Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce qui touche profondément, c’est le choix de la réalisatrice, connue pour ses courts-métrages et ses documentaires, de ne pas faire une victime de son héroïne prête à se battre pour son indépendance et sa tendresse pour un homme qu’elle n’a pas le droit d’épouser.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Eric Libiot
Portrait de femme et peinture de moeurs, "Nahid" impressionne par la façon dont Ida Panahandeh mène son récit: justesse du propos, réalisme nourri, acuité du regard, mariage du romanesque et du quotidien... Nahid est passionnant autant par la description d'un monde que par le suspense amoureux qu'il met en place.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par La Rédaction
Une réussite magnifique, sublimée par la composition vibrante de Sareh Bayat.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Stéphane Goudet
La richesse du scénario, la subtilité de ses jeux d'écho, la pertinence des ellipses (...), l'efficacité des fausses pistes (...) et la rigueur de la mise en scène respectent l'ambivalence du réel et permettent de dépasser le schématisme craint.
Gala
par Juliette Serfati
L’intelligence et la sensibilité du premier film d’Ida Panahandeh sont à la mesure de sa pudeur: "Nahid" révèle, dans le sillage de Gett, le film de Ronit Elkabetzsur l’impossible divorce d’une femme en Israël (...) le décalage entre la réalité d’une société en mutation et les lois figées qui la régissent.
La critique complète est disponible sur le site Gala
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Rythmé par des images familières revenant, tels des refrains, au cours du film, ce premier long métrage refuse la sophistication mais non la mélodieuse lumière qui rayonne de son interprète principale, magnifique à chaque plan.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Dans la veine d’“Une séparation”, un regard pénétrant sur la condition de la femme iranienne, mais surtout sur un personnage de femme débordée par sa propre vie.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Ce drame puissant, doublé d'un magnifique portrait de femme, révèle une réalisatrice à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une sorte de documentaire sur le quotidien de la vie en Iran, filmé avec patience par la débutante Ida Panahandeh.
Paris Match
par Yannick Vely
On retrouve dans "Nahid" certaines qualités du cinéma d'Asghar Farhadi : scénario très écrit qui exploite au maximum son point de départ et développe la psychologie complexe de ses personnages, souci d'éviter le choc frontal avec les autorités en démontrant l'absurdité d'une société religieuse et patriarcale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
Ida Panahandeh ne condamne personne et clôt son beau film sur un plan d’ensemble énigmatique, shooté par une caméra de surveillance. Tout un symbole.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
C'est subtil, intense.
Transfuge
par Ilan Malka
Documentaire sur l'Iran d'aujourd'hui et tragédie universelle, "Nahid", justement salué par le Prix de l'avenir Un Certain Regard l'an dernier, révèle une cinéaste aussi douée sur le plan esthétique que pour nous faire plonger dans les tourments intimes de ses personnages.
Télérama
par Guillemette Odicino
Quel film magnifique que ce portrait d'une louve qui se débat dans un monde où les maris, les frères et les fils font la loi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Instructive et surprenante, mise en scène avec sensibilité dans une atmosphère grise et nuageuse, cette histoire révèle, aussi, le point de vue d’une jeune réalisatrice à suivre.
Le Monde
par Noémie Luciani
La démarche est subtile, le constat sans appel.
aVoir-aLire.com
par Marjorie Rivière
Un très beau portrait de femme forte dans une société iranienne très codifiée.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Axel Scoffier
"Nahid" joue la partition du film social sur la condition féminine d’un air un peu trop attendu.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Gilles Renault
Sans faux pas - ni fulgurance -, le récit arpente de la sorte la piste du drame intime s’employant à démont(r)er l’hypocrisie et la pesanteur d’une hiérarchie sociale où des valeurs familiales fondées sur le patriarcat finiraient d’office par primer sur le bonheur individuel et, a fortiori, féminin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Ce qui touche profondément, c’est le choix de la réalisatrice, connue pour ses courts-métrages et ses documentaires, de ne pas faire une victime de son héroïne prête à se battre pour son indépendance et sa tendresse pour un homme qu’elle n’a pas le droit d’épouser.
L'Express
Portrait de femme et peinture de moeurs, "Nahid" impressionne par la façon dont Ida Panahandeh mène son récit: justesse du propos, réalisme nourri, acuité du regard, mariage du romanesque et du quotidien... Nahid est passionnant autant par la description d'un monde que par le suspense amoureux qu'il met en place.
L'Obs
Une réussite magnifique, sublimée par la composition vibrante de Sareh Bayat.
Positif
La richesse du scénario, la subtilité de ses jeux d'écho, la pertinence des ellipses (...), l'efficacité des fausses pistes (...) et la rigueur de la mise en scène respectent l'ambivalence du réel et permettent de dépasser le schématisme craint.
Gala
L’intelligence et la sensibilité du premier film d’Ida Panahandeh sont à la mesure de sa pudeur: "Nahid" révèle, dans le sillage de Gett, le film de Ronit Elkabetzsur l’impossible divorce d’une femme en Israël (...) le décalage entre la réalité d’une société en mutation et les lois figées qui la régissent.
La Croix
Rythmé par des images familières revenant, tels des refrains, au cours du film, ce premier long métrage refuse la sophistication mais non la mélodieuse lumière qui rayonne de son interprète principale, magnifique à chaque plan.
Le Dauphiné Libéré
Dans la veine d’“Une séparation”, un regard pénétrant sur la condition de la femme iranienne, mais surtout sur un personnage de femme débordée par sa propre vie.
Les Fiches du Cinéma
Ce drame puissant, doublé d'un magnifique portrait de femme, révèle une réalisatrice à suivre.
Ouest France
Une sorte de documentaire sur le quotidien de la vie en Iran, filmé avec patience par la débutante Ida Panahandeh.
Paris Match
On retrouve dans "Nahid" certaines qualités du cinéma d'Asghar Farhadi : scénario très écrit qui exploite au maximum son point de départ et développe la psychologie complexe de ses personnages, souci d'éviter le choc frontal avec les autorités en démontrant l'absurdité d'une société religieuse et patriarcale.
Première
Ida Panahandeh ne condamne personne et clôt son beau film sur un plan d’ensemble énigmatique, shooté par une caméra de surveillance. Tout un symbole.
Studio Ciné Live
C'est subtil, intense.
Transfuge
Documentaire sur l'Iran d'aujourd'hui et tragédie universelle, "Nahid", justement salué par le Prix de l'avenir Un Certain Regard l'an dernier, révèle une cinéaste aussi douée sur le plan esthétique que pour nous faire plonger dans les tourments intimes de ses personnages.
Télérama
Quel film magnifique que ce portrait d'une louve qui se débat dans un monde où les maris, les frères et les fils font la loi.
Le Journal du Dimanche
Instructive et surprenante, mise en scène avec sensibilité dans une atmosphère grise et nuageuse, cette histoire révèle, aussi, le point de vue d’une jeune réalisatrice à suivre.
Le Monde
La démarche est subtile, le constat sans appel.
aVoir-aLire.com
Un très beau portrait de femme forte dans une société iranienne très codifiée.
Critikat.com
"Nahid" joue la partition du film social sur la condition féminine d’un air un peu trop attendu.
Libération
Sans faux pas - ni fulgurance -, le récit arpente de la sorte la piste du drame intime s’employant à démont(r)er l’hypocrisie et la pesanteur d’une hiérarchie sociale où des valeurs familiales fondées sur le patriarcat finiraient d’office par primer sur le bonheur individuel et, a fortiori, féminin.