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    Ferrari
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    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    529 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Il n'a pas chaumé depuis 2015 (la série Tokyo Vice, le roman Heat 2) mais neuf ans sans un film de Michael Mann, ça fait long tout de même. Son retour, il le fait en plus avec un projet vieux de trente ans. Non, ce n'était pas le Ford v Ferrari finalement réalisé par James Mangold (et qu'il produit) mais bien un long-métrage consacré au pilote et industriel Enzo Ferrari. Une poignée de minutes suffiront d'ailleurs à l'installer comme un vrai personnage Mannien. Une créature en mouvement, allant à son rythme et dans son sens quitte à opérer en décalage par rapport aux autres. Ferrari met l'homme au centre de tout bien sûr, cependant le cœur du film c'est ce mariage tourmenté avec Laura. Une union accidentée par le deuil et le mensonge mais maintenue sur la route pour l'entreprise. Un angle passionnant, qui donne toute latitude à Penelope Cruz pour insuffler un peu d'émotion là où elle manque au Enzo, qu'on suit pourtant du début à la fin. Sans faire outrage à Adam Driver, parfait comme à son habitude, le drame fonctionne mais les autres batailles menées par l'industriel sont moins engageantes. Heureusement, les 2h10 sont suffisamment rythmées et la mise en scène de Mann offre une spectaculaire reconstitution de la course Mille Miglia. Un retour modeste mais recommandable.
    Corradiantony
    Corradiantony

    20 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 janvier 2024
    Je n'aurais jamais imaginé que Ferrari était un projet de passion de longue date pour Michael Mann, car rien dans le produit final ne donne la moindre idée d'une vision de cette histoire. C'est totalement peu impressionnant au niveau du scénario et au niveau technique et les séquences de course impressionnantes ne suffisent pas à sauver l'ennui total que Ferrari a fini par être dans son ensemble.
    2985
    2985

    248 abonnés 1 036 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Michael Mann qui s'était déjà frotté au biopic avec Ali, nous livre cette fois la vie d'Enzo Ferrari. Et bien que d'un point de vue technique le film soit bon, Mann n'ayant plus grand-chose a prouver, l'histoire contée n'es pas spécialement palpitante, voir simplement intéressante, au finale après visionnage qu'est ce que l'on apprend ? sa vie extra-conjuguale, sa passion pour ses voitures, et c'est a peu près tout. Les rares scènes de courses manque un tantinet de rythmes et de nervosité, si l'on compare à Le Mans 66 récemment, l'on est un cran en-dessous, reste malgré tout quelques accidents impressionnants. Heureusement le casting est bon, Adam Driver étant convaincant dans son rôle. Un biopic familiale porté sur le drame, pas déplaisant mais pas vraiment nécessaire ni marquant.
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    « Si tu gagnes le dimanche, tu vends le lundi. » Pour son premier film depuis près de dix ans avec le très oubliable "Blackhat", Michael Mann s'intéresse à Enzo Ferrari. Il ne s'agit pas d'un biopic traditionnel sur la vie d'une personne ou sur son ascension puisque l'on parle de quelqu'un qui a bâti un empire, mais plutôt d'un film qui se déroule sur une très courte période. Nous sommes dans les années 50 et "Ferrari" revient autant sur la vie privée que professionnelle de cet ancien pilote automobile, car les deux sont entièrement liées puisqu'il dirigeait la marque avec sa femme Laura. Ce ne sont pas les seules choses qui étaient liées puisque les résultats en course déterminaient les ventes de voitures de série, ce qui est peu développé ici puisque Enzo vivait avant tout pour les courses. Une période charnière durant laquelle il a rencontré de nombreuses difficultés tandis que les tragédies personnelles et sportives se sont accumulées. Ce n'est peut-être pas la partie la plus intéressante de la vie de cet homme, mais "Ferrari" est un drame décent, un portrait solide d'un homme pris entre deux familles et entre sa passion et les affaires. Par contre, et ça valait déjà pour "House of Gucci", il serait temps de respecter la langue d'origine parce que les accents de ce type ne rendent pas les échanges en anglais plus authentiques... Bref, c'est pas mal avec un casting de qualité et de très bonnes scènes de course.
    fabrice l.
    fabrice l.

