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lionelb30
448 abonnés
2 610 critiques
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3,0
Publiée le 12 août 2019
Biopic pas ininterressant car pas filme ou retranscrit par le prisme hollywoodien , ce qui donne un cote plus reel du quotidien de cette femme et de cette histoire. Mais pas non plus le film de l'annee.
Biographie au ton volontairement mélancolique et désabusé, qui souffre surtout d'être trop centrée sur son personnage principal et de ne pas s'intéresser plus aux conséquences de ses actions, histoire de mieux saisir l'intérêt de cette arnaque qui aura duré deux ans. En tout cas, Melissa McCarthy est loin d'être maladroite dans cet exercice, apportant beaucoup de sensibilité à son personnage, ce qui compensera d'une certaine façon le très grand classicisme du film, qui ne se démarque pas de la production courante du genre, même s'il joue bien la partition de l'émotion.
Les faussaires de Manhattan retrace l’authentique histoire de Lee Israel, petite bonne femme qui a connu dans le passé un certain succès dans l’écriture de biographies des grandes figures du féminisme américain , aujourd’hui oubliée, seule, sans charme et fauchée , portée sur le whisky, aimable comme une porte de prison, elle découvre un peu par hasard, l’engouement d’un certain milieu de collectionneurs pour les lettres autographes…ayant un certain talent pour entrer dans le style des autres, elle se met à fabriquer des faux littéraires (lettres de Dorothy Parker, Noël Coward, Ernest Hemingway, etc.) qu’elle vend aux négociants abusés…aidée par un petit escroc je-m’en-foutiste, homosexuel un peu anar, tout aussi solitaire , caustique et fauché qu’elle…le couple retrouve une certaine aisance jusqu’au moment où son commerce va susciter la curiosité de FBI… C’est un film qui vaut avant tout pour le formidable duo qui réunit une comédienne populaire américaine, Melissa McCarthy et un acteur britannique d’expérience Richard E. Grant…c’est un film d’arnaque, mais cette fois, l’arnaqueuse est une femme…C’est un film à l’humour doux amer, relativement sombre, au propre comme au figuré, tourné dans un New York gris et hivernal…Il y a coté Woody Allen dans cette vision du New York des milieux littéraires avec quelques bons classiques de jazz en fond sonore…Pour ce film qu’elle m’aurait pas du faire à l’origine, Mélissa Mc McCarthy a été nommée comme meilleure actrice aux Oscars et aux BAFTA Awards et Richard E. Grant comme meilleur acteur dans un second rôle sans que ni l’une ni l’autre ne soient retenus…C’est un film plaisant, magnifiques portraits de deux loosers dans le New York des années 1990…que l’on regarde sans déplaisir…
New York filmé avec une rare intensité, comme la vie de l'héroïne (fabuleuse comédienne) écrivain sans publication qui se décide d'écrire de fausses lettres (tellement vraie) qu'elle y gagne bien sa vie . elle se lie d'amitié avec un gigolo gay sur le retour, tableur et beta . la réalisation soignée , sincère attentive aux détails, nous fait vivre avec un humour décalé le cheminement de ces deux êtres un peu déboussolés par l'alcool. un film beau comme l'ivresse de la littérature.
Les deux acteurs principaux livrent des prestations époustouflantes et si le film est quelque peu académique, leur travail élève le matériau de départ vers des sommets d'émotion et d'authenticité.
Une histoire vraie plutôt originale teintée d'esprit, d'humour et de littérature. Mais un film triste et désenchanté, sur des vies un peu pathétiques, entre dépression et alcoolisme, escroqueries et misère sociale et affective. Sans misérabilisme mais surplombé d'une grisaille constante, l'ensemble parvient néanmoins à susciter l'émotion par surprise et s'avère une proposition intéressante.
ce film est tirée d'une histoire vraie méconnue du grand public et qui pourtant et plutôt très intéressantes et je pense que c'est aussi pour ça qu'il a et ait adapter au cinéma pour raconter cette histoire. Un film qui contient des scène àssez cocasse mais au du suspence car on ce demande jusqu'où cela va mener héroïne principal et tous ce qu'il va ce passer . et puis il y a des des scène de retournement de situation qui sont assez innatendue . Mélissa mccarthy et très convaincante dans ce rôle qui lui va très bien à jouer et prouve une nouvelle fois qu'elle n'est pas que une actrice de comédie qu'elle peux également tous jouer. Ce film est maîtrisé, captivant et j'ai été touchée par cette femme intelligente mais pauvre et malheureuse.Ce film n'est pas du tout glamour certes mais on s'en fiche car il raconte une histoire très intéressante et le film est vraiment bien réalisé et interprété. ce film qui nous livre beaucoup d'émotions pour les personnage et lhisoitre et les événement qui y sont raconter .
