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Robert Zemeckis adapte le classique animé de 1940 en téléfilm mi-live, mi-animé en 3D. Pour un résultat sympathique, qui n'arrive cependant pas à la cheville de son aîné.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ce retour dans le giron de Disney, après plusieurs projets moins inspirés, semble confirmer qu’il ne faut plus s’attendre à ce que Zemeckis signe des films vraiment accomplis, mais seulement passionnants par endroits.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Pinocchio est une nouvelle démonstration du nivellement par le bas opéré par Disney, plus occupé à remplir le catalogue de sa plateforme de streaming qu'à retrouver ses lettres de noblesse.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Bref, loin d’être déshonorant mais peinant à faire naître le merveilleux, ce Pinocchio, destiné en priorité aux plus jeunes, manque d’âme et laissera bon nombre de spectateurs nostalgiques sur leur faim.
Malgré le savoir-faire de Robert Zemeckis, le remake du deuxième long-métrage d’animation du studio Disney, réalisé en 1940, reste un produit sans beaucoup d’âme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Malgré quelques ajustements mineurs, on retrouve les péripéties de l’original (1940), les mêmes meubles mais avec le sentiment que le progrès technique n’apporte pas grand-chose [...] et celui, plus bizarre, de voir une attraction Disney faite film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Entre une mise en scène dépourvue de la moindre idée, délestée de tout point de vue et privilégiant des plans larges basiques, ou des effets de spéciaux souvent catastrophiques (le final dans le ventre de la baleine est un désastre visuel), Pinocchio n'a de cesse de confirmer qu’il a été réalisé pour toutes les pires raisons du monde : ajouter au catalogue de Disney+ une dose de prestige.
La critique complète est disponible sur le site GQ
S'inscrivant dans la continuité des relectures "en prises de vues réelles" du studio, le long-métrage exhibe la vision, ou plutôt l'absence totale de vision que l'on pouvait craindre d'une telle association.
Le Parisien
Un long-métrage enchanteur et grand public, fidèle à l’esprit du film original.
Franceinfo Culture
Une histoire digne des contes anciens, avec une dimension instructive qu'on prend plaisir à regarder.
La Voix du Nord
Une copie presque conforme, à réserver aux plus jeunes, avec des effets spéciaux en plus.
Première
Robert Zemeckis adapte le classique animé de 1940 en téléfilm mi-live, mi-animé en 3D. Pour un résultat sympathique, qui n'arrive cependant pas à la cheville de son aîné.
Critikat.com
Ce retour dans le giron de Disney, après plusieurs projets moins inspirés, semble confirmer qu’il ne faut plus s’attendre à ce que Zemeckis signe des films vraiment accomplis, mais seulement passionnants par endroits.
Ecran Large
Pinocchio est une nouvelle démonstration du nivellement par le bas opéré par Disney, plus occupé à remplir le catalogue de sa plateforme de streaming qu'à retrouver ses lettres de noblesse.
L'Ecran Fantastique
Bref, loin d’être déshonorant mais peinant à faire naître le merveilleux, ce Pinocchio, destiné en priorité aux plus jeunes, manque d’âme et laissera bon nombre de spectateurs nostalgiques sur leur faim.
Le Monde
Malgré le savoir-faire de Robert Zemeckis, le remake du deuxième long-métrage d’animation du studio Disney, réalisé en 1940, reste un produit sans beaucoup d’âme.
Libération
Malgré quelques ajustements mineurs, on retrouve les péripéties de l’original (1940), les mêmes meubles mais avec le sentiment que le progrès technique n’apporte pas grand-chose [...] et celui, plus bizarre, de voir une attraction Disney faite film.
GQ
Entre une mise en scène dépourvue de la moindre idée, délestée de tout point de vue et privilégiant des plans larges basiques, ou des effets de spéciaux souvent catastrophiques (le final dans le ventre de la baleine est un désastre visuel), Pinocchio n'a de cesse de confirmer qu’il a été réalisé pour toutes les pires raisons du monde : ajouter au catalogue de Disney+ une dose de prestige.
Mad Movies
S'inscrivant dans la continuité des relectures "en prises de vues réelles" du studio, le long-métrage exhibe la vision, ou plutôt l'absence totale de vision que l'on pouvait craindre d'une telle association.
Télé 7 Jours
Disney livre un Pinocchio de pixels sans rythme ni saveur !