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    Le Fils de Saul
    Note moyenne
    4,1
    30 titres de presse
    • Femme Actuelle
    • L'Express
    • La Croix
    • La Voix du Nord
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Parisien
    • Marianne
    • Ouest France
    • Paris Match
    • Positif
    • Studio Ciné Live
    • Transfuge
    • VSD
    • aVoir-aLire.com
    • 20 Minutes
    • L'Obs
    • Les Inrockuptibles
    • TF1 News
    • Télé 7 Jours
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • Franceinfo Culture
    • Gala
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • Libération
    • Première
    • Cahiers du Cinéma
    • La Septième Obsession

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    30 critiques presse

    Femme Actuelle

    par Amélie Cordonnier

    Ce film choc, brut et bouleversant, est essentiel.

    La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle

    L'Express

    par Eric Libiot

    "Le Fils de Saul", (très très) Grand Prix au Festival de Cannes, est un torrent de pleurs et d'émotions qui baigne dans un bonheur de cinéma. Il faut le voir pour le croire. Il faut le voir. Le voir. Le voir.

    La Croix

    par Arnaud Schwartz

    Le jeune cinéaste Laszlo Nemes affronte la question ultime du 7e art – peut-on filmer « l’inmontrable » ? – et formule une réponse d’une grande exigence.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    La Voix du Nord

    par Philippe Lagouche

    "Le Fils de Saul" – Grand prix du Jury du festival de Cannes – porte la griffe tranchante d’un ambitieux cinéaste hongrois de 37 ans dont la rigueur et la radicalité se sont en partie forgées auprès de Béla Tarr dont il fut l’assistant.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Un film d’une force inouïe, qui trouve la juste manière de filmer l’innommable, en en faisant tout voir sans en rien montrer.

    Le Journal du Dimanche

    par Danielle Attali

    "Le Fils de Saul" est un chef-d’œuvre.

    Le Parisien

    par Hubert Lizé

    Ce film est un choc total (...) d'une puissance inouïe fait vivre de l'intérieur une tragédie qu'aucun cinéaste de fiction n'avait approché d'aussi près.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Marianne

    par Danièle Heymann

    Une histoire bouleversante.

    Ouest France

    par Pierre Fornerod

    Laszlo Nemes contourne les reproches et les interdits par la puissance habile de sa mise en scène.

    Paris Match

    par Alain Spira

    Oppressant, dérangeant jusqu’à la nausée, ce film qui évite soigneusement tout voyeurisme et toute dimension spectaculaire, mérite de devenir une référence, voire un classique.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Positif

    par Emmanuel Raspiengas

    Il en résulte une poésie brute qui a la force d'un cauchemar et la bouleversante vérité d'un document arraché aux limbes de la mémoire.

    Studio Ciné Live

    par Sophie Benamon

    "Le Fils de Saul" est le film incontournable de cette année. Et des années à venir.

    Transfuge

    par Damien Aubel

    Retenez ce nom : László Nemes. Un premier long métrage à son actif et déjà un chef d'oeuvre : Le Fils de Saul.

    VSD

    par Bernard Achour

    Cette œuvre d’artiste et d’historien contourne tous les pièges pour imposer une sidérante apnée dans l’innommable. De quoi en ressortir physiquement concassé, mais aussi éclairé, enrichi, reconnaissant.

    aVoir-aLire.com

    par Guillaume Louradour

    "Le Fils de Saul" est assurément un film tendu et oppressant, on en ressort troublé mais conscient d’avoir assisté à un choc esthétique.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    20 Minutes

    par Stéphane Leblanc

    "Le Fils de Saul", de Laslo Nemes, repose sur des témoignages réels, avec ce qu’il faut de fiction dedans. Et un suspense aussi insoutenable que l’histoire qu’il raconte…

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    L'Obs

    par Pascal Merigeau

    La réussite de Nemes, dont l’expérience de cinéaste se limitait pourtant à quelques courts-métrages, réside dans la volonté de ne pas céder d’un pouce face à la vérité historique qu’ont transmise les rares survivants des Sonderkommando.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    Le coup d'inspiration de Nemes consiste à avoir imaginé dans cet univers une histoire qui tient à la fois de la parabole biblique, du conte yddish, et d'une certaine véracité de la condition concentrationnaire.