    8 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2024
    depuis Public Ennemies Michael Mann à perdu quelque chose dans le visuel de ses films il me semble mais il reste toujours un merveilleux raconter d'histoire. La plupart d'entre nous n'avions aucune idée de la personnalité d'Enzo Ferrari dont le troisième enfant était finalement peut-être le premier et le plus chéri son écurie de course automobile au fameux cheval cabré. quelques magnifiques images de course automobile tout de même et quelque plans qui n'appartiennent qu' à Mann. Nr vous attendez pas à Heat, révélations, Ali ou même collatéral, avec Ferrari Mann s'est fait plaisir et c'est cela le plus important il revient à la genèse de ce qui est peut-être la plus grande marque d'automobile de course par le biais d'une période pas toujours glorieuse pour son créateur mais qui lui donnera finalement raison d'avoir sacrifié un peu de son honneur pour que finalement son nom perdure à jamais. il faut voir ce film un peu si vous aimez Michael Mann, si vous aimez la course automobile et Ferrari en particulier, beaucoup si vous êtes un entrepreneur en plein doute avec une double vie et que vous ne savez plus ou vous en êtes car c'est l'histoire d'un homme qui ne renonça jamais à son rêve quoiqu'il en coûte.
    black B.
    black B.

    40 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2024
    J'en sors un peu mitigé, le film est centré sur l'année 1957 est plus particulièrement sur la vie personnelle de Enzo Ferrari (ainsi que le fameux accident de Mille miglia).
    Si le script se concentre sur sa vie sentimentale et ses déboires de successions, on ne peut pas nier que les quelques séquences de voitures sont impressionnantes, mais elles en deviennent presque anecdotique car on est en realité clairement devant un drame, plus particulièrement centré sur la relation d'Enzo Ferrari avec sa femme, ici incarné par Pénélope Cruz. C'est l'enjeu central du film et à ce petit jeu, si le duo fonctionne bien, on ne peut pas nier que Pénélope Cruz efface très souvent Adam driver de la pellicule.
    Pour la technique c'est irréprochable, Michael mann qui avait essuyé un double refus pour la réalisation de ce même scénario dans les années 2000, a imprimé son savoir faire sans concession.
    Alors où est le problème ? Il y en a pas vraiment, probablement que la matière de travail qui a donné naissance à ce scénario reste un peu légère, et qu'il y aurait probablement des biopics plus percutant a produire.. 3/5
    traversay1
    traversay1

    3 575 abonnés 4 862 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 janvier 2024
    Enzo Ferrari est un mythe persistant et aucune œuvre ne saurait traiter à fond ni d'ailleurs égratigner le statut du Commendatore. C'est un plaisir de retrouver Michael Mann au volant d'un nouveau film, octogénaire maintenant, et visiblement le cinéaste n'a pas perdu la main, notamment dans certaines scènes spectaculaires (une, surtout, choquante) de la fameuse course des Mille Miglia, lors de sa toute dernière édition. Plutôt qu'un biopic qui ne pourrait être satisfaisant, eu égard à la richesse de l'existence d'Enzo Ferrari, le scénario se concentre sur l'année 1957, celle de tous les dangers, celle où la marque est dans le rouge, c'est le cas de le dire, celle où sa femme apprend sa double vie, celle où il mise tout, comme un joueur de poker, sur une seule course. Cela fait beaucoup pour un seul film, d'autant que le rôle de l'épouse est loin d'être négligée (remarquable Penélope Cruz) et il n'est pas interdit de se demander quel est son véritable sujet. Et si c'était tout simplement de montrer que Ferrari était comme tout être humain, complexe et contradictoire, brillant en affaires et en communication mais tyrannique dans son comportement vis-à-vis de ses employés (dont ses pilotes) et de ses proches. Le portrait est fascinant bien qu'évidemment incomplet et pas mal incarné par Adam Driver, au patronyme prédestiné, bien qu'entendre le grand entrepreneur s'exprimer en anglais plutôt qu'en italien reste tout de même incongru.
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    42 abonnés 1 301 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Un très bon biopic réalisé par Michael Mann avec Adam Driver vachement impliqué et convaincant dans le rôle d'Enzo Ferrari.
    Fiers R.
    Fiers R.

    98 abonnés 423 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2024
    Michael Mann a sans doute été échaudé par les échecs plus ou moins cuisants de ces deux précédents films pourtant loin d’être déshonorants. Il y a eu le fameux « Public Enemies » que la critique avait mal reçu et qui n’a pas rencontré le succès escompté en salles puis le bide stratosphérique du pourtant très intéressant techno-thriller « Blackhat » (20 M$ de recettes mondiales pour un budget hors marketing de près de 100!). Le bonhomme s’était donc retiré des affaires pendant près d’une décennie si ce n’est la production de la série avortée « Tokyo Vice » dont il a réalisé le premier épisode pour HBO. Alors l’attente en valait-elle la chandelle? Oui et non.

