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    Les Faussaires de Manhattan
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    zorro50
    zorro50

    118 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 juillet 2019
    C'est un film ni mauvais ni bon. Melissa McCarthy dans un rôle ni comique, ni sympathique, pour un film tiré d’une histoire vraie ni exaltante, ni admissible dont on a hâte de voir la fin. Un film poussif et un peu trop long qui reste malgré tout pas trop mal et très bien interprété surtout par Melissa McCarthy pour un rôle de composition à l’opposé de tout ce qu’elle avait fait jusqu’ici, donc ne vous attendez pas à ce qu'elle vous fasse rire
    Hannoy
    Hannoy

    25 abonnés 305 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2019
    Le principal problème du film reste que l'histoire abordée, même si véritable, n'est pas spécialement intéresse. Le traitement reste malgré tout correct grâce à une chouette actrice.
    Marika1004
    Marika1004

    18 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mai 2019
    film qui se regarde tres bien. tres bons acteurs. film i nspiré d'une histoire vraie. assez sympa même si personnages totalement aigris de la vie 😀
    FaRem
    FaRem

    8 844 abonnés 9 664 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 février 2019
    Après avoir adapté le roman graphique de Phoebe Gloeckner pour son premier film, Marielle Heller s'intéresse aux mémoires Lee Israel, une auteure américaine qui après l'essoufflement de sa carrière de biographe a commencé à falsifier des lettres d'écrivains et d'acteurs décédés pour pouvoir vivre. Si vous ne connaissez pas l'histoire de cette femme, ce qui était mon cas, et que vous n'avez pas lu le synopsis, ce qui était également mon cas, il se peut que vous vous posiez des questions sur la nature de cette histoire qui débute lentement. La réalisatrice prend son temps pour arriver au moment où Lee n'a plus d'autre choix que de faire ça pour vivre. Elle dresse le portrait d'une femme peu aimable qui d'une certaine façon en est là uniquement par sa faute. Elle perd son travail à cause de son mauvais caractère et elle ne parvient plus à vendre ce qu'elle écrit, car cela n'intéresse plus et qu'elle n'a pas assez joué le jeu du métier lorsqu'elle était davantage renommée. Une mise en place lente, mais nécessaire pour donner du crédit à tout ce qui se passe. Par la suite, le ton change avec l'histoire qui passe du drame à quelque chose de plus proche du thriller, car ce qu'elle fait est risqué et que chaque vente à son petit côté stressant. Et au milieu de tout ça, il y a une amitié étonnante qui vraiment apporte beaucoup au récit. Ce qui est très réussi dans ce film, c'est d'être parvenu à rendre Lee Israel touchante et même attachante malgré son caractère peu facile. En fait, c'est une personne entière qui veut faire ce qu'elle aime faire et qui est frappée par la solitude, ce qui l'oblige à faire des choses illégales. Honnêtement, je ne suis pas un grand fan de Melissa McCarthy et si ça avait été encore l'une de ses énièmes comédies, je n'aurais même pas regardé ce film seulement là, je dois avouer qu'elle m'a agréablement surpris. Elle est excellente dans ce rôle, tout comme Richard E. Grant d'ailleurs, et leur duo fonctionne à merveille. À travers ce parcours aussi chaotique que surprenant, on nous parle de solitude et de cette société qui isole les gens. C'est autant léger et amusant que mélancolique et émouvant. Un bon mélange en somme qui donne très bon film.
    Caine78
    Caine78

    6 830 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2019
    Inspiré d'une histoire vraie dont j'ignorais totalement l'existence, « Les Faussaires de Manhattan » offre une peinture intéressante du milieu littéraire new-yorkais, dans lequel on se plonge avec un réel plaisir, que ce soit par le talent des auteurs évoqués que par la manière dont il est abordé, à savoir une escroquerie littéraire presque improvisée, plutôt bien pensée, menée par une héroïne attachante car justement volontiers asociale et à la répartie particulièrement cinglante. Interprétée avec implication par une Melissa McCarthy s'éloignant enfin de ses comédies épaisses, ce personnage donne un certain charme à une œuvre quelque peu classique et n'évitant pas un léger sentiment de répétition, pas mal secondée par celui interprété par Richard E. Grant, en faisant un peu trop, mais avec talent, ce qui passe toujours mieux. Mention spéciale également à la très touchante Dolly Wells en bibliothécaire timide et amoureuse, les quelques second rôles étant globalement croqués avec goût. Vous dire que j'en suis sorti des étoiles pleins les yeux serait mentir, mais cet étonnant fait divers, raconté sans lourdeur inutile, mérite qu'on y jette un coup d'œil.
    Jorik V
    Jorik V

