Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Paris Match
par Yannick Vely
La (fausse) simplicité du film tient dans la lente observation d'un amour naissant en rase steppe, le tout sans parole, mais avec des plans composés d'une rare beauté qui convoquent le grand cinéma russe et l'art photographique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
Le génie de la mise en scène célèbre la beauté de la planète, tout en jouant dès l'ouverture sur l'ambiguïté des signes et des augures. (...) "Le Souffle" a une envergure planétaire.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Ce film porte bien son titre. Il est, au sens propre, à couper le souffle.
La Croix
par Marie Soyeux
Nul doute qu'Alexander Kott trouve plus de beauté aux images qu'aux mots. Son troisième long-métrage, "Le Souffle", en est une démonstration muette et éloquente. Pas un mot n'y est prononcé. Mais que de magie !
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film quasi muet surprenant, à la fois formellement et émotionnellement.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Sous l'apparence d'un beau conte poétique et contemplatif, “Le Souffle” véhicule un message politique et écologique fort.
TF1 News
par Romain Le Vern
Construisant des plans exténuants de beauté tout en se regardant filmer, Alexander Kott a très certainement vu et aimé "Melancholia" comme "Le cheval de Turin". Ostensiblement hanté par ces deux références, son film se révèle parcouru par une menace sourde qui explose littéralement à la fin, balaye tout dans un éclat romantique ultime et donne son sens au titre.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Sidy Sakho
Bien que les heures des personnages soient comptées, que le souffle destructeur soit imminent, le cinéaste tient avant tout à observer la naissance de sentiments plus forts que la mort. Louable parti pris romantique d'un film certes sans paroles, mais d'une belle cohérence.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Cette ode à la jeunesse et à l'amour, tournée dans des paysages spectaculaires, est exubérante de beauté et toujours pleine de ressources, en particulier quand il s'agit de surprendre le spectateur dans l'inattendu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Marie Gueden
Malgré de bonnes idées de scénario (faire un apologue universel) et de réalisation, ainsi qu'une volonté de parti-pris politique et social peinant cependant à émerger et peu audible, le film d'Alexander Kott fait montre d'un véritable manque d'effet de souffle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dommage qu'on ne découvre le sujet de ce film sans dialogues et contemplatif qu'à la fin ! Cependant on est hypnotisé par une photographie sublime et un sens du cadre délicat.
Le Monde
par Noémie Luciani
Un poème visuel sans paroles.
Première
par Isabelle Danel
Dommage que le réalisateur en fasse trop, multipliant les plans en plongée et les chromos fabriqués, car la poésie simple du père "gobant" rituellement le soleil flamboyant ou celle du vent dans les cheveux de l’héroïne suffisent à notre bonheur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Aucun dialogue, mais une époustouflante puissance de cinéma.
L'Humanité
par Vincent Ostria
On comprend le principe – jouer à déconstruire un réel exotique et le recomposer à sa guise –, mais il reste gratuit. Un joli livre d’images, certes, mais sans grande cohérence.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Julien Gester
Dépêché aux manettes de cette œuvre de commande, Kott pousse tous les boutons à la fois. Il filme aux sons de violons affligés les frémissements d’une lande verte et jaune poussière, (...) sous un ciel dont la chromie des plans délire l’embrasement vers des teintes que le film voudrait déchirantes, quant elles ne sont souvent que pittoresques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Pierre Murat
Tout est impeccable, mais glacé par l'esthétisme, et, donc, sans grand intérêt. Le vrai sujet (de 1949 à 1989, l'URSS fit procéder à des centaines d'essais nucléaires dans la région) surgit tard et plutôt mal : même les catastrophes atomiques deviennent ici éblouissantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Paris Match
La (fausse) simplicité du film tient dans la lente observation d'un amour naissant en rase steppe, le tout sans parole, mais avec des plans composés d'une rare beauté qui convoquent le grand cinéma russe et l'art photographique.
Positif
Le génie de la mise en scène célèbre la beauté de la planète, tout en jouant dès l'ouverture sur l'ambiguïté des signes et des augures. (...) "Le Souffle" a une envergure planétaire.
L'Obs
Ce film porte bien son titre. Il est, au sens propre, à couper le souffle.
La Croix
Nul doute qu'Alexander Kott trouve plus de beauté aux images qu'aux mots. Son troisième long-métrage, "Le Souffle", en est une démonstration muette et éloquente. Pas un mot n'y est prononcé. Mais que de magie !
Le Dauphiné Libéré
Un film quasi muet surprenant, à la fois formellement et émotionnellement.
Les Fiches du Cinéma
Sous l'apparence d'un beau conte poétique et contemplatif, “Le Souffle” véhicule un message politique et écologique fort.
TF1 News
Construisant des plans exténuants de beauté tout en se regardant filmer, Alexander Kott a très certainement vu et aimé "Melancholia" comme "Le cheval de Turin". Ostensiblement hanté par ces deux références, son film se révèle parcouru par une menace sourde qui explose littéralement à la fin, balaye tout dans un éclat romantique ultime et donne son sens au titre.
Transfuge
Bien que les heures des personnages soient comptées, que le souffle destructeur soit imminent, le cinéaste tient avant tout à observer la naissance de sentiments plus forts que la mort. Louable parti pris romantique d'un film certes sans paroles, mais d'une belle cohérence.
aVoir-aLire.com
Cette ode à la jeunesse et à l'amour, tournée dans des paysages spectaculaires, est exubérante de beauté et toujours pleine de ressources, en particulier quand il s'agit de surprendre le spectateur dans l'inattendu.
Critikat.com
Malgré de bonnes idées de scénario (faire un apologue universel) et de réalisation, ainsi qu'une volonté de parti-pris politique et social peinant cependant à émerger et peu audible, le film d'Alexander Kott fait montre d'un véritable manque d'effet de souffle.
Le Journal du Dimanche
Dommage qu'on ne découvre le sujet de ce film sans dialogues et contemplatif qu'à la fin ! Cependant on est hypnotisé par une photographie sublime et un sens du cadre délicat.
Le Monde
Un poème visuel sans paroles.
Première
Dommage que le réalisateur en fasse trop, multipliant les plans en plongée et les chromos fabriqués, car la poésie simple du père "gobant" rituellement le soleil flamboyant ou celle du vent dans les cheveux de l’héroïne suffisent à notre bonheur.
Studio Ciné Live
Aucun dialogue, mais une époustouflante puissance de cinéma.
L'Humanité
On comprend le principe – jouer à déconstruire un réel exotique et le recomposer à sa guise –, mais il reste gratuit. Un joli livre d’images, certes, mais sans grande cohérence.
Libération
Dépêché aux manettes de cette œuvre de commande, Kott pousse tous les boutons à la fois. Il filme aux sons de violons affligés les frémissements d’une lande verte et jaune poussière, (...) sous un ciel dont la chromie des plans délire l’embrasement vers des teintes que le film voudrait déchirantes, quant elles ne sont souvent que pittoresques.
Télérama
Tout est impeccable, mais glacé par l'esthétisme, et, donc, sans grand intérêt. Le vrai sujet (de 1949 à 1989, l'URSS fit procéder à des centaines d'essais nucléaires dans la région) surgit tard et plutôt mal : même les catastrophes atomiques deviennent ici éblouissantes.