Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Ce film choc, brut et bouleversant, est essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Express
par Eric Libiot
"Le Fils de Saul", (très très) Grand Prix au Festival de Cannes, est un torrent de pleurs et d'émotions qui baigne dans un bonheur de cinéma. Il faut le voir pour le croire. Il faut le voir. Le voir. Le voir.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Le jeune cinéaste Laszlo Nemes affronte la question ultime du 7e art – peut-on filmer « l’inmontrable » ? – et formule une réponse d’une grande exigence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
"Le Fils de Saul" – Grand prix du Jury du festival de Cannes – porte la griffe tranchante d’un ambitieux cinéaste hongrois de 37 ans dont la rigueur et la radicalité se sont en partie forgées auprès de Béla Tarr dont il fut l’assistant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film d’une force inouïe, qui trouve la juste manière de filmer l’innommable, en en faisant tout voir sans en rien montrer.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
"Le Fils de Saul" est un chef-d’œuvre.
Le Parisien
par Hubert Lizé
Ce film est un choc total (...) d'une puissance inouïe fait vivre de l'intérieur une tragédie qu'aucun cinéaste de fiction n'avait approché d'aussi près.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Danièle Heymann
Une histoire bouleversante.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Laszlo Nemes contourne les reproches et les interdits par la puissance habile de sa mise en scène.
Paris Match
par Alain Spira
Oppressant, dérangeant jusqu’à la nausée, ce film qui évite soigneusement tout voyeurisme et toute dimension spectaculaire, mérite de devenir une référence, voire un classique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Emmanuel Raspiengas
Il en résulte une poésie brute qui a la force d'un cauchemar et la bouleversante vérité d'un document arraché aux limbes de la mémoire.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
"Le Fils de Saul" est le film incontournable de cette année. Et des années à venir.
Transfuge
par Damien Aubel
Retenez ce nom : László Nemes. Un premier long métrage à son actif et déjà un chef d'oeuvre : Le Fils de Saul.
VSD
par Bernard Achour
Cette œuvre d’artiste et d’historien contourne tous les pièges pour imposer une sidérante apnée dans l’innommable. De quoi en ressortir physiquement concassé, mais aussi éclairé, enrichi, reconnaissant.
aVoir-aLire.com
par Guillaume Louradour
"Le Fils de Saul" est assurément un film tendu et oppressant, on en ressort troublé mais conscient d’avoir assisté à un choc esthétique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
"Le Fils de Saul", de Laslo Nemes, repose sur des témoignages réels, avec ce qu’il faut de fiction dedans. Et un suspense aussi insoutenable que l’histoire qu’il raconte…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Pascal Merigeau
La réussite de Nemes, dont l’expérience de cinéaste se limitait pourtant à quelques courts-métrages, réside dans la volonté de ne pas céder d’un pouce face à la vérité historique qu’ont transmise les rares survivants des Sonderkommando.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le coup d'inspiration de Nemes consiste à avoir imaginé dans cet univers une histoire qui tient à la fois de la parabole biblique, du conte yddish, et d'une certaine véracité de la condition concentrationnaire.
TF1 News
par Romain Le Vern
"Le fils de Saül" vise la sidération, l'immersion, l'amplitude de films traumatiques comme "Requiem pour un massacre" (Elem Klimov, 1985). Et y parvient, communiquant la trouille, révélant aussi un acteur bouleversant, Geza Rohrig, dont on n'oubliera aucune des expressions (son hébétude comme son regard de père).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Ce film s'inscrit par sa puissance dans la lignée du "Nuit et Brouillard" d'Alain Resnais. Placé au coeur de la machine criminelle nazie, on touche du doigt, quasi concrètement (les cendres et le charbon à pelleter) l'indicible et la dimension "industrielle" du génocide. Un choc utile.
