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Votre avis sur Close Range ?
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Yannickcinéphile
Pour ma part je trouve que le duo Florentine-Adkins est le meilleur en matière de DTV d’action de ces dernières années. En général ce n’est pas du grand cinéma, mais c’est roublard, nerveux, percutant, comme on aime ce genre de films en somme !
Ici le scénario est en effet réduit à sa portion congrue. Des méchants, des otages, une maison, un vengeur, et de la baston, beaucoup de baston ! L’histoire est donc banale, les personnages pas vraiment dégrossis, même si certains sont un peu plus fins qu’attendus, mais clairement ce n’est pas ce qui a préoccupé Florentine, qui a tout misé sur l’action et le rythme. Là-dessus aucun souci, Close Range est un concentré de nervosité, et on ne s’ennuie pas une seconde pendant 1 heure 20, même si, pour être honnête, je trouvais que Ninja 2 par exemple avec un petit fond d’histoire, était préférable.
Le casting est emmené par le dynamique Scott Adkins, qui sans très bien jouer encore une fois assure au moins à fond dans les cascades en tout genre. Une vraie pile électrique ! Il est épaulé par des acteurs moins connus, mais on reconnaitra quand même Nick Chinlund, au rôle assez intéressant, tandis que pour le reste les interprètes se contentent d’endosser des personnages assez banals, et le font avec des interprétations moyennes.
Sur la forme on saluera encore une fois le travail remarquable de Florentine sur l’action ! Les scènes sont d’une lisibilité incroyable, elles sont violentes, ultra-spectaculaires, faites à l’ancienne, et c’est réellement filmé avec maitrise. On sent le spécialiste du genre, lequel mériterait de sortir un peu des DTV pour obtenir un projet plus ambitieux au cinéma, car il est brillant dans ce registre. Après on pourra apprécier aussi l’ambiance western et le côté plus trash que de coutume de ce DTV. Lequel dispose aussi d’une bande son efficace.
En conclusion Close Range c’est du film de baston pur et dur, à l’ancienne, sans concession, sans vraiment d’histoire mais fait pour ravir les amateurs du genre. Florentine ne s’embarrasse pas du superflu, et cette efficacité directe, devenue sa marque de fabrique me fait plaisir. Un peu en-dessous cependant de Ninja 2. 3.5.
Ici le scénario est en effet réduit à sa portion congrue. Des méchants, des otages, une maison, un vengeur, et de la baston, beaucoup de baston ! L’histoire est donc banale, les personnages pas vraiment dégrossis, même si certains sont un peu plus fins qu’attendus, mais clairement ce n’est pas ce qui a préoccupé Florentine, qui a tout misé sur l’action et le rythme. Là-dessus aucun souci, Close Range est un concentré de nervosité, et on ne s’ennuie pas une seconde pendant 1 heure 20, même si, pour être honnête, je trouvais que Ninja 2 par exemple avec un petit fond d’histoire, était préférable.
Le casting est emmené par le dynamique Scott Adkins, qui sans très bien jouer encore une fois assure au moins à fond dans les cascades en tout genre. Une vraie pile électrique ! Il est épaulé par des acteurs moins connus, mais on reconnaitra quand même Nick Chinlund, au rôle assez intéressant, tandis que pour le reste les interprètes se contentent d’endosser des personnages assez banals, et le font avec des interprétations moyennes.
Sur la forme on saluera encore une fois le travail remarquable de Florentine sur l’action ! Les scènes sont d’une lisibilité incroyable, elles sont violentes, ultra-spectaculaires, faites à l’ancienne, et c’est réellement filmé avec maitrise. On sent le spécialiste du genre, lequel mériterait de sortir un peu des DTV pour obtenir un projet plus ambitieux au cinéma, car il est brillant dans ce registre. Après on pourra apprécier aussi l’ambiance western et le côté plus trash que de coutume de ce DTV. Lequel dispose aussi d’une bande son efficace.
En conclusion Close Range c’est du film de baston pur et dur, à l’ancienne, sans concession, sans vraiment d’histoire mais fait pour ravir les amateurs du genre. Florentine ne s’embarrasse pas du superflu, et cette efficacité directe, devenue sa marque de fabrique me fait plaisir. Un peu en-dessous cependant de Ninja 2. 3.5.