    1 282 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2020
    Cette œuvre au goût un peu passéiste et hors du temps et à l’image volontairement vieillotte bénéficie d’un atout majeur qui fait beaucoup dans le plaisir qu’on peut avoir à la regarder. Effectivement, « Les Faussaires de Manhattan » peut compter sur un formidable duo d’acteurs qui incarne à merveille les deux passionnants personnages hauts en couleurs de cette histoire vraie. Le récit de cette arnaque littéraire n’est certes pas impressionnant ni extraordinaire sur le papier (une écrivaine ratée se met à faire des faux de la correspondance de personnalités du passé pour les vendre à des magasins spécialisés et des collectionneurs), pas plus qu’elle l’est en pratique sur le grand écran. Il est clair que ce n’est forcément pas aussi spectaculaire qu’un casse de banque ou un vol de bijoux. Mais la personnalité de cette Lee Israel, femme misanthrope et antipathique, le contexte dans lequel elle évolue et sa rencontre avec Jake Hock font tout le sel du film. L’intérêt est donc ailleurs et l’entourloupe n’est qu’une toile de fond à une étude de caractère doublée d’une étude relationnelle.



    Marielle Heller a misé sur un scénario écrit avec soin où la psychologie du personnage principal est bien fouillée. Elle se dessine doucement, par petites touches, jamais tirée à gros traits. Au point que cette personne ne devienne pas désagréable mais que le spectateur va même jusqu’à éprouver une certaine empathie pour elle. Melissa McCarthy, dans un contre-emploi parfait, excelle en peau de vache solitaire au fort caractère qui rejette son mal-être sur les autres et la société. Son comparse Richard E. Grant est tout aussi excellent en vieux gay désœuvré sur le retour. Un duo mémorable pour un long-métrage à la fois triste et drôle sans que l’humour prenne le pas sur le drame et inversement et qui passe à une vitesse folle tant on s’attache à ces personnages.



    Il se dégage une étrange et certaine nostalgie dans « Les Faussaires de Manhattan », comme le souvenir d’une époque révolue où ordinateurs et cellulaires n’avaient pas encore montré le bout de leur nez. La peinture d’un New York automnal et hivernal est enrobée d’un charme suranné, renforcé par le jazz en fond sonore. Ce qui étonne ici c’est que rien d’extraordinaire ne nous est raconté, c’est la peinture d’une solitude, d’une rancœur et d’une vie ratée mais racontée de manière sobre et attachante qui rend toute cette histoire anecdotique intéressante. Il n’y a vraiment rien à jeter, c’est juste très classique et certes pas inoubliable. Mais le rythme, l’interprétation et un côté suranné font de ce petit film profondément attachant un petit plaisir de cinéma tout fait respectable.



