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Si cette histoire d'héritage (et ce dialogue par-delà la mort entre une fille et une mère) est si forte, c'est d'abord parce que la manière est douce. Pour autant, il y a une vraie tension dans ce récit, soulignée par un "chapitrage".
Figurante fugitive (si belle!) de la Nouvelle vague, Kyoko en est la cristallisation. En émaillant le film d'archives filmées de son visage, les auteurs la ramènent à la vie et lui offrent le statut d'héroïne qu'elle a tant rêvé d'incarner. Difficile d'imaginer geste plus beau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Leur film n’est pas seulement funèbre, il enregistre aussi la transmission (celle-ci fût-elle en partie inconsciente) d’un esprit d’indépendance et de liberté, d’une ouverture au monde, de mère en fille.
Réalisé avec tact et empathie, ce documentaire enregistre la déchirante reconstruction d’une héroïne qui, intimidée par ses origines, doit aussi s’affranchir de tout un héritage culturel et cinématographique afin de se forger un destin.
La critique complète est disponible sur le site Première
Partant d'une trame simple pour dévoiler une densité inattendue, "Cendres" explore avec pudeur et délicatesse le thème du deuil tout comme celui de la remise en question intime qu'il entraîne pour ceux qui le vivent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Si l’écriture fine du film s’attache à rendre lisible son dessin délicat, il manque aussi quelques nervures à cette trajectoire intime, tracée avec une telle pudeur qu’elle ne nous parvient plus que comme un écho étouffé.
Un itinéraire familial singulier, entre France et Japon, cinéma - celui de Pierre-Dominique Gaisseau - et séduction, entre Nouvelle Vague et deuil filial.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les réalisateurs parviennent à le parer d'une légèreté particulière : une tristesse délicate. Le portrait de la fragile Akiko est même trop retenu. Mais ce que l'on partage avec elle est beau.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
Si cette histoire d'héritage (et ce dialogue par-delà la mort entre une fille et une mère) est si forte, c'est d'abord parce que la manière est douce. Pour autant, il y a une vraie tension dans ce récit, soulignée par un "chapitrage".
Le Monde
Figurante fugitive (si belle!) de la Nouvelle vague, Kyoko en est la cristallisation. En émaillant le film d'archives filmées de son visage, les auteurs la ramènent à la vie et lui offrent le statut d'héroïne qu'elle a tant rêvé d'incarner. Difficile d'imaginer geste plus beau.
Les Fiches du Cinéma
Modeste dans sa forme mais vaste dans son propos, “Cendres” est aussi brillant que touchant.
Les Inrockuptibles
Leur film n’est pas seulement funèbre, il enregistre aussi la transmission (celle-ci fût-elle en partie inconsciente) d’un esprit d’indépendance et de liberté, d’une ouverture au monde, de mère en fille.
Libération
Beau documentaire.
Première
Réalisé avec tact et empathie, ce documentaire enregistre la déchirante reconstruction d’une héroïne qui, intimidée par ses origines, doit aussi s’affranchir de tout un héritage culturel et cinématographique afin de se forger un destin.
aVoir-aLire.com
Partant d'une trame simple pour dévoiler une densité inattendue, "Cendres" explore avec pudeur et délicatesse le thème du deuil tout comme celui de la remise en question intime qu'il entraîne pour ceux qui le vivent.
Cahiers du Cinéma
Si l’écriture fine du film s’attache à rendre lisible son dessin délicat, il manque aussi quelques nervures à cette trajectoire intime, tracée avec une telle pudeur qu’elle ne nous parvient plus que comme un écho étouffé.
La Croix
Un itinéraire familial singulier, entre France et Japon, cinéma - celui de Pierre-Dominique Gaisseau - et séduction, entre Nouvelle Vague et deuil filial.
Télérama
Les réalisateurs parviennent à le parer d'une légèreté particulière : une tristesse délicate. Le portrait de la fragile Akiko est même trop retenu. Mais ce que l'on partage avec elle est beau.
L'Obs
Le film aide au travail de deuil d'Akiko, avec de beaux moments, mais laisse le plus souvent le spectateur à la porte.
Studio Ciné Live
Ce voyage, un tantinet larmoyant, dresse le portrait des moeurs japonaises d'hier et d'aujourd'hui sous la forme d'un journal intime sincère.