Quel bon film ! Scénario original et apparemment tiré d'une histoire vraie. C'est drôle et émouvant. Les acteurs sont formidables. Une jolie réflexion sur la solitude aussi. Une belle surprise de l'été
Sans être un grand film, la trajectoire atypique de Lee Israel est captivante. L’histoire d’une arnaque à la fois douce et amère, orchestrée par une auteure qui, enfermée dans sa rage et sa solitude, refuse d’abdiquer. Dans un registre autrement plus sombre et dramatique qu’à l’accoutumée, le jeu de Melissa McCarthy gagne en grandeur et en vaillance. Ses échanges alcoolisés avec l’excellent et indiscipliné Richard E. Grant sont pour le moins savoureux.
Lee Israël, auteure solitaire de biographies qui ne se vendent plus, amatrice de Whisky au parler caustique et au look négligé, vit à Manhattan avec son chat. Elle peine à payer ses factures et son loyer. Lors d’une sortie au bar elle fait la connaissance d’un dandy dealer Jack Hock. Dans les mêmes temps, elle découvre par hasard une lettre d’un écrivain dans un roman emprunté à la bibliothèque. L’idée de rédiger de fausses lettres d’écrivains célèbres fait son chemin, Jack Hock l’accompagne dans cette entreprise.
J’ai aimé beaucoup de choses dans cette histoire inspirée du livre de la vraie Lee Israël, que Marielle Heller prend le temps de raconter :
La photographie de New-York, l’ambiance des milieux littéraires et des librairies/bibliothèques des années 90 à New York décrite de façon corrosive et réaliste, l’amitié atypique entre les deux héros et les dialogues ciselés sur mesure pour les acteurs, excellents.
J’ai surtout été très touchée par les portraits de ces anti-héros « antisociaux », ces laissés pour compte d’un système dont ils sont des contre-modèles à tous les niveaux. Ils restent malgré tout éminemment sympathiques. Leur sens de l’humour et de la dérision les maintient dans une dignité qui les hisse au-delà de la misère les menaçant à chaque instant.
Je me souviendrai un bon moment de Melissa Mc Carthy et Richard E. Grant dans la peau de Lee et de Jack.
On veut tout savoir comme précision sur ces faits divers vérifiés, eh c’est révélateur d’un excellent film chez les faussaires New-Yorkais, avec le rôle principal tenu par Mélissa McCarthy, ce sera glamour je vous jure sur la tête, une top modèle si si rigole bien devant cette histoire méticuleuse à Manhattan, son film le plus dramatique et le moins drôle, ahah haha..... Du faux du faux faux, de l’arnaque et des contrefaçons copieurs non autorisés de célèbres, les montagnes d’or arrivent à rouler, avec l’aide précieuse d’ami ami tragédien, pourrait t’on la pardonner telle est la question posée ? Une fois que le FBI eu fait le nécessaire détection anti-escroquerie perfectionnement signature.
Les auteurs majestés volés peuvent enfin poursuivre les actions en justice pour tous, mise sur la touche et touché non mais dira t’on oui par la grâce de cette fin de partie de presse révélation.
L'étoile est pour le formidable Grant, mise en scène poussive et scolaire. Très décevant. ah ! 100 caractères minimum ? pour dire quoi d'un film inconsistant !
Pour les amoureux d'un certain New-York, pour les amoureux d'une certaine littérature américaine méconnue sous nos tropiques (cf. le titre français/titre anglais). Les autres se demanderont peut-être ce qu'ils font dans la salle, sauf si elle est climatisée. Et peut-être s'ouvriront-ils à cette littérature-là et à ce New-York-là.