Télérama
par Bruno Lcher
Et c'est dans le hors-champ que l'enfer se déchaîne, évoqué par une bande-son peuplée de voix s'exprimant en différentes langues, de gémissements et de bruits de coups. En instituant ce procédé, et en s'y tenant scrupuleusement jusqu'aux ultimes secondes, Nemes réalise avant tout un film irréprochable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Arnaud Hée
La mise en scène de la Shoah proposée par László Nemes mêle audace, réflexion et maîtrise : elle est remuante sans étouffer la possibilité d’une pensée de l’image en ce lieu qui constitue un point problématique et limite de la représentation.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
László Nemes n'a pas choisi la facilité. Radicaux, ses choix de cadrage, alternant le visible et le non montrable, ne font pas l'unanimité… Nous les avons trouvés pertinents.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Gala
par Amélie de Menou
"Le Fils de Saul" n’est pas un énième film sur la Shoah ou la résistance. Au contraire. Le personnage, magnifiquement incarné par Géza Röhrig, est rapidement perçu comme un anti-héros, aux prises avec ses émotions, perdu dans un environnement déshumanisé, doutant de tout et que l’on se surprend de soupçonner.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) Ce film réduit la vision des horreurs au minimum, et relègue tout dans le suspense et l’incertitude. Beaucoup de hors-champ et énormément de flou. D’où la place essentielle de la bande-son, à laquelle est dévolue toute la charge émotionnelle de ce film à part.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L’image colle au visage de Saul, ne nous laisse pas respirer. C’est fascinant, soit. Mais Nemes s’interdit de bifurquer, ne serait-ce qu’un instant, de son personnage, de reprendre lui-même sa respiration par rapport à son film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Gael Golhen
"Le Fils de Saul" est un survival dans l’enfer labyrinthique des camps. Une plongée immersive. Pourtant, le film ne devient jamais l’expérience viscérale qu’il cherche à être. À cause de sa structure narrative trop simpliste, qui utilise la formule du conte ou de ses artifices. Reste un film impressionnant, mais pas le choc recherché.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Peut-on dire Auschwitz je connais, j’ai vu le film ? Car telle est la stratégie de l’immersion : substituer au témoignage la reproduction spectaculaire de ce sur quoi il porte, sur le mode « vis ma vie ».
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
"Le fils de Saul" ne questionne pas suffisamment notre passé. La représentation a beau être virtuose, elle paraît évidée de sens.
Femme Actuelle
Ce film choc, brut et bouleversant, est essentiel.
L'Express
"Le Fils de Saul", (très très) Grand Prix au Festival de Cannes, est un torrent de pleurs et d'émotions qui baigne dans un bonheur de cinéma. Il faut le voir pour le croire. Il faut le voir. Le voir. Le voir.
La Croix
Le jeune cinéaste Laszlo Nemes affronte la question ultime du 7e art – peut-on filmer « l’inmontrable » ? – et formule une réponse d’une grande exigence.
La Voix du Nord
"Le Fils de Saul" – Grand prix du Jury du festival de Cannes – porte la griffe tranchante d’un ambitieux cinéaste hongrois de 37 ans dont la rigueur et la radicalité se sont en partie forgées auprès de Béla Tarr dont il fut l’assistant.
Le Dauphiné Libéré
Un film d’une force inouïe, qui trouve la juste manière de filmer l’innommable, en en faisant tout voir sans en rien montrer.
Le Journal du Dimanche
"Le Fils de Saul" est un chef-d’œuvre.
Le Parisien
Ce film est un choc total (...) d'une puissance inouïe fait vivre de l'intérieur une tragédie qu'aucun cinéaste de fiction n'avait approché d'aussi près.
Marianne
Une histoire bouleversante.
Ouest France
Laszlo Nemes contourne les reproches et les interdits par la puissance habile de sa mise en scène.
Paris Match
Oppressant, dérangeant jusqu’à la nausée, ce film qui évite soigneusement tout voyeurisme et toute dimension spectaculaire, mérite de devenir une référence, voire un classique.
Positif
Il en résulte une poésie brute qui a la force d'un cauchemar et la bouleversante vérité d'un document arraché aux limbes de la mémoire.
Studio Ciné Live
"Le Fils de Saul" est le film incontournable de cette année. Et des années à venir.
Transfuge
Retenez ce nom : László Nemes. Un premier long métrage à son actif et déjà un chef d'oeuvre : Le Fils de Saul.