    On ne peut pas dire que ce « Ferrari » soit un film immanquable ou même une oeuvre mémorable. On a même un peu de mal à y retrouver la patte de Mann à qui l’on doit quand même des monuments du septième art tels que « Heat » (dont la suite devrait être son prochain film) ou le magistral « Collateral ». Comme si le cinéaste semblait fatigué des expérimentations visuelles, il nous livre peut-être l’un de ses films les plus classiques formellement. Attention, la mise en scène est élégante et raffinée mais ne ressemble à rien à ce que l’on avait pu voir sur ces précédents films, que ce soit les bijoux cités plus haut ou même « Miami Vice » et le malaimé « Blackhat » donc. On retiendra tout de même l’accident final lors de mythique course des Mille milles qui coûta la vie à neuf personnes. Inattendu si on n’est pas au fait de cette tragédie, le moment est un choc aussi bref qu’intense.

    Mann a choisi de ne pas traiter « Ferrari » sous l’angle du biopic traditionnel puisqu’ici on entre juste dans la vie du fondateur de l’emblématique marque italienne le temps d’une année : 1957. Mais une année charnière car c’est celle ou l’écurie fait face à des problèmes de trésorerie, qu’Enzo Ferrari vient de perdre son fils d’une maladie rare et qu’il est partagé entre sa femme et sa maîtresse. Le scénario brosse donc un double combat (marital et dans les affaires) que ce film retrace adroitement mais sans la passion qu'on aurait aimé ressentir. Les deux heures du long-métrage sont bien remplies mais rares sont les fulgurances qui nous resteront en mémoire. Un peu comme le plus baroque « House of Gucci » qui peignait une autre illustre figure italienne l’an passé et déjà avec Adam Driver.

    Et encore une fois c’est le comédien qui tire le film vers le haut avec une composition tout en retenue mais pas pour autant à minorer. Il se glisse dans la peau du coureur devenu homme d’affaires avec l’agilité de comédien talentueux qu’on lui connaît. En face de lui, Pénélope Cruz gagne le match féminin aisément face à Shaileene Woodley, dans un rôle plus intéressant il faut l’avouer. Les joutes conjugales entre Cruz et Driver sont des moments tantôt amusants tantôt dramatiques mais souvent réussis tout comme le sont les séquences à la banque. « Ferrari » présente assez bien la dualité et les tourments qui animaient cet homme. En revanche, les scènes de courses sont correctes mais elles souffrent de la comparaison avec un autre film récent qui parlait de Ferrari et avec bien plus de panache : le fameux « Le Mans 66 » de James Mangold. Bref, le retour de Mann n’est pas aussi retentissant que prévu et on prendra ce « Ferrari » comme une séance d’entraînement.

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    Redzing
    Redzing

    1 118 abonnés 4 470 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 janvier 2024
    8 ans et demi. C'est le temps qu'il aura fallu attendre pour retrouver Michael Mann en salles, après le bancal "Blackhat", par ailleurs gros four au box office. Du moins là où je vis actuellement, car en France la sortie en salles de "Ferrari" ne semble même pas acquise à l'heure actuelle !
    Un projet de longue haleine pour le réalisateur, qui aurait pu/du se concrétiser dans les années 2010. On parlait à l'époque de Christian Bale dans le rôle titre (qui se vengera avec "Ford v. Ferrari" ?), puis Hugh Jackman (!). Finalement, le film sort en 2023, avec un budget confortable de 95 millions de dollars, et Adam Driver dans le rôle titre.
    Soyez prévenus, "Ferrari" n'a rien d'un biopic ou d'une success story sportive. On est à des années lumière de "Ford v. Ferrari", auquel il sera immanquablement comparé vu son sujet.
    C'est un drame familial intimiste sur une famille brisée. Enzo et sa femme font encore le deuil de leur fils, décédé l'année précédente. Enzo a un maîtresse et un autre fils, et se pose la question de le reconnaître officiellement. Et ses problèmes financiers vont secouer tout ça. La participation à la course Mille Miglia est finalement presque secondaire, à l'image des pilotes assez peu développés dans le récit.
    Par ailleurs, ce n'est pas une oeuvre calibrée pour le grand public. Pas de méchant. Même Maserati, un temps présenté comme pseudo antagoniste, est finalement complètement sous-employé. Pas de personnage vraiment attachant. Pas d'enjeu sportif sinon les tourments du couple principal, et, à la rigueur, la santé financière de l'entreprise. De quoi se mettre le box office à dos !
    Néanmoins tout est fait avec maîtrise et finesse. Les acteurs sont excellents, Adam Driver et Penelope Cruz en tête, qui forment un couple en lambeaux. La mise en scène est travaillée, dont de magnifiques séquences en voiture à travers l'Italie, surtout dans le dernier acte. Ainsi que quelques scènes très bien découpées (celle de l'église, notamment).
    Le scénario se focalise bien sur les tourments et contradictions d'Enzo Ferrari. Un homme exigeant, perfectionniste, mais dont la vie de famille part en morceaux. Un homme qui donne à son écurie une allure familiale, mais qui s'émeut peu de la mort de ses pilotes. Un homme à l'aura incroyable en Italie, ce qui lui confère des avantages mais peu aussi l'écraser.
    Par contre, je pointerai du doigt les séquences de crash, qui ne m'ont pas du tout convaincu, en autres par excès de CGI grossiers.
    spoiler: Le premier crash est très étrangement monté, on a l'impression qu'il manque la moitié des plans (pas d'impact du pilote au sol, son corps en l'air a l'air d'un mannequin numérique). Je comprends qu'il s'agit aussi de monter le détachement d'Enzo, mais tout de même, il m'a semblé voir deux scènes différentes en parallèle ! Quant au fameux crash de la Mille Miglia, la scènes est beaucoup trop numérisée pour être crédible. Dommage car l'idée de montrer la violence d'un crash de l'époque était salutaire.
    Naughty Doc
    Naughty Doc