    TF1 News

    par Romain Le Vern

    "Le fils de Saül" vise la sidération, l'immersion, l'amplitude de films traumatiques comme "Requiem pour un massacre" (Elem Klimov, 1985). Et y parvient, communiquant la trouille, révélant aussi un acteur bouleversant, Geza Rohrig, dont on n'oubliera aucune des expressions (son hébétude comme son regard de père).

    La critique complète est disponible sur le site TF1 News

    Télé 7 Jours

    par Julien Barcilon

    Ce film s'inscrit par sa puissance dans la lignée du "Nuit et Brouillard" d'Alain Resnais. Placé au coeur de la machine criminelle nazie, on touche du doigt, quasi concrètement (les cendres et le charbon à pelleter) l'indicible et la dimension "industrielle" du génocide. Un choc utile.

    Télérama

    par Bruno Lcher

    Et c'est dans le hors-champ que l'enfer se déchaîne, évoqué par une bande-son peuplée de voix s'exprimant en différentes langues, de gémissements et de bruits de coups. En instituant ce procédé, et en s'y tenant scrupuleusement jusqu'aux ultimes secondes, Nemes réalise avant tout un film irréprochable.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Arnaud Hée

    La mise en scène de la Shoah proposée par László Nemes mêle audace, réflexion et maîtrise : elle est remuante sans étouffer la possibilité d’une pensée de l’image en ce lieu qui constitue un point problématique et limite de la représentation.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    László Nemes n'a pas choisi la facilité. Radicaux, ses choix de cadrage, alternant le visible et le non montrable, ne font pas l'unanimité… Nous les avons trouvés pertinents.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    Gala

    par Amélie de Menou

    "Le Fils de Saul" n’est pas un énième film sur la Shoah ou la résis­tance. Au contraire. Le person­nage, magni­fique­ment incarné par Géza Röhrig, est rapi­de­ment perçu comme un anti-héros, aux prises avec ses émotions, perdu dans un envi­ron­ne­ment déshu­ma­nisé, doutant de tout et que l’on se surprend de soupçon­ner.

    La critique complète est disponible sur le site Gala

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    (...) Ce film réduit la vision des horreurs au minimum, et relègue tout dans le suspense et l’incertitude. Beaucoup de hors-champ et énormément de flou. D’où la place essentielle de la bande-son, à laquelle est dévolue toute la charge émotionnelle de ce film à part.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Simple, juste, irrésolu, bouleversant. Cela suffit.

    Libération

    par Clément Ghys

    L’image colle au visage de Saul, ne nous laisse pas respirer. C’est fascinant, soit. Mais Nemes s’interdit de bifurquer, ne serait-ce qu’un instant, de son personnage, de reprendre lui-même sa respiration par rapport à son film.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Première

    par Gael Golhen

    "Le Fils de Saul" est un survival dans l’enfer labyrinthique des camps. Une plongée immersive. Pourtant, le film ne devient jamais l’expérience viscérale qu’il cherche à être. À cause de sa structure narrative trop simpliste, qui utilise la formule du conte ou de ses artifices. Reste un film impressionnant, mais pas le choc recherché.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Philippe Tessé

    Peut-on dire Auschwitz je connais, j’ai vu le film ? Car telle est la stratégie de l’immersion : substituer au témoignage la reproduction spectaculaire de ce sur quoi il porte, sur le mode « vis ma vie ».

    La Septième Obsession

    par Thomas Aïdan

    "Le fils de Saul" ne questionne pas suffisamment notre passé. La représentation a beau être virtuose, elle paraît évidée de sens.

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