FaRem
Nouvelle collaboration entre Isaac Florentine et Scott Adkins après Ninja 1&2, Undisputed, etc, pour un film qui est à l'image de la plupart des DTV de ce dernier, c'est-à-dire, ce n'est pas du grand cinéma, mais ça se laisse regarder pour passer le temps. Le scénario du film n'est pas très épais, on a l'impression que tout ce qu'on voit pendant 80 minutes pourrait correspondre au gros final d'un autre film seulement le réalisateur étire en longueur l'idée de départ tout en parvenant à justement éviter ces longueurs grâce à un bon rythme, beaucoup de bastons, de bonnes scènes de gunfights et un impeccable Scott Adkins qui est à l'aise dans ce genre de rôle ce qui rend le tout assez divertissant même si une fois de plus, l'histoire aurait pu être un peu plus développée.
Dans le flot des sorties direct-to-DVD, il y a toujours le film bien bourrin où un acteur ex-champion de boxe/arts martiaux/MMA/catch (au choix) se sert de ses connaissances en combats pour incarner un personnage qui tatane à tout va ses adversaires dans le but de sauver la veuve et l'orphelin. Dans ce cas précis c'est Scott Adkins, ex-champion d'arts martiaux britannique rendu célèbre par son rôle dans ''Undisputed'', qui s'y colle. Au programme une heure vingt-cinq d'action où les combats à mains nues et les fusillades alternent, le tout sur une intrigue des plus simplistes et à la conclusion des plus prévisibles. On ne va pas se cacher que si vous cherchez autre chose qu'un divertissement facile, vous allez être sacrément déçu tant ce long-métrage, qui tient d'ailleurs plus du téléfilm, n'est rien d'autre qu'un produit industriel insipide d'Hollywood de plus qui ne sert qu'à alimenter le marché du divertissement à peu de frais. L'interprétation est au mieux passable, les séquences d'actions vues mille fois et l'histoire pompée sur les milliers de films d'action creux qui finissent en promotion dès leur sortie dans les bacs de DVD. Alors, on ne s'ennuie pas non plus, mais le niveau de concentration nécessaire à sa visualisation n'est pas non plus très élevé. À voir pour les fans indécrottables du genre ou ceux de l'acteur, le reste du public pourra tranquillement continuer sa vie en ignorant l'existence de ce nanar.
En général, je ne suis pas fan de ce que fait Isaac Florentine et ce depuis Le Dernier des Dragons avec Dolph Lundgren en 1998. En plus, le mec est passé par Power Rangers mais bon. Qui n'a pas de casseroles ? Au moins, pour Close Range, l'aspect le plus réussi : ce sont les combats. Florentine est lui-même pratiquant d'arts martiaux. Ça se voit. Les bastons sont bien chorégraphiées. Les empoignades sont bien filmées. Ce n'est pas du tout illisible pourtant l'habituelle tare de bien de DTV actuels. Adkins mouille le maillot. Si je ne vais pas disserter pendant quatre pages sur son jeu d'acteur et l'unique expression de son visage qu'il arbore tout le long du film, il n'y va pas avec le dos de la cuillère à pot. Ses dévissages de nuques sont même comparables à celles du Steven Seagal de la grande époque. Période Under Siege et même un peu avant. Bon si les bourre-pifs et autres fusillades (où Florentine se permet même de se la jouer John Woo du pauvre) sont passables, tout le reste est pas loin d'être nul. En plus de pas avoir les sous pour varier un peu les décors (tout se passe dans une maison ou aux abords), la production n'en avait pas non plus assez pour payer des scénaristes histoire d’étoffer un peu l'histoire. Car, tenez-vous bien, on a : l'habituel soldat de retour d'Irak (ok, d'habitude, c'est l'Afghanistan) qui se retrouve à devoir protéger sa sœur et sa nièce prises en chasse par des trafiquants de drogue mexicains tous doublés par une caricature de Michel Leeb ! Car c'est bien connu, tous les trafiquants de drogue sont soient mexicains soient colombiens. Mais bon, là ils sont mexicains. Et