Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Avec un art de la mise en scène qui n’est pas sans évoquer Lubitsch – l’art d’ouvrir et de refermer une porte sur un malentendu –, le cinéaste met au point une vertigineuse scénographie, véritable symphonie de plans séquences, ne laissant personne en plan.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
(...) un nouveau chef-d'oeuvre, dont le lyrisme est tout entier contenu dans un réalisme doux-amer. Impressionnant.
Voici
par La Rédaction
Une formidable tragi-comédie familiale.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de "La mort de Dante Lazarescu" (2006) fait claquer les portes autour de règlements de compte familiaux et les trois heures de projection de "Sieranevada" passent comme un rêve cruellement drôle.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Gestion spatiale, malignité scénographique, brio des mouvements de caméra, fluidité du montage, le va-et-vient entre chaque pièce, fermée ou ouverte, reliée au couloir central, reflète le fourmillement des émotions, des enjeux personnels, collectifs, familiaux, sociétaux et politiques.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Eric Libiot
La chose est austère sur le papier, impressionnante sur grand écran. Le genre de film qui dit une époque, des vies, des destins, des rancoeurs, des non-dits, des élans du coeur et des vérités pas forcément agréables à entendre.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Sélectionné en compétition au Festival de Cannes en mai dernier, ce film au titre mystérieux – choisi par son auteur, mais inexpliqué – déborde d’une intensité, magistralement mise en scène, où se déploient une audace excitante et la joyeuse liberté d’un grand créateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Assez prodigieuse illustration du plan-séquence poussé à ses limites extrêmes, le film de Cristi Puiu plonge le spectateur au sein des querelles d’une famille, mais plus encore au sein d’un microcosme qui est celui-là même de notre monde et des tensions qui l’agitent.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Un joyeux foutoir de trois heures et une bouffée d'air frais.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une proposition stimulante et habile, qui restera pour longtemps dans les mémoires
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Comment rapiécer tout cela ? C’est la grande question du film, dont les deux remarquables incursions hors de l’appartement suggèrent qu’à l’extérieur règne un enfer auprès duquel la macération familiale, avec ses faux-semblants crapoteux, sa folie larvée et son vieux reste de tendresse, paraît désirable. On en est là.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un argument dramatique minime relié à de très hautes ambitions philosophiques par une réalisation puissante, pour un résultat fougueux mais brouillon.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le cinéma, serait ce ce fantôme qui pose un regard étonné, bienveillant et attentif sur les êtres, même les pires ? C'est ce qui fait la beauté de "Sieranevada".
Ouest France
par Gilles Kerdreux
On peut reprocher à ce film sa durée. Mais si on accepte de se laisser porter, quel portrait de la Roumanie d'aujourd'hui !
Paris Match
par Alain Spira
Chorégraphiant avec une maîtrise et une fluidité rares le ballet anarchique des membres de cette famille démembrée (...), Cristi Puiu réussit à nous faire asseoir à cette table où les divergences politiques, les tromperies conjugales, les frustrations, les conflits générationnels et sociaux sont au menu (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Caroline Veunac
Alors oui, "Sieranevada" a un petit côté film de festival. Mais c'est quand même une sacrée montagne.
