Mon compte
    Ferrari
    Note moyenne
    2,9
    1092 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Ferrari ?

    101 critiques spectateurs

    5
    2 critiques
    4
    14 critiques
    3
    47 critiques
    2
    26 critiques
    1
    9 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 mars 2024
    Curieux film : Mann sait filmer, les images et cadrages sont parfaits, la reconstitution réussie, les voitures superbes....mais on a du mal à se passionner pour cet épisode de la double vie de ce manager charismatique, autocrate et froid. Une réalisation glacée, comme son personnage principal. Sur la course automobile elle-même, on préférera Rush ou Le Mans 66.
    Xavier d
    Xavier d

    10 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mars 2024
    Intéressant sur le plan documentaire/historique. Manque de finesse dans la réalisation et le jeu des acteurs. Scenario qui manque de consistance. Etonnament décevant pour un film de Michael Mann.
    LeCritiqueur
    LeCritiqueur

    5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 mars 2024
    Un film long, qui auraient surement été meilleur si le mans 66 n'était pas sorti avant. On sent que le film prépare cet événement mais comme il a déjà été traité cinématographiquement avant, ça tourne en rond. Bien qu'il est intéressant de voir la "face caché" d'un homme comme Enzo Ferrari, un pionnier de l'automobile dont la vie n'est pourtant pas si glorieuse, je trouve son interprète très plat et il ne montre en rien la personnalité du vrai Enzo Ferrari connu pour être un homme à fort caractère.
    Sébastien Tibs
    Sébastien Tibs

    1 critique Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2024
    Pourquoi les derniers biopic qui sortent ne retrace qu'une si petite partie de la vie des personnages en question, comme celui que Bob Marley. Je pense que si on m'annonçait que ce genre de film durait plusieurs heures j'irais les regarder quand même vu l'importance de ces personnes sur leur époque. On ressort de ce film sans en savoir beaucoup plus sur Enzo Ferrari et son histoire, j'aurais certainement oublié avoir vu ce film d'ici quelque semaine vu sa banalité.
    Francesco31
    Francesco31

    12 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2024
    évidemment, c'est très bien mené, avec de gros moyens. Mais, parce qu'il y a un mais, ce film manque de chair, de densité. c'est fade. Peut être eu t'il fallu un acteur italien pour le rôle de Ferrari, qui lui aurait donné, ce supplément dême typiquement italien. Idem pour Penelope Cruz. Ces deux protagonistes principaux fon le job. Mais et ce mais fait, hélas, toute la différence. On imagine ce qu'u Tony Servillo aurait produit comme émotion retenue.
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 439 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mars 2024
    "Ferrari" de Michael Mann était un film attendu par une grosse partie des cinéphiles français. Malheureusement, ce fut une première déception à l'annonce de sa diffusion sur une plateforme de streaming, on s'attendait à voir ce gros projet au cinéma. Puis, par la suite, ce fut une seconde déception au visionnage du long-métrage, celui-ci ne remplissant clairement pas assez son contrat. L'idée d'un petit biopic sur un événement important de la vie de Ferrari, cela paraissait intéressant sur le papier. Le film allait pouvoir mélanger différents styles de genre, et il allait donc pouvoir être très instructif dans ce qu'il allait nous raconter. Mais finalement, ce mélange assez large entre le biopic, le film de course et le drame, c'est ce qui pose problème au projet dans sa globalité. Le film ne réussit pas à faire marier toutes ces facettes, les genres se mélangent et s'enchaînent assez mal au sein du récit. Globalement, une grosse majorité de l'histoire est concentrée sur les relations amoureuses de Ferrari, ce qui peut être intéressant, mais cela prend beaucoup trop de places. Les éléments plus en rapport avec la course sont trop laissés de côté, et dans l'ensemble, l'intrigue dramatique ne passionne pas vraiment. On finit assez rapidement par s'ennuyer, la mise en scène de Michael Mann n'étant pas très dynamique durant ces moments. Heureusement, s'il y a bien quelque chose qui rattrape grandement le tout dans cette première partie, c'est le casting. Ils sont tous très bons, mais je tire surtout mon chapeau au duo composé d'Adam Driver et de Penélope Cruz. Le premier est équipé d'un très bon maquillage, et il réussit à faire retranscrire la froideur de son personnage. Quant à cette dernière, elle est assez irrésistible, et même drôle par moments, de par ses mimiques et ses expressions. Ils rattrapent vraiment le tout, car ce qui nous est proposé pendant la grande majorité du film n'est pas suffisant. Par chance, le film se lâche beaucoup plus dans sa dernière partie, avec une scène de course assez bien filmée et intéressante. On aura même le droit à une séquence extrêmement choc, qui vaut clairement le détour et qui rattrape énormément de moments assez plats. Dans l'ensemble, le film est donc porté par une conclusion solide et un casting au petit oignon. Cependant, dans sa globalité, le tout reste quand même une déception, car on aurait vraiment pu espérer mieux pour celui-ci. Pour conclure, un film qui manque de quelque chose.
    Oni
    Oni

