouvement, cela donne au film une certaine puissance. Comme objet cinématographique, il demeure inégal, jusqu'au boutiste (donc respectable) mais aussi trop sûr de la force de son sujet. Un film intéressant, à voir quand même. La critique complète sur thisismymovies.over-blog.com
    Alasky
    Alasky

    345 abonnés 3 368 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 novembre 2017
    Je ne m'attendais pas à prendre une telle claque. Pour moi il s'agit là d'un film choc, poignant de vérité et lourd d'une triste page de l'Histoire. La caméra audacieuse et crue suit le personnage principal dans son effroi, en immersion traumatique dans le macabre et insoutenable enfer d'Auschwitz-Birkenau. Je peux cependant comprendre qu'on puisse ne pas "aimer" cette oeuvre mais elle reste assurément une des meilleures réalisations autour de ce thème à ce jour.
    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2017
    J'ai été convaincu par la plongée dans le monde sans retour des sonderkommando, par la manière de filmer (le personnage principal en premier plan, tandis que les scènes de la solution finale et de la vie dans le camps d'extermination se passent en arrière plan, souvent dans le flou), par l'absence d'expression sur le visage de Saul, comme si toute humanité et espoir l'avaient quitté. Mais je n'ai pas adhéré à cette histoire de recherche de rabbin pour enterrer comme il se doit un enfant inconnu, qui me parait totalement décalée, impensable dans cet univers où la survie devait rester la première des priorités (sauf s'il avait perdu la raison mais ce n'est pas l'impression ressentie).
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 septembre 2017
    Si vous aimez le cinéma animalier filmé en gros plan du début à la fin, le flou partout autour dans l’image, et vous emmerder pendant une heure quarante, foncez voir ce film. Les autres, revoyez la Liste de Schindler, un vrai chef-d’oeuvre celui-là, pas une bouse prétentiarde pour critiques parisiens.
    Acidus
    Acidus

    715 abonnés 3 704 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juillet 2017
    Grand prix du jury à Cannes en 2015 et Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2016, "Le fils de Saul" m'a mis une claque magistrale tant au point de vue du sujet, de l'intrigue que de la mise en scène et des acteurs. Déjà, le cinéaste László Nemes s'écarte de l'habituel film sur les camps d'extermination en s'attardant sur les Sonderkommando, ces unités de travail (nettoyage des chambres à gaz, incinération des corps,...) constituées de prisonniers. Loin de se reposer uniquement sur cette base, il en retire une véritable intrigue sur l'obsession de Saul d'enterrer dignement son fils ( spoiler: réel ou imaginé?
    ), récemment gazé. Si le long métrage est original sur le fond, il l'est aussi sur la forme avec une mise en scène exceptionnelle. Nemes filme l'horreur des camps et de la mise en oeuvre de la Solution finale avec beaucoup de pudeur, suggérant la violence plus qu'il ne la montre sans l'atténuer non plus. C'est un coup de maître même si le traitement apporté au sujet ne plaira pas à tout le monde.
    DimDim72
    DimDim72

    6 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juillet 2017
    Dès le début du film et jusqu'à la fin on est plongé dans la pire barbarie, dans ce qu'il y a eu de plus atroce pendant la Seconde Guerre Mondiale. Ames sensibles s'abstenir !
    Mais au-delà de montrer l'horreur au plus près, on se demande où le film vous nous emmener.
    Cyril J.
    Cyril J.

