La Quatrième Voie (Chauthi Koot) : Critique presse
La Quatrième Voie (Chauthi Koot)
Note moyenne
3,1
17 titres de presse
Culturopoing.com
Gala
Le Journal du Dimanche
Positif
Transfuge
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Franceinfo Culture
L'Humanité
La Croix
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Libération
L'Obs
Studio Ciné Live
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Culturopoing.com
par Miriem Méghaïzerou
Même si le cinéaste nous laisse souvent seul avec nos interrogations, face à cette narration immobile, la sophistication esthétique travaille la dramaturgie en profondeur : par son pouvoir de signification d’une ambiance, elle s’éloigne d’une beauté d’agrément gratuite.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Gala
par Paul-Arthur Jean-Marie
Malgré un scénario légèrement fastidieux, Chauthi Koot reste un petit bijou de réalisation. Chaque plan serré, même un chien à l’agonie, bouleverse.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec sa mise en scène atmosphérique, émaillée de silences inquiétants et de plans étirés à la limite de l’abstraction, ce film cultive une esthétique et une ambition encore assez rares dans le paysage cinématographique indien.
Positif
par Yannick Lemarié
La force du film de Gruvinder Singh est là : dans cette capacité à interroger le réel, à mettre à nu les tyrannies cachées, à faire d'une simple anecdote le lieu d'un questionnement existentiel.
Transfuge
par Damien Aubel
On ne sait pas s'il y a une déesse de la peur dans le panthéon indien, mais, avec cette "Quatrième voie" au ryhtme faussement torpide, mais innervé par l'angoisse, elle a son film.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
"La Quatrième Voie" souffre d’un sentiment de surplace et d’une raideur appliquée qui l’empêchent de prendre l’ampleur visionnaire qu’un début nocturne laissait pourtant espérer. Mais il creuse aussi, pour les mêmes raisons, une atmosphère dont la justesse apparaît progressivement.
Critikat.com
par Josué Morel
Si le film brasse une somme de possibles assez séduisants (film-lambeau, film fantastique, film historique, film de contamination), il n’est jamais meilleur que lorsqu’il attend, patiemment, le surgissement de quelque chose qui n’adviendra pas. Il faut alors le prendre pour ce qu’il est : un objet qui lui aussi cherche sa voie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Geoffrey Priol
Un film intimiste où Gurvinder Singh suit, comme dans un documentaire, le lent quotidien d'un homme ordinaire. On aurait aimé être davantage plongé dans cette période agitée de l'histoire indienne qui mènera à la mort d'Indira Gandhi.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’ensemble, plutôt théâtral et statique, est contrebalancé par de superbes plans documentaires sur la campagne environnante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Marie Soyeux
L’Indien Gurvinder Singh livre un film à la mise en scène radicale et intelligente, où l’atmosphère prime sur le récit d’un conflit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Regnier
A travers le souvenir d'un homme empêché de regagner son village par les barrages mis en place pour contenir l'insurrection, ce long-métrage de Gurvinder Singh relate avec sobriété l'histoire d'une famille hindoue prise en otage de cette situation étouffante.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un film sobre autour du destin d'une famille prise dans la violence du mouvement militant séparatiste sikh qui embrasa le Penjab en 1984 et la répression policière qu s'ensuivit.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
La façon dont le cinéaste, qui a débuté comme documentariste, capte gracieusement le frémissement de cette nature sans apprêt, pousse à se demander s'il a bien fait d'opter pour la fiction.
Libération
par Luc Chessel
La quatrième voie proposée par Gurvinder Singh, c’est donc le chien chargé de tout ce qui, chez l’homme, regrette de ne pas être un chien, sans être prêt à en devenir un. C’est une impasse.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Œuvre du cinéaste pendjabi Gurvinder Singh, "La Quatrième Voie" se signale plus par sa beauté plastique que par son intrigue. Ses deux intrigues, plus exactement, qui s'accordent assez mal, ne laissant au spectateur d'autre choix que celui de se laisser porter par le formalisme de l'ensemble, en effet assez séduisant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
(Un) drame hélas trop abstrait et dont le rythme étiré laisse un peu à distance.