le chef des trafiquants est ultra-énervé ! Et pour cause, Adkins leur a volé une clé USB comportant des infos compromettantes (des numéros de comptes en banque, les adresses des planques). Clé qu'il a volé sur le cadavre du fils du chef des trafiquants ! Et attention, il n'a pas eu à longtemps la chercher. La clé était autour de son cou ! Du coup, cette petite armée va tout faire pour la récupérer. Sauf qu'évidemment, dans les (mauvais) films d'action, les méchants même à dix contre un ratent toujours le gentil qui est tout seul. Car le flic qui aurait pu l'aider est évidemment corrompu. Le gentil, lui, non seulement est très fort mais en plus n'éprouve jamais le besoin de recharger son arme. Les méchants non plus d'ailleurs. Du coup, ça tire de partout. Ça fait du bruit mais ce n'est pas très efficace. Comme pan-pan pendant une heure trente, c'était peut-être pousser le bouchon un peu trop loin Maurice, Florentine a inséré une pseudo ambiance western. Sauf qu'on est plus proche d'un épisode de Walker Texas Ranger ou Le Rebelle que d'un vrai western. Au moins, Florentine sait ce qu'il doit bosser pour l'avenir. J'ai envie de l'encourager comme un prof encouragerait un élève ayant des capacités techniques mais se contentant du minimum du minimum.
Pas de surprise dans cette séance de tir aux pigeons. Le début présage pourtant quelque chose d'intéressant, mais la suite s'avére bien maigrichonne côté scénario avec beaucoup de scènes répétitives ou longuettes, Cependant comme on a vu pire dans le genre, on se montrera généreux dans la notation, enfin façon de parler. Si on aime l'action par dessus tout et en dépit du raisonnable, on peut se lancer.
Un Pizza Movie comme on les aime bien ; ça cannarde du début jusqu'à la fin.
Des milliers de balles tirées, le héros n'est jamais blessé, mais les méchants tombent comme des mouches. Sans parler des bagarres au corps à corps.
Un film à voir lors d'une tempête de neige et qu'on ne peut aller nulle part.
Des milliers de balles tirées, le héros n'est jamais blessé, mais les méchants tombent comme des mouches. Sans parler des bagarres au corps à corps.
Un film à voir lors d'une tempête de neige et qu'on ne peut aller nulle part.
« Close Range » vient grossir la liste des navets qu’il faut impérativement éviter. C’est très difficile de ne pas être trop dur avec ce type de film. Il n’y a rien. Le scénario est vide, l’intrigue est convenue à l’extrême. Les dialogues et le jeu d’acteurs sont réduits à leur plus simple expression. On pourra juste se réjouir des performances de Scott Adkins qui n’a plus besoin de prouver qu’il est un acteur aux capacités physiques des plus sérieuses. Il lui manque juste un vrai rôle. Avec « Close Rage « , c’est un coup d’épée dans l’eau …
Dik ap Prale
On rentre vite dans le sujet et comme toujours, le duo Adkins-Florentine casse la baraque. Fin d'introduction et d'embobinement, la sauce ne prend pas. Cinq minutes ponctionnées pour nous présenter toute la petite bande mexicaine qui va se faire idéalement tataner, et autant d'inutilité, de limites de production pour attenter à cette ardeur de départ. Reste du grand Adkins comme toujours.
Pas du grand art, pourtant ça démarre bien,de bonnes scènes de bastons, d'action.... Rien de plus. Un manque cruel de scénario, peu de suspens. On sait déjà que les méchants vont se faire éclater. Au fur et à mesure que le film avance, il baisse en intensité. Malgré tout ça reste divertissant.
film assez sympa. bonnes scènes de combats. une histoire prenante, et un bon Scott Adkin. pas son meilleur film mais vaut le coup d'être vu. 4/5
on va pas se faire mal aux neurone avec ce film.... Faut le regarder au second degré , voir plus.... Schéma bien connu du
spoiler:
héro qui a fauté dans l'armé et vient à la rescousse d'une nièce enlevée ,en l'occurrence ici par un cartel mexicain.