    20 abonnés 329 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mars 2024
    Ferrari : Quand la course devient personnelle

    Le film "Ferrari" est comme un pot-pourri culturel, avec des touches américaines, britanniques, italiennes, et même une pincée de chinoiseries qui ajoutent une saveur exotique. C'est comme si un plat de pâtes carbonara était servi avec un burger et du thé au jasmin, mais étrangement, ça fonctionne... un peu comme un smoothie improbable mais délicieusement surprenant.

    Michael Mann, le maestro des scènes choc et des enjeux dramatiques, nous offre un spectacle à couper le souffle. Il jongle avec les émotions comme un gamer maîtrise ses combos, nous plongeant dans un tourbillon d'action, de tension et de révélations. C'est du grand art, un peu comme si Spielberg rencontrait Tarantino dans un bar geek.

    Dans cette année charnière de 1957, Enzo Ferrari se retrouve dans une sacrée mouise. Entre les enjeux financiers de sa marque et les secrets de famille qui explosent comme des creepers dans Minecraft, il mise tout sur une seule carte, comme un joueur de poker face à un boss final. Mais Penélope Cruz, dans le rôle de la femme trompée, n'est pas là pour enfiler des perles. Elle incarne la vengeance avec la grâce d'une héroïne de manga qui dégaine son katana.

    La course de la Mille Miglia est le climax de ce film survitaminé, un peu comme le combat entre Goku et Freezer, mais avec des voitures lancées à pleine vitesse. On est au bord de notre siège, les ongles enfoncés dans l'accoudoir, attendant le dénouement comme un joueur de Fortnite attendant la mise à jour qui rééquilibrera les armes.

    "Ferrari" est un rollercoaster émotionnel qui vous laisse sur le cul, excusez mon français. C'est un mélange savamment dosé d'action, de drame familial et de culture geek, qui plaira aussi bien aux amateurs de voitures qu'aux fans de pop culture. Bref, un must-see pour tous les cinéphiles en quête d'adrénaline et de fun, même si vous ne savez pas ce que signifie "spoiler alert".

    Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
    Patrick s.
    Patrick s.

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2024
    On peut écrire le synopsis de ce film, sans même parler de voitures.qui ont ici un rôle secondaire.

    En 1957, un industriel est à la croisée des chemins :

    - économique : son entreprise est au bord de la faillite, il doit augmenter sa production et trouver des partenaires,
    - technique : il s'obstine dans des concepts dépassés face à la concurrence qui ne manque pas d'imagination et d'innovation,
    - sentimental : entre sa femme qui est aussi son associée, dont il a eu un fils, Dino, mort de maladie l'année d'avant à 24 ans, et sa maîtresse dont il a un jeune fils Piero. spoiler: Quel nom portera le jeune Piero, celui de son père ou celui de sa mère ?


