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GabbaGabbaHey
205 abonnés
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1,0
Publiée le 11 avril 2011
Si l'actrice principale est particulierement jolie, le film est lui tres vilain, et celle-ci ne parvient pas a le rendre meilleur... On est bien dans la lignée de "Vixen" et "Super Vixens" mais en encore plus tordu. Cette épisode de la saga tente d'avoir une histoire encore plus que les autres, il commence d'ailleurs par une affligeante scene de torture, puis ensuite de meurtre d'un étrange sosie d'Adolf Hitler, avec en prime une narratrice toute nue dans un arbre qui tente en vain d'essayer de donner du sens aux images que Russ Meyer nous inflige. Une sacré drôle d'expérience inutile, mais mine de rien assez marquante !
Je n'aime pas mettre cette note... Mais là vraiment on atteint les bas-fonds du cinéma. C'est pas un film érotique ça, c'est un film de beauf. Tout est cru, tout est de mauvais gout. Si c'est supposé être une comédie, c'est vraiment un humour de beauf aussi... Genre mettre comiquement un viol et en rire ? On est d'accord qu'il y a un problème là non ? Y a pas une seule bonne idée, toute la réalisation est digne d'un amateur. Puis bon au point où on en est, l'histoire est vraiment pas interessante non plus, les acteurs sont nazes, les plans sont foirés,... Je n'arrive pas à comprendre dans quel contexte on regarde ce genre de film.
Les films de Russ Meyer sont connus pour leurs personnages féminins aux formes généreuses et pour leurs tripotées de mâles bien approvisionnés. "Megavixens" ne fait pas exception à la règle : à partir de postulats loufoques (un sosie d'Hitler dévoré par un pirhana dans son bain, etc...), le réalisateur use de plans et de sons bien trouvés qui détournent les clichés habituels des films porno des 70's et ne lésine pas sur la débilité de ses personnages. Au final, on obtient un film qui conserve une certaine réputation, qui se place complètement en marge du cinéma classique, et qui fait souvent sourir.
Quand on s'attaque à un film de Russ Meyer il est important, voire primordial de se faire une idée de ce que l'on va voir, en l'occurrence: du sexe, un esprit complètement irrévérencieux fait pour choquer des USA profondément puritains et surtout, plein de gros nichons. Meyer s'étant fait le roi de la focalisation mammaire. Il y a eu des films érotiques teintés d'une certaines poésie, je pense notamment à «Emmanuelle» de Just Jaeckin sorti en juin 1974. Avec Meyer, pas de poésie, c'est franc du collier et sans concessions, la couleur est annoncée dès le début, les scènes de sexe se suivent (d'ailleurs certaines ont lieu plusieurs fois) et honnêtement, on lorgne plus du coté de la pornographie que de l'érotisme mais les ébats sexuels des protagonistes ne sont pas montrés de manière bien explicite donc impossible de parler de film X. Mais nous sommes bien loin d'un banal conte de fée. Je parlais de gros nichons, vous savez quoi ? L'héroïne de ce "Megavixens" a elle aussi une poitrine des plus généreuses et à tendance, ce qui ne gâche rien vous en conviendrez, à ne jamais refuser une petite partie de jambes en l'air. C'est du Russ Meyer quoi.
Megavixens reprend les paysage de Vixen, les forêts américaines, mais avec des gonzesses différentes. Raven de la Croix possède une paire de nibards complètement hallucinants, et Janet Wood (Alice, alias Eva Brown Jr) est vraiment parfaite. Bref, un nudies qui n'a d'autre intérêt que ses énormes seins et son intrigue WTF assumée. La nouveauté avec Megavixens, c'est que l'on voit aussi des foufes, qui jusque là étaient resté plutôt cachées. La réalisation de Russ Meyer est plutôt bonne, et on notera l'utilisation cartoonesque de la post-synchro. Bref, Megavixens est à voir pour terminer la série, si on l'a commencé...
Tellement + fin que tant de films d'aujourd'hui , ne ratez pas ce film ultra-actuel ainsi que génial et jouissif de ce génie infiniment sous-estimé & qui pourtant ( et heureusement ) n'a rien à voir avec - par exemple - Tarantino ou D. Fincher !
