Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Culturopoing.com
par Pierig Leray
"Ferrari" est une œuvre soufflée par la mort et l’absence, où le cœur de sa réussite naît de l’intime (la relation avec sa femme Laura, et son fils Pietro) et non de la pétulance d’une mise en scène économe et franchement bouleversante de maîtrise, une tragédie sans larmes, une inémotivité salvatrice.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Parisien
par Pauline Conradsson
Disponible sur la plate-forme d’Amazon ce vendredi 8 mars, ce film autour de la personnalité fascinante et atypique d’Enzo Ferrari est une pure réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le film biographique d’Enzo Ferrari par Michael Mann n’est peut-être pas celui que tout le monde attendait. Il n’en reste pas moins un beau geste de cinéma classique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Antoine Desrues
Dans ce faux biopic aux accents tragiques purement manniens, "Ferrari" trouve son moteur dans sa surprenante morbidité. Un film étrange, mais passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
L’alternance des météores mécaniques et des scènes intimes est un poil répétitive, voire longuette. Mais oublions : le seul spectacle des vroum-vroums est hautement jouissif, et on admire Penélope Cruz, dont le feu intérieur vaut bien celui des bolides rouge sang.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Cheveux blanchis, lunettes de soleil, silhouette haute, Adam Driver, 38 ans – vingt de moins que son personnage –, compose un Enzo Ferrari sobre, inébranlable dans ses choix, orgueilleux et résolu.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Pierre de Gasquet
Loin de l'exercice conventionnel, Michael Mann signe un film intense sur le drame familial méconnu derrière le « miracle Ferrari », avec une des scènes d'accident parmi les plus terribles de l'histoire du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé Loisirs
par Aubéry Mallet
[...] ce film [...] s'épanche plus sur le privé que sur la célèbre écurie. Mais la course finale en est le point culminant, magnifiée par une mise en scène bluffante.
Critikat.com
par Clément Colliaux
Mann revient aux affaires avec un film étrangement dévitalisé mais cohérent, qui délaisse l'horizon de la vitesse pour dresser un portrait mortifère et hanté du "commandatore" Ferrari.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
De la vie d’Enzo Ferrari, fondateur de la mythique marque automobile, Michael Mann tire un drame crépusculaire, raté autant que réussi.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Soyons honnête, nous n’avons pas toujours été passionné par les tourments du dandy adultérin, même si la patte élégante et fluide du cinéaste se reconnaît aisément, au gré de décors atypiques aux couleurs méditerranéennes. En tout cas pas un Michael Mann qu’on avale pied au plancher.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Et c’est finalement toute la difficulté de ce film, tantôt somptueux, tantôt hideux, cherchant à déconstruire un mythe tout en gardant une pointe d’humanité. Un long-métrage autant raté que réussi.
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Ferrari est un film classieux qui n'a pas le moteur pour devenir un classique. Le film d'un réalisateur à l'image de l'homme qu'il raconte ; un homme capable de tout piloter depuis son écurie, mais dont les folles années au volant semblent désormais derrière lui. Il y a toujours quelque chose de grand chez Michael Mann, mais on commence à croire qu'il arrive au bout de sa course.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Première
par Frédéric Foubert
En racontant Enzo Ferrari, Michael Mann repeint son romantisme aux couleurs d’un mélo méditerranéen, dans un film au classicisme élégant, mais qui fait regretter le cinéaste défricheur qu’on aime tant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
par Didier Péron
Evidemment vu l’incomparable maestria de Mann et sa cohérence filée depuis ses tout débuts à la télé avec notamment la série Miami Vice [...], "Ferrari" captive, déçoit et interroge du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Mais à multiplier les faux départs, passant sans cesse entre les coulisses des courses et les alcôves intimes chaotiques du "Commendatore", on cale en chemin : le frisson du circuit tant espéré est resté au stand.