Télérama
par Pierre-Julien Marest
écit métaphorique, censé retranscrire l'ambiance paranoïaque du Pendjab indien de 1984, secoué par le séparatisme sikh. Hélas, nulle virtuosité chez le cinéaste, ni brio dans ses cadrages, même s'il tente de susciter la fascination, au moyen de longs plans contemplatifs. Rien ne marche...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Même si le cinéaste nous laisse souvent seul avec nos interrogations, face à cette narration immobile, la sophistication esthétique travaille la dramaturgie en profondeur : par son pouvoir de signification d’une ambiance, elle s’éloigne d’une beauté d’agrément gratuite.
Gala
Malgré un scénario légèrement fastidieux, Chauthi Koot reste un petit bijou de réalisation. Chaque plan serré, même un chien à l’agonie, bouleverse.
Le Journal du Dimanche
Avec sa mise en scène atmosphérique, émaillée de silences inquiétants et de plans étirés à la limite de l’abstraction, ce film cultive une esthétique et une ambition encore assez rares dans le paysage cinématographique indien.
Positif
La force du film de Gruvinder Singh est là : dans cette capacité à interroger le réel, à mettre à nu les tyrannies cachées, à faire d'une simple anecdote le lieu d'un questionnement existentiel.
Transfuge
On ne sait pas s'il y a une déesse de la peur dans le panthéon indien, mais, avec cette "Quatrième voie" au ryhtme faussement torpide, mais innervé par l'angoisse, elle a son film.
Cahiers du Cinéma
"La Quatrième Voie" souffre d’un sentiment de surplace et d’une raideur appliquée qui l’empêchent de prendre l’ampleur visionnaire qu’un début nocturne laissait pourtant espérer. Mais il creuse aussi, pour les mêmes raisons, une atmosphère dont la justesse apparaît progressivement.
Critikat.com
Si le film brasse une somme de possibles assez séduisants (film-lambeau, film fantastique, film historique, film de contamination), il n’est jamais meilleur que lorsqu’il attend, patiemment, le surgissement de quelque chose qui n’adviendra pas. Il faut alors le prendre pour ce qu’il est : un objet qui lui aussi cherche sa voie.
Franceinfo Culture
Un film intimiste où Gurvinder Singh suit, comme dans un documentaire, le lent quotidien d'un homme ordinaire. On aurait aimé être davantage plongé dans cette période agitée de l'histoire indienne qui mènera à la mort d'Indira Gandhi.
L'Humanité
L’ensemble, plutôt théâtral et statique, est contrebalancé par de superbes plans documentaires sur la campagne environnante.
La Croix
L’Indien Gurvinder Singh livre un film à la mise en scène radicale et intelligente, où l’atmosphère prime sur le récit d’un conflit.
Le Monde
A travers le souvenir d'un homme empêché de regagner son village par les barrages mis en place pour contenir l'insurrection, ce long-métrage de Gurvinder Singh relate avec sobriété l'histoire d'une famille hindoue prise en otage de cette situation étouffante.
Les Fiches du Cinéma
Un film sobre autour du destin d'une famille prise dans la violence du mouvement militant séparatiste sikh qui embrasa le Penjab en 1984 et la répression policière qu s'ensuivit.
Les Inrockuptibles
La façon dont le cinéaste, qui a débuté comme documentariste, capte gracieusement le frémissement de cette nature sans apprêt, pousse à se demander s'il a bien fait d'opter pour la fiction.
Libération
La quatrième voie proposée par Gurvinder Singh, c’est donc le chien chargé de tout ce qui, chez l’homme, regrette de ne pas être un chien, sans être prêt à en devenir un. C’est une impasse.
L'Obs
Œuvre du cinéaste pendjabi Gurvinder Singh, "La Quatrième Voie" se signale plus par sa beauté plastique que par son intrigue. Ses deux intrigues, plus exactement, qui s'accordent assez mal, ne laissant au spectateur d'autre choix que celui de se laisser porter par le formalisme de l'ensemble, en effet assez séduisant.
Studio Ciné Live
(Un) drame hélas trop abstrait et dont le rythme étiré laisse un peu à distance.
Télérama
écit métaphorique, censé retranscrire l'ambiance paranoïaque du Pendjab indien de 1984, secoué par le séparatisme sikh. Hélas, nulle virtuosité chez le cinéaste, ni brio dans ses cadrages, même s'il tente de susciter la fascination, au moyen de longs plans contemplatifs. Rien ne marche...