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    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 208 abonnés 4 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2021
    Ceux qui sont nostalgiques de la magie qui se dégageait des films new-yorkais du Woody Allen des années 1970 et 1980 ne trouvent désormais que rarement de quoi les réjouir auprès d’un réalisateur vieillissant, souvent obligé de s’exiler hors des Etats-Unis pour trouver à financer ses projets depuis qu’il est devenu persona non grata en son pays pour les tristes raisons que l’on connaît. C’est Marielle Heller, jeune actrice devenue réalisatrice qui en un seul film a repris le flambeau, parvenant avec l’adaptation du livre de souvenirs de Lee Israel (« Can you ever forgive me ? ») à recréer trait pour trait l’ambiance si particulière qui émanait du New York fantasmé des films de l’acteur/réalisateur névrosé quand il était à son meilleur. Lee Israel, juive comme Woody Allen, a rédigé quelques biographies d’actrices et de personnalités ainsi que des articles connexes dans des revues et journaux au cours des années 1970 à 80. spoiler: Son activité déclinant, elle a eu recours à la falsification de correspondances d’écrivains et d’acteurs décédés qu’elle revendait à des collectionneurs pour subvenir à ses besoins. L’arnaque ira jusqu’au vol de vraies lettres dans différentes bibliothèques. Le subterfuge sera bien sûr découvert et Lee Israel condamnée à ne plus exercer sa profession après une assignation à résidence. Ce n’est qu’en 2008, alors âgée de bientôt soixante-dix ans qu’elle rédigera ses mémoires
    . Parcours singulier autant qu’attachant d’une femme en marge et sans concession devant composer avec son alcoolisme tout en tentant de survivre dans un New York où il ne fait pas bon être sans revenu. Sur le feu depuis 2011, le sujet plutôt savoureux et iconoclaste était initialement tout autrement embarqué pour son adaptation cinématographique. La scénariste et réalisatrice Nicole Holofcener devait en effet diriger Julianne Moore et Sam Rockwell dans les deux rôles principaux. Les désaccords créatifs entre Holofcener et Julianne Moore changèrent radicalement la donne. Melissa McCarthy, actrice comique au talent jusqu’alors sous-employé incarnera donc Lee Israel sous la direction de Marielle Heller avec Richard E. Grant dans le rôle de l’ami homosexuel de l’écrivaine. Si les bouleversements sont quelquefois un handicap quant à l’équilibre d’une production, il faut reconnaître qu’ils ont sans doute été salutaires dans ce cas précis, permettant à Melissa McCarthy de trouver le rôle qui révélera toute l’étendue de son registre. Assez peu connue en Europe, elle donne toute sa dimension à cette femme enfermée dans ses certitudes qui a fini à force d’intransigeance et de muflerie par faire le vide autour d’elle. Difficile sans aucun doute de rendre immédiatement attachante miss Israel qui choisit l’affrontement et l’isolement plutôt que d’accepter un peu des contraintes d’un milieu très codifié dont elle connaît pourtant les ressorts. Le scénario de Nicole Holofcener ajouté à l’interprétation toute en nuance de Melissa McCarthy va progressivement amadouer un spectateur sans doute peu enclin à l’empathie. Une transition qui s’opère un peu à la manière dont James L Brooks et Jack Nicholson avaient opéré dans « Pour le meilleur et pour le pire » (1997) mais sans aucun doute avec une plus grande véracité et surtout avec une nuance accentuée. Dans un New York comme on aime l’imaginer, on se laisse donc happer par le parcours insolite de cette femme entre deux âges qui grâce à la fréquentation opportune d’un homosexuel fantasque, campé par le formidable Richard E. Grant, se découvre une empathie qu’elle feignait de ne pas voir, enfermée qu’elle était dans sa rancœur d’écrivaine frustrée. Un film qui réchauffe le cœur et nous fait espérer qu’un nouveau Woody Allen pouvant être une femme se promène sans doute dans le New York de ce nouveau siècle si mal engagé.
    islander29
    islander29

    879 abonnés 2 381 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2021
    Une histoire vraie interprétée par des acteurs peu connus en Europe, du moins......Le film est plutôt émouvant, et sans concession sur les écrivains...L'actrice principale, écrivain ratée ???? arrondit ses fins de mois en inventant de fausses lettres de correspondance de gens connus ou disparus...Une Faussaire quoi ! C'est bien interprété, avec des rôles secondaires attachants et des vues new yorkaises très esthétiques;. Quelle ville quand même, Le film se passe dans les années 90 ??? et c'est plutôt bien traduits dans les intérieurs d'appartement comme dans les vues de boutiques, principalement des librairies, des bibliothèques;....Il y a un savoir faire romantique indéniable, et une émotion permanente dans cette histoire que j'ai pris plaisir suivre;. Je conseille
    PLR
    PLR

    472 abonnés 1 573 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 août 2019
    Les histoires vraies apportent souvent de l'originalité à un scénario, surtout si on n'a jamais entendu parler de l'affaire. Le spectateur se laissera donc porter et guider par cette faussaire (faussaires au pluriel si on inclut son complice). Le scénario aborde quelques références littéraires qui certainement feront défaut aux spectateurs d'ici, sauf s'ils sont férus de littérature américaine. On pourra faire sans même si probablement ça en enlève pas mal.
    Hotinhere
    Hotinhere

    578 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 octobre 2020
    Tirée d'une histoire vraie, une comédie d'escroc brillante et pleine de charme, à l'atmosphère fascinante, sublimée par des acteurs formidables, notamment l'étonnante et touchante Melissa McCarthy.
    Alasky
    Alasky

    362 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mars 2020
    Manhattan tout de littérature vêtue, on va de lettres en lettres sous la plume de Lee Israel. Melissa McCarthy nous prouve qu'elle est une bonne actrice. Toutefois l'histoire n'est en rien très captivante, le ton et l'ambiance sont monotones et je me suis ennuyée tout le long..
    brianpatrick
    brianpatrick