    Car ce film est un coup de projecteur sur un bout de trajectoire d'Enzo Ferrari à une époque où tout ne vas pas pour le mieux pour lui et sa marque. Il ne produit pas assez pour payer le service courses et doit nouer un partenariat avec un grand constructeur qui s'occupera de la production, lui gardant la main sur la compétition. Ford ou Fiat ? Ses voitures de course sont rattrapées par la concurrence car il s'obstine avec une architecture à moteur avant face aux anglais ou allemands qui adoptent le moteur central et Jaguar vient de gagner les 24H du Mans grâce aux freins à disque. Ses pilotes se tuent sur ses voitures et il a une réputation de faiseur de veuves renforcée par le fait qu'après avoir perdu des amis en course il s'est bâti un mur d'indifférence. Un pilote mort le dimanche est remplacé par un autre dès le lundi, ce dont va bénéficier le coureur De Portago. spoiler: Et voilà que son épouse Paula découvre sa liaison et son fils caché avec Lina Lardi. Le petit Piero (aujourd'hui âgé de 78 ans et vice-président de Ferrari)  s'appellera-t-il Lardi ou Ferrari ?


    Les voitures et la tragique course des Mille Miglia ne servent ici que de toile de fond et on s'attachera d'abord aux personnages tous magnifiquement joués : l'industriel et ses tourments, sa femme, sa maîtresse et leur rivalité, le rôle des mères, son premier fils mort, son deuxième qui veut suivre ses traces, les pilotes de l'époque qui prennent tous les risques, les starlettes qui les entourent, le public friand de ces courses sur routes ouvertes devenues beaucoup trop dangereuses, la mort qui rôde à chaque instant ...
    sebastien p.
    sebastien p.

    6 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2024
    Adam Driver est impeccable dans ce rôle et la manière de filmer de Michael Mann est toujours aussi belle
    BEN
    BEN

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2024
    La prestation des acteurs est parfaite, Adam Driver endosse le costume du "Commendatore" de façon très crédible, Penelope Cruz est sensationnelle comme toujours. Les scènes de crash en courses sont stupéfiantes de réalisme, même si des courses, on en voit très peu... Michael Mann a fait du bon travail, le film est réalisé de main de maître. Le seul regret qu'on puisse avoir, c'est que le film ne traite que d'un court moment de la vie d'Enzo Ferrari, qui aurait mérité un biopic plus complet à la mesure de sa légende !
    Giorgio G.
    Giorgio G.

    3 abonnés 24 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 mars 2024
    A ne pas croire que Mann ait pu tourner un film tellement nul. Dejà le choix de l'anglais pour une histoire si italienne annonce la cata. Le reste suit, personne ne se sauve, surtout pas Adam Driver ni Penelope Cruz qui campent mal des personnages cyniques et inventés. Ni un scenario bâclé et sans âme et des dialogues d'une banalité infinie. Même pas les reprise des courses son acceptables. . 2 heures d'ennui profond, hollywood dans ce qu 'il ya de pire.
    fan_de-cinoche
    fan_de-cinoche

    19 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 mars 2024
    Comment dire...
    J'ai bien tenu 10 mn, en me forçant.
    Adam Driver et sa perruque blanche... 🤣😂
    Enzo Ferrari qui conduit une 403... 🥹
    Une 403 dont les pneus crissent au démarrage et qui fait le bruit d'une Alfa...😁🤣😂
    Dans la rue, plein de voitures toutes plus propres les unes que les autres... 🥱
    Et tous ces Italiens qui parlent tous anglais entre eux (sauf la foule derrière)... mais avec un accent italien (ou espagnol)... 😤😡
    Ah oui, mais j'avais pas vu ! Réal : Michael Mann, roi de l'esbrouffe et du grand n'importe quoi...
    Stanlay
    Stanlay