    912 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 décembre 2023
    Après 9 ans de hiatus cinéma, (quasi) totalement conquis par ce retour de Michael Mann avec Ferrari !
    Mais là encore le grand public ne s'y retrouvera pas. Comme Ali, on est pas sur un biopic hagiographique tissant un destin factice, on se concentre sur le crépuscule d'Enzo Ferrari lors de l'été le plus important de sa vie.

    Étonnemment c'est ptet le film le plus intimiste de Mann, sous forme d'un requiem funèbre proche d'une tragédie grecque.
    Adam Driver et Penelope Cruz (encore une performance féminine folle cette année) sont géniaux, et le style visuel est assez surprenant quand on a eu 20 ans d'imagerie numérique à l'épaule avec Mann.
    Là il bosse avec le chef op' actuel de Fincher (Erik Messerschmidt) et les scènes de dialogue captent totalement l'ambiance d'époque en Emilia-Romania, tout en ayant un coté crepusculaire marqué (malgré qu'on soit en été). Loin de tout aspect glamourisant, les scenes de course sont cependant hyper dynamiques et immersives (un peu comme Ford v Ferrari mais en plus naturaliste)...bien que peu nombreuses sauf lors du climax où tout se joue.

    Mais point de film sportif ou triomphal, le focus est vraiment sur Enzo Ferrari, sorte de Parrain/Héphaistos de la mécanique sportive, dont la compagnie et la vie privée sont au bord du précipice, alors que le spectre métaphorique de la mort de son fils plane encore (tout comme le contexte d'après-guerre).

    Dès lors ce Ferrari est vraiment un drame intime qui ne prend pas le spectateur pour un idiot, sans manichéisme, mais avec un vrai coeur de conteur romantique derrière (l'Italie n'a pas été aussi bien filmée par un cinéaste américain depuis des lustres). On sent tout le travail de documentation et d'imprégnation de Mann, si bien qu'on oublie le léger accent même des acteurs anglophones du cast secondaire (Shailene Woodley ou Patrick Dempsey).

    Si il est étonnant que la performance de Cruz ne fasse pas plus de bruit, gros plaisir de voir que ce Parrain de Modena incarné par Driver est totalement dans la lignée archétypale du protagoniste chez Mann : solitaire, tiraillé entre un devoir professionnel (quasi religieux) et l'horizon fantasmé d'une échappatoire intime (comme McCauley, Crockett, Frank, Shiherlis, Hawkeye, Ali, Max..).
    Si je devais avoir une réserve c'est peut-être sur le fait que j'aurai aimé un film un peu plus long pour développer un peu plus quelques personnages des pilotes..mais bon visiblement ce n'est pas le but, Mann préférant l'intime à l'ampleur ici.

    Bref c'est vraiment très bon, meilleur (anti)biopic de l'année pour moi !


    (Et en plus Mann reutilise Sacrifice de Lisa Gerrard à un moment comme dans le chef-d'œuvre The Insider)
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