TF1 News
par Romain Le Vern
Ne pas oublier de dire l'essentiel : on finit par rire de ce capharnaüm d'environ trois heures qui, sous ses apparats de films Cannois, recèle un humour dévastateur.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Pierre Murat
Dans ce film magnifique, Cristi Puiu se glisse avec maestria entre ses multiples personnages, n'en sacrifie jamais aucun, joue simultanément avec les intrigues et les styles. C'est le digne successeur de Robert Altman.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Critique sociale, fresque familiale, comédie à l’italienne à la Risi... Sieranevada révèle un Cristi Puiu au sommet de son art. Malgré un certain systématisme, rarement réunion de famille n’aura été chorégraphiée avec un tel raffinement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Chris Huby
D'une facture très classique, le film du roumain Cristi Puiu parvient toutefois à accrocher le spectateur tout au long des 3 heures que dure le film.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Si le film est réussi, cette plongée en apnée au cœur d'une famille inconnue de près de trois heures, dans un pays mal connu et dont la langue nous échappe mériterait pourtant d'être raccourcie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Une immersion en huis clos au cœur d'une réunion de famille, filmée avec virtuosité par un cinéaste qui jongle avec les comportements et les mots des uns et des autres.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Orchestrant d’une main de maître les déplacements de ses personnages dans l’espace circonscrit d’un appartement, Puiu donne à voir, non sans cynisme, un condensé d’humanité.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Tour de force de la mise en scène — la quasi-totalité du film est tournée dans les pièces et les couloirs de l'appartement —, cette œuvre présentée à Cannes n'est jamais lente ni pesante. (...) Bon, il faut aimer le cinéma d'auteur !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Clémentine Gallot
On peut déplorer qu’en prenant de l’ampleur, la nouvelle génération roumaine dont il est issu ait troqué une distance narquoise pour un ton parfois sentencieux. Cette virtuosité dans le ressassement passionnera sans doute ceux que ce pugilat dominical n’aurait pas réussi à avoir à l’usure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
La dramaturgie ne carbure qu’aux effets d’entassement et d’exaspération, sans jamais parvenir à un débordement libératoire. Et si au bout du bout, les personnages finissent par en rire, on n’y voit pas seulement le signe du dérisoire de la situation, mais aussi celui de ce projet formel.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Quelque part à Bucarest, trois jours après l'attentat contre « Charlie Hebdo » et quarante jours après la mort de son père, Lary - 40 ans, docteur en médecine - passe son samedi au sein de la famille réunie à l'occasion de la commémoration du défunt. Longuet.
La Voix du Nord
Avec un art de la mise en scène qui n’est pas sans évoquer Lubitsch – l’art d’ouvrir et de refermer une porte sur un malentendu –, le cinéaste met au point une vertigineuse scénographie, véritable symphonie de plans séquences, ne laissant personne en plan.
Studio Ciné Live
(...) un nouveau chef-d'oeuvre, dont le lyrisme est tout entier contenu dans un réalisme doux-amer. Impressionnant.
Voici
Une formidable tragi-comédie familiale.
20 Minutes
Le réalisateur de "La mort de Dante Lazarescu" (2006) fait claquer les portes autour de règlements de compte familiaux et les trois heures de projection de "Sieranevada" passent comme un rêve cruellement drôle.
Bande à part
Gestion spatiale, malignité scénographique, brio des mouvements de caméra, fluidité du montage, le va-et-vient entre chaque pièce, fermée ou ouverte, reliée au couloir central, reflète le fourmillement des émotions, des enjeux personnels, collectifs, familiaux, sociétaux et politiques.
L'Express
La chose est austère sur le papier, impressionnante sur grand écran. Le genre de film qui dit une époque, des vies, des destins, des rancoeurs, des non-dits, des élans du coeur et des vérités pas forcément agréables à entendre.
La Croix
Sélectionné en compétition au Festival de Cannes en mai dernier, ce film au titre mystérieux – choisi par son auteur, mais inexpliqué – déborde d’une intensité, magistralement mise en scène, où se déploient une audace excitante et la joyeuse liberté d’un grand créateur.
Le Dauphiné Libéré
Assez prodigieuse illustration du plan-séquence poussé à ses limites extrêmes, le film de Cristi Puiu plonge le spectateur au sein des querelles d’une famille, mais plus encore au sein d’un microcosme qui est celui-là même de notre monde et des tensions qui l’agitent.
Le Figaro
Un joyeux foutoir de trois heures et une bouffée d'air frais.
