Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
A Tombeau ouvert nous enferme, nous empoigne, nous secoue comme un film de guerre, où le simple soldat serait l'ambulancier Nicolas Cage. Dans ce corps nerveux, Scorsese stocke l'énergie, organisant le chaos. En attendant la rédemption ?
FHM
par Laurent Djian
L'humour noir et la géniale bande-son rock sont omniprésents dans cette oeuvre désespérée, d'une beauté visuelle remarquable. Un spectacle hallucinant, à voir de toute urgence.
L'Evénement
par François Jonquet
Le laboratoire Scorsese tourne à plein régime : les audaces formelles (...), la musique endiablée (...), le montage magistral, font de ce film où la mort rode un précipité de forces vitales.
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) du Scorsese pur jus, quelque part entre "Taxi Driver" et "After Hours", plus déjanté que l'un mais moins que l'autre, moins tendu que l'autre, mais plus que l'un.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Obs
par François Forestier
A tombeau ouvert atteint une sorte de fluidité à tarvers l'absolue liberté (...). Rien n'est impossible, la mise en scène résout tout. A tombeau ouvert est un orage, un éclat de colère, un défi magnifique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Gwen Douguet
En as de la caméra, en virtuose du montage, guidé par une bande-son à ranimer une armée de maccahabées, Martin Scorsese fonce sans ralentir et s'interroge sur l'au-delà, la souffrance, Dieu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Eric Leguèbe
Le scénario est dû à l'inspiration torturée de Paul Schrader (...). Le tandem partage la même vision pessimiste du monde et en donne un reflet brutal à l'écran. Nicolas Cage transcende son personnage. Son meilleur rôle depuis « Volte/Face ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe Margotton
(...) Martin Scorsese atteint ici la grâce absolue (...). Bref, un film bouleversant.
Chronic'art.com
par Jean-Baptiste Hanak
La caméra tourne sur elle-même, c'est bien joli, mais Scorsese frôle parfois l'autoparodie (...). Le rapport spectateur / personnage apparaît alors comme la plus grande réussite de Bringing out the dead.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
par Jean Christophe Derrien
La réalisation est sans cesse inventive, il y a des morceaux de " vrai cinéma " dedans. On peut apprécier à leur juste valeur les performances des 3 compagnons d'un jour du héros, John Goodman, Ving Rhames et Tom Sizemore.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Humanité
par Jean Roy
A Tombeau Ouvert est une oeuvre hallucinée qui file hors toute prudence, à la frontière de la démence psychédélique, à l'image comme au son.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Un quart de siècle après Taxi Driver, une excursion frénétique, burlesque et terrifiante à bord d'une ambulance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
Du point de vue réglo de l'efficacité, le film est une catastrophe. Mais du point de vue de la catastrophe, il est réussi même si Scorsese ne parvient pas toujours à capter avec l'évidence d'un Ferrara les pulsations des bas-fonds urbains (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Olivier de Bruyn
Mélangeant dans un même flux hypnotique le trip quasi expérimental et la comédie sitcomesque (genre «Urgences» sous acide), le grand Martin signe un film malpoli et imparfait (...) que l'on n'attendait pas de lui. Singulièrement singulier!
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Nachiketas Wignesan
A Tombeau ouvert n'est pas un remake de Taxi Driver (...) mais sa revisitation. Scorsese, que l'on croyait perdu dans les hauteurs brumeuses de Kundun, fait un retour en force avec ce film épuisant qui vire au calvaire.
Studio Magazine
par Christophe D'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
(...) comment le cinéaste américain le plus constamment passionnant de ces trente dernières années en est arrivé là, à un film si lourdement stérile et si complaisant, hermétiquement clos sur lui-même, si lourdement autoréférencé (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
A Tombeau ouvert nous enferme, nous empoigne, nous secoue comme un film de guerre, où le simple soldat serait l'ambulancier Nicolas Cage. Dans ce corps nerveux, Scorsese stocke l'énergie, organisant le chaos. En attendant la rédemption ?
FHM
L'humour noir et la géniale bande-son rock sont omniprésents dans cette oeuvre désespérée, d'une beauté visuelle remarquable. Un spectacle hallucinant, à voir de toute urgence.
L'Evénement
Le laboratoire Scorsese tourne à plein régime : les audaces formelles (...), la musique endiablée (...), le montage magistral, font de ce film où la mort rode un précipité de forces vitales.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) du Scorsese pur jus, quelque part entre "Taxi Driver" et "After Hours", plus déjanté que l'un mais moins que l'autre, moins tendu que l'autre, mais plus que l'un.
L'Obs
A tombeau ouvert atteint une sorte de fluidité à tarvers l'absolue liberté (...). Rien n'est impossible, la mise en scène résout tout. A tombeau ouvert est un orage, un éclat de colère, un défi magnifique.
Le Figaroscope
En as de la caméra, en virtuose du montage, guidé par une bande-son à ranimer une armée de maccahabées, Martin Scorsese fonce sans ralentir et s'interroge sur l'au-delà, la souffrance, Dieu.
Le Parisien
Le scénario est dû à l'inspiration torturée de Paul Schrader (...). Le tandem partage la même vision pessimiste du monde et en donne un reflet brutal à l'écran. Nicolas Cage transcende son personnage. Son meilleur rôle depuis « Volte/Face ».
Lenouveaucinema.com
(...) Martin Scorsese atteint ici la grâce absolue (...). Bref, un film bouleversant.
Chronic'art.com
La caméra tourne sur elle-même, c'est bien joli, mais Scorsese frôle parfois l'autoparodie (...). Le rapport spectateur / personnage apparaît alors comme la plus grande réussite de Bringing out the dead.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
La réalisation est sans cesse inventive, il y a des morceaux de " vrai cinéma " dedans. On peut apprécier à leur juste valeur les performances des 3 compagnons d'un jour du héros, John Goodman, Ving Rhames et Tom Sizemore.
L'Humanité
A Tombeau Ouvert est une oeuvre hallucinée qui file hors toute prudence, à la frontière de la démence psychédélique, à l'image comme au son.
Le Monde
Un quart de siècle après Taxi Driver, une excursion frénétique, burlesque et terrifiante à bord d'une ambulance.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Du point de vue réglo de l'efficacité, le film est une catastrophe. Mais du point de vue de la catastrophe, il est réussi même si Scorsese ne parvient pas toujours à capter avec l'évidence d'un Ferrara les pulsations des bas-fonds urbains (...)
Première
Mélangeant dans un même flux hypnotique le trip quasi expérimental et la comédie sitcomesque (genre «Urgences» sous acide), le grand Martin signe un film malpoli et imparfait (...) que l'on n'attendait pas de lui. Singulièrement singulier!
Repérages
A Tombeau ouvert n'est pas un remake de Taxi Driver (...) mais sa revisitation. Scorsese, que l'on croyait perdu dans les hauteurs brumeuses de Kundun, fait un retour en force avec ce film épuisant qui vire au calvaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Les Inrockuptibles
(...) comment le cinéaste américain le plus constamment passionnant de ces trente dernières années en est arrivé là, à un film si lourdement stérile et si complaisant, hermétiquement clos sur lui-même, si lourdement autoréférencé (...)