VSD
Cette œuvre d’artiste et d’historien contourne tous les pièges pour imposer une sidérante apnée dans l’innommable. De quoi en ressortir physiquement concassé, mais aussi éclairé, enrichi, reconnaissant.
aVoir-aLire.com
"Le Fils de Saul" est assurément un film tendu et oppressant, on en ressort troublé mais conscient d’avoir assisté à un choc esthétique.
20 Minutes
"Le Fils de Saul", de Laslo Nemes, repose sur des témoignages réels, avec ce qu’il faut de fiction dedans. Et un suspense aussi insoutenable que l’histoire qu’il raconte…
L'Obs
La réussite de Nemes, dont l’expérience de cinéaste se limitait pourtant à quelques courts-métrages, réside dans la volonté de ne pas céder d’un pouce face à la vérité historique qu’ont transmise les rares survivants des Sonderkommando.
Les Inrockuptibles
Le coup d'inspiration de Nemes consiste à avoir imaginé dans cet univers une histoire qui tient à la fois de la parabole biblique, du conte yddish, et d'une certaine véracité de la condition concentrationnaire.
TF1 News
"Le fils de Saül" vise la sidération, l'immersion, l'amplitude de films traumatiques comme "Requiem pour un massacre" (Elem Klimov, 1985). Et y parvient, communiquant la trouille, révélant aussi un acteur bouleversant, Geza Rohrig, dont on n'oubliera aucune des expressions (son hébétude comme son regard de père).
Télé 7 Jours
Ce film s'inscrit par sa puissance dans la lignée du "Nuit et Brouillard" d'Alain Resnais. Placé au coeur de la machine criminelle nazie, on touche du doigt, quasi concrètement (les cendres et le charbon à pelleter) l'indicible et la dimension "industrielle" du génocide. Un choc utile.
Télérama
Et c'est dans le hors-champ que l'enfer se déchaîne, évoqué par une bande-son peuplée de voix s'exprimant en différentes langues, de gémissements et de bruits de coups. En instituant ce procédé, et en s'y tenant scrupuleusement jusqu'aux ultimes secondes, Nemes réalise avant tout un film irréprochable.
aVoir-aLire.com
La mise en scène de la Shoah proposée par László Nemes mêle audace, réflexion et maîtrise : elle est remuante sans étouffer la possibilité d’une pensée de l’image en ce lieu qui constitue un point problématique et limite de la représentation.
Franceinfo Culture
László Nemes n'a pas choisi la facilité. Radicaux, ses choix de cadrage, alternant le visible et le non montrable, ne font pas l'unanimité… Nous les avons trouvés pertinents.
Gala
"Le Fils de Saul" n’est pas un énième film sur la Shoah ou la résistance. Au contraire. Le personnage, magnifiquement incarné par Géza Röhrig, est rapidement perçu comme un anti-héros, aux prises avec ses émotions, perdu dans un environnement déshumanisé, doutant de tout et que l’on se surprend de soupçonner.
L'Humanité
(...) Ce film réduit la vision des horreurs au minimum, et relègue tout dans le suspense et l’incertitude. Beaucoup de hors-champ et énormément de flou. D’où la place essentielle de la bande-son, à laquelle est dévolue toute la charge émotionnelle de ce film à part.
Le Monde
Simple, juste, irrésolu, bouleversant. Cela suffit.
Libération
L’image colle au visage de Saul, ne nous laisse pas respirer. C’est fascinant, soit. Mais Nemes s’interdit de bifurquer, ne serait-ce qu’un instant, de son personnage, de reprendre lui-même sa respiration par rapport à son film.
Première
"Le Fils de Saul" est un survival dans l’enfer labyrinthique des camps. Une plongée immersive. Pourtant, le film ne devient jamais l’expérience viscérale qu’il cherche à être. À cause de sa structure narrative trop simpliste, qui utilise la formule du conte ou de ses artifices. Reste un film impressionnant, mais pas le choc recherché.
Cahiers du Cinéma
Peut-on dire Auschwitz je connais, j’ai vu le film ? Car telle est la stratégie de l’immersion : substituer au témoignage la reproduction spectaculaire de ce sur quoi il porte, sur le mode « vis ma vie ».
La Septième Obsession
"Le fils de Saul" ne questionne pas suffisamment notre passé. La représentation a beau être virtuose, elle paraît évidée de sens.