    26 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2017
    Chargements de charbon, cendres, cadavres, vêtements, des wagons d’arrivants, nettoyage des corps, du sang, des fours et des « douches », organisation des charniers, frénésie abominable et discontinue d’une manufacture d’extermination, dont la barbarie déshumanisante des bourreaux comme des prisonniers, turbinent avec une cadence à peine imaginable. Tonnes de déchets de cendres, de fumées et d’ossements, s’activent et s’affolent sous les ordres aboyés, les hurlements des victimes, et les lourds et terrifiants silences et obéissances harassées des esclaves juifs assignés à ces tâches en attendant leur tour.
    Parmi eux, Saul, prisonnier Hongrois, chair à crever et corvéable à souhait, tente de dériver sa folie par une obsession consistant à offrir des funérailles décentes à un enfant mort dans lequel il voit son fils. Surmontant l’agitation omniprésente, esquivant les soldats Allemands, composant avec ses camarades, les trafics du camp et la révolte qui s’y prépare, il n’aura de cesse de trouver un rabbin parmi l’océan de victimes promises au massacre dans l’unique et pathétique espoir d’un onirisme salvateur de sa raison.
    On en a déjà vu tellement sur les processus de l’holocauste qu’ici la marque de ce puissant et terrifiant film hongrois se focalise sur une extraordinaire et originale manière de filmer l’horreur, tant des actes que de l’intimité broyée des loques abruties de travail que furent les « ouvriers » d’Auschwitz. Par une majorité de plans rapprochés et faciaux, des dialogues justes nécessaires, la barbarie et le vacarme continuels, et au travers de ce pauvre enjeu humain, l’efficace et choquante caméra nous plonge durant deux journées furieuses à l’intérieur d’une des plus célèbres usines à cadavres d’Europe.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 avril 2017
    Un film peu bavard, original par sa manière de filmer (la caméra reste toujours au plus près personnage principal), un sujet important, peu développer au cinéma... On voit de près la réalité inquiétante de l'époque...
    Augustin54
    Augustin54

    1 abonné 3 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mars 2017
    je ne suis pas ici pour dénigrer se film mais bon.... toute le critiques parlaient d'une révélation cinématographique, pour ma part je me suis ennuyé devant se film qui ne raconte pas grand chose.
    bien évidemment le contexte est horrible mais pour un film qui dit tout montrer, rien n'est visible. il est même parfois impossible de comprendre se qu'il se passe, les flous en arrière plan, le fait de ne comprendre les dialogues qu'une fois sur 5 (même si l'on rentre dans la peau du personnage de se fait). c'était un pari risqué, mais pour moi il est raté...
    je pensais tomber sur un chef d'oeuvre mais je suis déçu. Bien évidemment il est compliqué de critiquer un film qui traite d'un sujet aussi triste mais je n'ai pas trouvé pour ma part se que j'attendais de se film
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mars 2017
    enfin un film démontrant l horreur insoutenable des camps , très difficil a supporter , l émotion qu' on ressent vous plonge dans l effroi
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    279 abonnés 3 095 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 février 2017
    En voyant que ce film avait raflé toutes les récompenses dans les catégories films étrangers, je me suis dit que j'allais assister à un grand moment de cinéma, poignant et touchant comme je les aime...et bien j'ai été bien calmé !!! Je me suis rarement autant ennuyé devant un film !!! Il ne se passe rien du tout mais alors rien du tout !!! Et surtout ce qui m'a gêné le plus, c'est le jeu de l'acteur qui a la même expression du début à la fin...alors certes le sujet est affreux, l'immersion dans les camps de l'horreur est totale et c'est louable et ignoble mais c'est vraiment trop pénible à suivre désolé !! Je n'ai pas réussi personnellement !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2017
    Je ne comprends pas la plupart des commentaires positifs ou négatifs qui se contentent de parler du thème sur les, apparemment déjà largement abordé, ou de l'écriture cinématographique (et là il est vrai que le format carré choisi est parfaitement adapté à l'immersion subjective). Pour moi ce film est une mise en perspective de l'humanité, le fait qu'ils soient allemands, juifs, polonais, ukrainiens, soldats, sonder ou victimes disparait derrière l'immensité du mal qui est omniprésent. Le mal qui s'incarne dans les nazis mais qui les dépasse largement, on reste abattu, cloué d'effroi sur le siège, en pleurs même: comment l'être humain peut-il être aussi abject ? Le monstre nazi est un humain comme moi, et l'on peut inverser la phrase...les sonderkommandos n'échappent pas à cette malédiction et c'est sans doute cela aussi cela le pire: il n'y a pas de salut. Film métaphysique, filme qui nous fait frémir d'horreur parce qu'il nous rappelle toutes les atrocités qu'en d'autres lieux, d'autres humains, comme moi, comme vous, ont pu commettre et pourront recommencer.
    J'étais effondré de honte à la fin du film, mais il faut subir cette honte, l'avoir toujours devant soi, la voir en face, c'est sans doute cela le message implicite du film s'il reste un peu d'espoir.
    Le film le plus bouleversant, le plus terrifiant et , j'espère me tromper, le plus désespéré que j'ai jamais vu!
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