Le chevauchement des walkyries. Et pourtant, il vous aura prévenus... Ceci n'est pas un conte de fées...malgré la présence, à l'arrière-plan, du château de Neuschwanstein, ayant inspiré aux studios Disney celui de la Belle au bois dormant. L'iconoclaste Russ Meyer nous conte les galipettes d'un cheptel de nymphomanes en rut. Celui qui veut à tout prix trouver un scénario, dans ce film qui est un véritable kaléidoscope kitsch, sera plus frustré qu'un puceau en soif de chattes... Les autres apprécieront les allusions à des monuments tels que "Massacre à la tronçonneuse", "Psychose", "Citizen Kane" avec le "Rosebud" tatoué à un endroit coquin,... Troisième volet de la tétralogie "Vixens" ( précédé d'un nouveau superlatif, à l'image de ces mégafuries), Meyer a toujours aimé lancer un pavé dans la mare de cette Amérique puritaine. Son mérite est d'avoir conceptualisé sur grand écran l’imagination débridée d'un tas de fantasmeurs nocturnes, jouant aux prudes une fois que Morphée semble partie...alors qu'ils seront les premiers jouisseurs de cette orgie filmée au grand air. Merci à la chaîne arte pour sa programmation osée ( même si très tardive) et vive la libération sexuelle !
Ah, Russ Meyer! Il faut adhérer aux délire érotiques du monsieur! Admirateur devant l'éternel de créatures 'mammairement intelligentes', il en use et en abuse, ici comme dans tous ses films. C'est à voir comme une parodie, et comme un hommage aux pin-ups rock'n roll et peu farouches des années 50. Il n'y a rien à en attendre de plus... Mais on n'en attend rien de plus non plus!
Bon, ben Hitler est bi, il se fait sauvagement assasiné. Qui est l'assassin parmi tout les obsédés qui ne pensent qu'à faire l'amour avec tout les personnages rencontrés ? Encore une fois, on est chez Russ Meyer, les hommes sont des choses exploitées sexuellement par des nymphos. Elles ont une poitrine surdimensionnées, et ils ont un sexe idem. Bref, pas le meilleur de Meyer. Même si l'humour est toujours présent pour ne pas tomber le porno, l'histoire est trop mini pour s'intéresser aux personnages.
Le troisième volet des vixens est complètement nul mais en même temps pas désagréable. L'histoire mélange tout et n'importe quoi: sexe, gros seins, services secrets, déesse grecque, violence , nazisme(!) descendance cachée d'Hitler(!!). Elle est d'un certain mauvais goût à montrer des personnages obsédés par le sexe enquêter(vaguement) sur la mort d'un sosie homosexuel d'Hitler. Les acteurs ne savent pas jouer mais bon fallait s'y attendre. Comme d'habitude chez Russ Meyer, c'est monté n'importe comment. Pourtant, comme pour "Supervixens", le film s'avère plutôt réjouissant et sympa à regarder (au second degré).
Un film invraisemblable... Les ingrédients habituels des films de Russ Meyer sont bien présents, mais ce coup-ci, la sauce ne prend pas. Une musique omniprésente et éprouvante, des scènes de violences peu convaincantes (à noter une scène limite gore surprenante), un montage toujours aussi approximatif, des longueurs inutiles, des scènes de sexe ennuyeuses, innombrables et interminables, des répétitions, un scénario complètement débile,... Du Russ Meyer, vous me direz, mais là c'est trop, malgré la sympathie qu'on peut avoir pour le réalisateur. "Up!" (ou "Megavixens"), ou : "Courons tout nus dans la nature", ou encore : "Faisons l'amour dans la nature". Combien de fois en effet voit-on les actrices courir à poil dans la nature (toujours le même spot, visiblement) et combien de scènes de sexe dans l'eau, sur un tronc d'arbre, dans l'herbe,... Ceci dit, quelques bonnes trouvailles au niveau des prises de vue, et quelques bons gags visuels et sonores. Les filles sont jolies, mais cela ne suffit pas pour faire un bon film. On regrette quand même "Supervixens", c'est dire.