    16 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mars 2024
    A la fin du film, je me suis demandé si j'ai regardé un film tellement que ça ne raconte rien. Un Documentaire sur Enzo Ferrari à propos de cette période aurait eu plus de profondeur. Ce film ne raconte rien. Il raconte l'histoire d'une course qui semble avoir marqué l'histoire de Ferrari (pas tellement d'enzo quand on regarde le film car son intérêt pour cet évenement dure 2 min), et en parallèle, sa double histoire avec une autre femme. Même pour l'histoire "perso", ca ne raconte rien. On voit juste une penelope qui fait la femme de caractère (caricatural ?) et de l'autre coté, une femme de "maison", et une histoire d'héritier qui n'a aucune profondeur.
    Puis les effets spéciaux sont indignes, même ceux des films des années 80-90 sont mieux réalisés.
    Enfin le seul point positif de ce film : les courses et les décors que j'ai adoré

    Pour détailler d'avantage en spoiler :
    spoiler: Le coté "course" est typique du mans 66. L'entreprise ferrari mise tout sur une course, et là il y a un drame. La narration n'arrive pas à mettre en valeur l'importance de cette course. L'aspect pilote souffre des mêmes lacunes. On ne sent pas la sauce monter dans la narration. Il essaie d'apporter de la profondeur au pilote (celui qui va avoir l'accident), de tenter de faire un lien avec un Ferrari qui a été décrit comme froid lors du précédent accident. Mais ça ne prend pas. La course arrive, l'accident arrive, conséquence ? deux minutes d'Enzo dans son garage et puis on tourne la page et on retourne sur son histoire de c*l. Pourquoi raconter un tel évenement et le vendre comme si c'était un simple retard sur le rer b ? Le coté "histoire d'amour", on se fait chier. On a une penelope qui fait la femme italienne de caractère qui souffre de la perte de son enfant et de ne pas avoir réussi à lui donner un héritier (bon le truc qu'on a vu 1000 fois), et Enzo qui va tomber amoureux d'une femme plus jeune qui lui donné un héritier. Voila, rien de spécial, aucun moment fort, rien d'original. Sans connaitre l'histoire d'Enzo Ferrari, on voit le truc arriver ...
    Kverketo
    Kverketo

    10 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2024
    Ce film se distingue par sa réalisation visuelle impeccable : une image soignée et une lumière délicate qui ravissent la rétine. Cependant, malgré ces qualités esthétiques indéniables, le film peine à établir une connexion émotionnelle profonde avec le spectateur. Le personnage d'Enzo Ferrari, malgré une interprétation solide, semble manquer de profondeur émotionnelle, laissant le public en retrait, observateur plutôt que participant. Le scénario, quant à lui, semble flotter sans ancrage clair, naviguant à travers une trame narrative qui frôle la monotonie sans jamais vraiment plonger dans l'âme torturée de Ferrari. Cette absence de dynamique émotionnelle transforme l'expérience en une observation distante, où même les performances louables ne parviennent pas à susciter l'engagement. En fin de compte, le spectateur se retrouve perplexe, se demandant ce qui s'est réellement déroulé à l'écran, et ce, malgré une esthétique visuelle séduisante.
    François Huzar
    François Huzar

    8 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2024
    L a critique complète du Huzar sur le toit : https://lehuzarsurletoit.substack.com/p/ferrari-le-destin-dun-divus

    Avec ce biopic, Michael Mann file la métaphore divine et transforme Enzo Ferrari en figure digne de la mythologique antique. (...) Alors que les spectateurs croulent sous un amoncellement de biopics, que peut bien apporter le vétéran Michael Mann ?
    D’abord, sa mise en scène qui n’a rien perdu de sa précision. Epaulé par son chef opérateur Erik Messerschmidt, le cinéaste de 81 ans réussit à rendre palpable la vibration sonore et visuelle des courses automobiles. Le film est tourné dans des décors authentiques (la province italienne de Modène) et les scènes intimes sont cadrées comme des toiles du Caravage.
    Surtout, en se plongeant avec passion dans ce projet qui mature depuis les années 1990, Mann a su trouver l’angle lui permettant d’élever son film au-dessus de la simple chronique biographique.
    (...) Devant la caméra de Michael Mann, Enzo Ferrari acquiert une dimension quasi-mythologique. Comme si sa quête de la vitesse, pour laquelle il estime que ses pilotes doivent être prêts à mourir, l’élevait au-dessus du commun des mortels.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top