Le Journal du Dimanche
Une proposition stimulante et habile, qui restera pour longtemps dans les mémoires
Le Monde
Comment rapiécer tout cela ? C’est la grande question du film, dont les deux remarquables incursions hors de l’appartement suggèrent qu’à l’extérieur règne un enfer auprès duquel la macération familiale, avec ses faux-semblants crapoteux, sa folie larvée et son vieux reste de tendresse, paraît désirable. On en est là.
Les Fiches du Cinéma
Un argument dramatique minime relié à de très hautes ambitions philosophiques par une réalisation puissante, pour un résultat fougueux mais brouillon.
Les Inrockuptibles
Le cinéma, serait ce ce fantôme qui pose un regard étonné, bienveillant et attentif sur les êtres, même les pires ? C'est ce qui fait la beauté de "Sieranevada".
Ouest France
On peut reprocher à ce film sa durée. Mais si on accepte de se laisser porter, quel portrait de la Roumanie d'aujourd'hui !
Paris Match
Chorégraphiant avec une maîtrise et une fluidité rares le ballet anarchique des membres de cette famille démembrée (...), Cristi Puiu réussit à nous faire asseoir à cette table où les divergences politiques, les tromperies conjugales, les frustrations, les conflits générationnels et sociaux sont au menu (...).
Première
Alors oui, "Sieranevada" a un petit côté film de festival. Mais c'est quand même une sacrée montagne.
TF1 News
Ne pas oublier de dire l'essentiel : on finit par rire de ce capharnaüm d'environ trois heures qui, sous ses apparats de films Cannois, recèle un humour dévastateur.
Télérama
Dans ce film magnifique, Cristi Puiu se glisse avec maestria entre ses multiples personnages, n'en sacrifie jamais aucun, joue simultanément avec les intrigues et les styles. C'est le digne successeur de Robert Altman.
aVoir-aLire.com
Critique sociale, fresque familiale, comédie à l’italienne à la Risi... Sieranevada révèle un Cristi Puiu au sommet de son art. Malgré un certain systématisme, rarement réunion de famille n’aura été chorégraphiée avec un tel raffinement.
Ecran Large
D'une facture très classique, le film du roumain Cristi Puiu parvient toutefois à accrocher le spectateur tout au long des 3 heures que dure le film.
Franceinfo Culture
Si le film est réussi, cette plongée en apnée au cœur d'une famille inconnue de près de trois heures, dans un pays mal connu et dont la langue nous échappe mériterait pourtant d'être raccourcie.
L'Obs
Une immersion en huis clos au cœur d'une réunion de famille, filmée avec virtuosité par un cinéaste qui jongle avec les comportements et les mots des uns et des autres.
La Septième Obsession
Orchestrant d’une main de maître les déplacements de ses personnages dans l’espace circonscrit d’un appartement, Puiu donne à voir, non sans cynisme, un condensé d’humanité.
Le Parisien
Tour de force de la mise en scène — la quasi-totalité du film est tournée dans les pièces et les couloirs de l'appartement —, cette œuvre présentée à Cannes n'est jamais lente ni pesante. (...) Bon, il faut aimer le cinéma d'auteur !
Libération
On peut déplorer qu’en prenant de l’ampleur, la nouvelle génération roumaine dont il est issu ait troqué une distance narquoise pour un ton parfois sentencieux. Cette virtuosité dans le ressassement passionnera sans doute ceux que ce pugilat dominical n’aurait pas réussi à avoir à l’usure.
Cahiers du Cinéma
La dramaturgie ne carbure qu’aux effets d’entassement et d’exaspération, sans jamais parvenir à un débordement libératoire. Et si au bout du bout, les personnages finissent par en rire, on n’y voit pas seulement le signe du dérisoire de la situation, mais aussi celui de ce projet formel.
Sud Ouest
Quelque part à Bucarest, trois jours après l'attentat contre « Charlie Hebdo » et quarante jours après la mort de son père, Lary - 40 ans, docteur en médecine - passe son samedi au sein de la famille réunie à l'occasion de la commémoration du défunt. Longuet.