    86 abonnés 1 621 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2024
    L'adaptation d'une histoire vraie. Une histoire qui semble même être banale à New york. L'histoire d'une écrivaine sans le sou et qui possède le syndrome de Florence. C'est un très bon film. Une histoire intéressante.
    mazou31
    mazou31

    99 abonnés 1 288 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2020
    Comédie (?) douce amère américaine réussie qui se base sur l’histoire vraie d’une auteure à succès rendue à la page blanche. Et il faut bien vivre, donc elle monte une arnaque qui ne durera pas hélas. C’est bien joué, avec des dialogues réjouissants, mais sur une cadence un peu molle. Le psycholoie des personnages, solitaires et endurcis par la vie, est bien approfondie et beaucoup de passage font penser aux films de Woody Allen. New York, éclairages, dialogues, jazz (sublime)… mais ce n’est pas du Woody Allen. Ou alors un de ses petits. Mais tout ça fait un bon film à voir.
    jaja77
    jaja77

    61 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2019
    un bon petit film avec l'actrice principale superbe en interprétant l'arnaqueuse. un bon petit moment en salle bien que parfois cela soit un peu lent.
    Cinememories
    Cinememories

    489 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2020
    L’œuvre nominé aux oscars a mis du temps avant d’atterrir sur le territoire français, mais nous y voilà. Après le surprenant « The Diary of a Teenage Girl », Marielle Heller nous plonge dans un grand New York, trop grand pour ses personnages et une héroïne qui trouve ironiquement la rédemption dans l’illégalité. Elle se lance également dans un exercice de style qui ne mise pas tout sur un aspect technique en particulier. Elle cherche avant tout à mettre en relief cette femme, dont la malice lui procurera satisfaction et une identité, malgré les sujets abordés. C’est en la propulsant, du fin fond du gouffre, qu’on y distingue à la fois son impact sur une société avide de ragots et les dégâts qu’elle cause, rien qu’en s’appropriant une notoriété qui la dépasse.

    Lee Israel (Melissa McCarthy) file droit devant, mais avec de nombreuses hésitations. Elle se questionne sur sa chute et en même temps sur les réponses qu’elle donnera au succès, celui qu’elle a perdu et qu’elle n’a jamais vraiment pu atteindre. Son intelligence et son talent font qu’elle puise dans l’usurpation d’identité pour en oublier ses dettes et sa détresse. En vivant dans un appartement en pagaille, rien de va pour elle, mais elle finit par se défaire de ses chaînes. Elle se découvre plus d’espaces que prévu au cœur d’une ville qui n’arrête pas d’étouffer ses protagonistes entre deux buildings. Il ne faut pourtant pas y voir un exemple, mais cette persévérance a de quoi nourrir le portrait d’une faussaire alcoolique. De ce côté-là, on y trouve de la pertinence, mais elle ne sera jamais suffisante pour meubler l’ensemble d’une œuvre qui s’endort plus vite qu’il ne transcende.

    Le récit tourne en rond et se fige dans le jeu qu’il s’est fixé. Bien que l’on recherche une certaine authenticité dans l’affaire, rien n’empêche la tentative d’arnaque d’être avortée. Et il est d’ailleurs navrant de trouver plus d’empathie pour ce Jack Hock (Richard E. Grant), vagabond et ami fidèle au plus offrande. Il ne cesse d’apparaitre comme un pilier de l’humanité, qui repousse les limites et emmène justement Lee dans son univers, où l’excès est le mot clé. Il aura beau être maladroit, il n’en demeure pas moins touchant et plus réconfortant que l’anti-héroïne qui stagne de plus en plus, une fois son stratagème mis en place. Le tout manque cruellement de rythme et ne sert pas comme il faut un personnage sans doute plus sombre que complexe. Malheureusement, ce désir de se démarquer finit par trahir lâchement toutes les ambitions des intéressées.

    L’association des deux gangsters modernes auraient mérité un meilleur traitement, car malgré les prouesses des comédiens, le film restera anecdotique. Cette lettre d’amour littéraire passe ainsi à côté de son sujet, quand bien même elle préfère exploiter la fresque de la tristesse humaine. Sans les bons enjeux et les profondeurs qui doivent nous captiver, « Les Faussaires de Manhattan » (Can You Ever Forgive Me ?) reste finalement trop longtemps dans les mêmes rayons. Au bout d’un moment, il faut tourner la page.
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