Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Demooniac
4 abonnés
16 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 31 août 2017
Summertime est un doux voyage, qui nous emmène de Rome à San Francisco, Cuba et New York. Matilda Lutz, dont la beauté n'est pas sans rappeler son aînée Monica Bellucci, se révèle peu à peu pour devenir irrésistible. On se prend d'amitié pour cette joyeuse bande, qui a décidé de vivre pleinement l'instant présent, le temps d'une saison, dans une ville où tous les rêves sont permis. Ce film est une ode à la jeunesse et à l'été, la saison où tout semble possible, où les sentiments sont décuplés et s'entremêlent, où le train-train de la vie quotidienne laisse place à des possibilités infinies. On sort de là avec la mélancolie d'un mois de septembre pluvieux, mais avec des rêves pleins la tête.
super moment !!! on se laisse embarquer avec plaisir dans cette rencontre de quatre personnes qui vont apprendre à se connaître et passer de superbes moments ensemble et finir par s adorer le temps d un été personnellement ça ma rappelé certains souvenirs ( séjours en famille d accueil aux usa quand j'étais ado ) aller ..... bon film
ce film leger et delicat nous invite a la reflexion du bienfaits des rencontres des vacances d 'été qui peut influencer sur notre parcours de vie. par contre la lenteur appelle la lenteur ainsi que des longueurs dans le scenario.
C’est un joli film. Plein de douceur et de bienveillance. Un film frais pour cette fin d’été. Allez le voir il est rafraîchissant et nous rappelle ces rencontres fortuites que nous faisons tous l’espace d’un instant.
Film ennuyeux, pleins de stéréotypes nian nian. J'ai pas tenu jusqu'à la fin. L'histoire du couple homo est touchante. À la limite si vous voulez un pote homophobe ça lui fera du bien. C'est le seul truc bien que j'ai trouvé au film.
Gabriele Muccino pose un vrai problème aux cinéphiles et cela ne date pas d'hier. Il y a chez lui cette volonté de donner des leçons de vie en épousant une morale souvent conservatrice, le tout dans des histoires sentimentales qui font plus que dépasser les frontières de la mièvrerie. En même temps, ses films ne manquent pas de charme même s'ils sont la plupart du temps agaçants par leurs partis-pris. Summertime possède des caractéristiques similaires et aurait pu adopter des titres antérieurs de la carrière du réalisateur : Souviens-toi de moi ou Juste un baiser, par exemple. Ou il aurait pu emprunter celui d'un joli film, italien, lui aussi : L'été où j'ai grandi. L'histoire de Summertime prend deux jeunes romains à l'âge des possibles et les envoie faire leur éducation sentimentale à San Francisco, présentée façon carte postale comme la cité de l'hédonisme et de la tolérance. Voire. Tout ce qui se passe à Frisco, cette sorte de ménage à 4 est moyennement crédible et d'un romantisme forcé. Les relations entre les 4 principaux protagonistes a quelque chose d'artificiel et de psychologiquement creux (et son insistance à paraître absolument gay friendly est irritante) mais une fois encore Muccino désarçonne par une candeur et un enthousiasme authentiques pour décrire ces vies qui peuvent se déterminer en un seul été. La mélancolie dessinée par les dernières images touche malgré tout même si, dans l'ensemble, le film ne parvient guère à transporter.
voyage pseudo iniatique qui me convainc pas . la relation intense semble factice et trop rapide avec les protogoniste. faire la fête de souler pour s ouvrir aux autres et à ne vie nouvelle c'est un peu trop.
" summertime " est une comédie romantique qui se regarde comme une bonne guimauve. En effet j'ai pris beaucoup de plaisir à suivre ce film plein de fraîcheur et bons sentiments qui est une agréable douceur en cette période estivale.
Je recommande tout spécialement cette excellente comédie dramatique italienne qui se passe entre Rome, San Francisco, Cuba et New York. L'histoire cependant se passe en très grande partie à San Francisco. C'est un petit bijou ce film. C'est à la fois frais, léger, sérieux, romantique et dramatique. Cette histoire est bien croquée, bien traitée et nous enchante.
Un film plein de bons sentiments, frais et agréable à regarder, mais hélas tout semble un peu survolé pour que l'émotion soit au rendez-vous. Un bon petit divertissement à voir tout de même !
A la vision de certains long-métrages, et ils sont assez rares, on rêverait d’être à la place des protagonistes ou mieux, avec eux. Vivre ce qu’ils vivent, partager leurs moments et faire partie intégrante de leur aventure humaine. Ce sont surtout des films qui s’inscrivent dans la réalité, faits d’instants volés, des films qui croquent la vie et qui nous permettent de nous en évader. « Summertime » est clairement de ceux-là. A la sortie de la projection, on a l’agréable sentiment d’avoir passé des vacances avec les personnages, d’avoir vécu le temps d’un film un mois de moments en apesanteur et que le temps s’est arrêté une fraction de seconde pour que l’on puisse vivre un doux songe. Quand les lumières se rallument on a envie que ça continue et on se retrouve face à la réalité, agrémentée d’un léger sentiment de nostalgie qui nous rend cafardeux. Comme au lendemain d’une belle fête en quelque sorte !
Pour tout dire, on est content du retour de Gabriele Muccino dans son Italie natale car ses films y sont bien meilleurs que lors de son exil outre-Atlantique. On se rappelle au bon souvenir de « Juste un baiser » et sa suite « Encore un baiser », chroniques italiennes pur jus, romantiques et passionnées, sur des trentenaires en crise. Bien mieux que ces films beaucoup trop sucrés qu’ont été « A la recherche du bonheur » ou les restés inédits mais pourtant all stars « Le Coach » et « Père et fille » tournés à Hollywood. Ici, la production est italienne mais le film se situe en grande partie aux Etats-Unis, ce film permettant au cinéaste un pont entre les deux pays. On y suit deux adolescents partis passer leur été à San Fransisco et accueilli par un couple de jeunes gays. Une fille, trois garçons, autant de possibilités… On n’est pas vraiment dans une bluette sentimentale trop sucrée au point d’être écœurante mais plutôt dans la chronique pleine de justesse d’un été pas comme les autres.
Le film passe à une vitesse folle et on redemanderait. La caméra de Muccino sait se faire aérienne et se situe bien loin de fictions romantiques platement filmées. On a même droit à un long flash-back qui éclaire bien la psychologie de deux des personnages et les emmène loin des clichés inhérents aux gays. Un quatuor auquel on s’attache véritablement, en essayant de deviner ce qui va se passer entre eux et avec quelle combinaison. Mais on apprécie que tout cela reste réaliste et terre à terre, juste une période magique, une parenthèse enchantée pour quatre personnes qui vont s’apprivoiser et apprendre à s’aimer. On aime aussi que la conclusion soit plus amère que prévue mais au final bien plus perspicace qu’à l’accoutumée. Les acteurs sont épatants de naturel et en symbiose parfaite. Ce n’est peut-être pas un chef-d’œuvre mais certainement le film le plus doux et rafraîchissant de cet été. Une véritable bulle de bonheur qui ne demande qu’à être consommée.
Ce film est une belle tranche de vie, de vie heureuse, de l'insouciance ... je le recommande à ceux qui ne sont pas encore trop frustrés ou névrosés car vous allez adorer. Les autres évitez votre vie est déjà nul, cela ne sert à rien de vous le rappeler ... ou alors vous allez avoir un déclic.