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Le réalisateur Gabriele Muccino sait parler de l’amour avec détachement et presque avec un regard analytique qu’il pose cette fois-ci sur une joyeuse bande en pleine interrogation.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Une fois les archétypes un peu simplistes posés, le film s'en affranchit progressivement pour dessiner une carte de Tendre à la fois contemporaine et intemporelle. Une éducation amoureuse avec apprentissage de la tolérance et acceptation de ses sentiments, certes consensuelle, mais moins naïve et plus acide qu'à première vue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Gabriele Muccino poursuit sur sa lancée, avec ce goût pour regarder de près la sensibilité de la jeune génération, en la confrontant ici à l’homosexualité. Et il suffit, là encore, de juste un baiser pour tout changer…
Le talent prometteur qui signa jadis "Comme toi..." et "Juste un baiser" réunit le pire de ses expériences américaine ("Sept vies") et italienne ("Encore un baiser") en un mélo sirupeux digne d'une saison d'"Amour, gloire et beauté".
Elle
Une jolie surprise de l'été.
Rolling Stone
Le réalisateur Gabriele Muccino sait parler de l’amour avec détachement et presque avec un regard analytique qu’il pose cette fois-ci sur une joyeuse bande en pleine interrogation.
Télé 2 semaines
Une ode à l'insouciance et aux sentiments.
Femme Actuelle
Une jolie et légère bluette estivale.
L'Express
Le cinéaste transalpin Gabriele Muccino fait de nouveau preuve d'un indéniable humanisme.
L'Obs
Une fois les archétypes un peu simplistes posés, le film s'en affranchit progressivement pour dessiner une carte de Tendre à la fois contemporaine et intemporelle. Une éducation amoureuse avec apprentissage de la tolérance et acceptation de ses sentiments, certes consensuelle, mais moins naïve et plus acide qu'à première vue.
Le Dauphiné Libéré
Gabriele Muccino poursuit sur sa lancée, avec ce goût pour regarder de près la sensibilité de la jeune génération, en la confrontant ici à l’homosexualité. Et il suffit, là encore, de juste un baiser pour tout changer…
Les Fiches du Cinéma
Le réalisateur d’“À la recherche du bonheur” cimule les clichés dans une œuvre calibrée pour la saison.
Le Monde
Si Summertime se regarde plaisamment, le film aurait pourtant gagné à ciseler sa gravité plutôt qu’à parfaire sa carte postale aseptisée.
Ouest France
Une jolie carte postale qui peine à diffuser un quelconque charme.
Le Journal du Dimanche
Une sorte de "Jules et Jim" à quatre, mièvre et raté.
Positif
Le talent prometteur qui signa jadis "Comme toi..." et "Juste un baiser" réunit le pire de ses expériences américaine ("Sept vies") et italienne ("Encore un baiser") en un mélo sirupeux digne d'une saison d'"Amour, gloire et beauté".