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
De retour, Michael Mann surprend tant son Ferrari patine, lui qu’on ne savait pas capable d’aussi peu d’âme et de finesse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
"Ferrari" est une œuvre soufflée par la mort et l’absence, où le cœur de sa réussite naît de l’intime (la relation avec sa femme Laura, et son fils Pietro) et non de la pétulance d’une mise en scène économe et franchement bouleversante de maîtrise, une tragédie sans larmes, une inémotivité salvatrice.
Le Parisien
Disponible sur la plate-forme d’Amazon ce vendredi 8 mars, ce film autour de la personnalité fascinante et atypique d’Enzo Ferrari est une pure réussite.
CinemaTeaser
Le film biographique d’Enzo Ferrari par Michael Mann n’est peut-être pas celui que tout le monde attendait. Il n’en reste pas moins un beau geste de cinéma classique.
Ecran Large
Dans ce faux biopic aux accents tragiques purement manniens, "Ferrari" trouve son moteur dans sa surprenante morbidité. Un film étrange, mais passionnant.
L'Obs
L’alternance des météores mécaniques et des scènes intimes est un poil répétitive, voire longuette. Mais oublions : le seul spectacle des vroum-vroums est hautement jouissif, et on admire Penélope Cruz, dont le feu intérieur vaut bien celui des bolides rouge sang.
Le Point
Cheveux blanchis, lunettes de soleil, silhouette haute, Adam Driver, 38 ans – vingt de moins que son personnage –, compose un Enzo Ferrari sobre, inébranlable dans ses choix, orgueilleux et résolu.
Les Echos
Loin de l'exercice conventionnel, Michael Mann signe un film intense sur le drame familial méconnu derrière le « miracle Ferrari », avec une des scènes d'accident parmi les plus terribles de l'histoire du cinéma.
Télé Loisirs
[...] ce film [...] s'épanche plus sur le privé que sur la célèbre écurie. Mais la course finale en est le point culminant, magnifiée par une mise en scène bluffante.
Critikat.com
Mann revient aux affaires avec un film étrangement dévitalisé mais cohérent, qui délaisse l'horizon de la vitesse pour dresser un portrait mortifère et hanté du "commandatore" Ferrari.
Dernières Nouvelles d'Alsace
De la vie d’Enzo Ferrari, fondateur de la mythique marque automobile, Michael Mann tire un drame crépusculaire, raté autant que réussi.
La Voix du Nord
Soyons honnête, nous n’avons pas toujours été passionné par les tourments du dandy adultérin, même si la patte élégante et fluide du cinéaste se reconnaît aisément, au gré de décors atypiques aux couleurs méditerranéennes. En tout cas pas un Michael Mann qu’on avale pied au plancher.
Le Dauphiné Libéré
Et c’est finalement toute la difficulté de ce film, tantôt somptueux, tantôt hideux, cherchant à déconstruire un mythe tout en gardant une pointe d’humanité. Un long-métrage autant raté que réussi.
Le Journal du Geek
Ferrari est un film classieux qui n'a pas le moteur pour devenir un classique. Le film d'un réalisateur à l'image de l'homme qu'il raconte ; un homme capable de tout piloter depuis son écurie, mais dont les folles années au volant semblent désormais derrière lui. Il y a toujours quelque chose de grand chez Michael Mann, mais on commence à croire qu'il arrive au bout de sa course.
Première
En racontant Enzo Ferrari, Michael Mann repeint son romantisme aux couleurs d’un mélo méditerranéen, dans un film au classicisme élégant, mais qui fait regretter le cinéaste défricheur qu’on aime tant.
Libération
Evidemment vu l’incomparable maestria de Mann et sa cohérence filée depuis ses tout débuts à la télé avec notamment la série Miami Vice [...], "Ferrari" captive, déçoit et interroge du début à la fin.
Télé 7 Jours
Mais à multiplier les faux départs, passant sans cesse entre les coulisses des courses et les alcôves intimes chaotiques du "Commendatore", on cale en chemin : le frisson du circuit tant espéré est resté au stand.
aVoir-aLire.com
De retour, Michael Mann surprend tant son Ferrari patine, lui qu’on ne savait pas capable d’aussi peu d’âme et de finesse.