... Il est bien sûr surentrainé et spoiler: vient à bout de toute une clique de mexicains
.... des mecs si cons qu'ils parlent entre eux avec un accent mexicain... Les armes ont des chargeurs à 150 cartouches au moins, pratique.... Mais faut reconnaitre que coté chorégraphies de combat , ça n'a rien à envier à Jackie Chan , ni aux Tortues Ninjas . Ne pas manquer la scène comique finale où le spoiler: héros laisse le choix au méchant shérif
: ce spoiler: va et vient interminable de caméra digne des japoniaiseries de Power Rangers
m'a bien fait rire....
Je remercie quand même ce film de m'avoir fait découvrir Jake La Botz grâce à la chanson du générique final. Il a d'ailleurs un petit rôle . Compositeur chanteur interprète , aux accents blues-rockabilly-texmex-country , c'est pour moi la vraie découverte de ce film.
... Il est bien sûr surentrainé et spoiler: vient à bout de toute une clique de mexicains
.... des mecs si cons qu'ils parlent entre eux avec un accent mexicain... Les armes ont des chargeurs à 150 cartouches au moins, pratique.... Mais faut reconnaitre que coté chorégraphies de combat , ça n'a rien à envier à Jackie Chan , ni aux Tortues Ninjas . Ne pas manquer la scène comique finale où le spoiler: héros laisse le choix au méchant shérif
: ce spoiler: va et vient interminable de caméra digne des japoniaiseries de Power Rangers
m'a bien fait rire....
Je remercie quand même ce film de m'avoir fait découvrir Jake La Botz grâce à la chanson du générique final. Il a d'ailleurs un petit rôle . Compositeur chanteur interprète , aux accents blues-rockabilly-texmex-country , c'est pour moi la vraie découverte de ce film.
Ça commence plutôt bien... mais malheureusement, le soufflet retombe rapidement.
Les scènes de baston sont plutôt simplistes et tournées en accélérer pour donner plus de mouvement, du coup ça décrédibilise le jeu de Scott Adkins. C'est pénible parce qu'on sent que malgré ses galipettes répétitives, bien filmé ça aurait pu vraiment le faire...
Il n'y a quasi qu'un seul endroit où l'action se passe et on a l'impression que le réalisateur a écrit son film au fur et à mesure que les idées lui venaient en filmant... Malgré un temps relativement court (1h20), ça traîne parfois en longueur. Le scénario a été écrit sur la dent d'un timbre poste, ne vous attendez pas à perdre de fil de l'histoire aucun risque (c'est peut-être le seul point positif du film).
Le jeu des acteurs est évidemment on ne peut plus léger, aucun d'eux malheureusement ne pourra prétendre à un Oscar cette année mais on s'en doutait un peu.
Au final, on a l'impression d'avoir regardé un épisode de Walker Texas Rangers en un peu plus gunfight tout de même mais vraiment rien de transcendant. Dommage car Scott Adkins mérite vraiment mieux.
Les scènes de baston sont plutôt simplistes et tournées en accélérer pour donner plus de mouvement, du coup ça décrédibilise le jeu de Scott Adkins. C'est pénible parce qu'on sent que malgré ses galipettes répétitives, bien filmé ça aurait pu vraiment le faire...
Il n'y a quasi qu'un seul endroit où l'action se passe et on a l'impression que le réalisateur a écrit son film au fur et à mesure que les idées lui venaient en filmant... Malgré un temps relativement court (1h20), ça traîne parfois en longueur. Le scénario a été écrit sur la dent d'un timbre poste, ne vous attendez pas à perdre de fil de l'histoire aucun risque (c'est peut-être le seul point positif du film).
Le jeu des acteurs est évidemment on ne peut plus léger, aucun d'eux malheureusement ne pourra prétendre à un Oscar cette année mais on s'en doutait un peu.
Au final, on a l'impression d'avoir regardé un épisode de Walker Texas Rangers en un peu plus gunfight tout de même mais vraiment rien de transcendant. Dommage car Scott Adkins mérite vraiment mieux.
Quelques belles images de baston mais à part ca... le néant intégral. Le pompon revenant aux dialogues d'une nullité, insipidité absolue.
Un scénario d'une indigence profonde. A part une multitude de coups de feu, ce film est totalement vide. C'est désespérant de voir que l'on gaspille de l'argent à produire de tels navets.
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